"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Je ne m’attendais à rien de spécial en lisant ce livre, il m’a été conseillé par quelqu’un de confiance alors je me suis jetée dedans tête baissée. Est-ce que je l’aurais lu si j’avais parcouru le résumé ? Peut-être pas car je ne suis pas friande des lectures fantastiques. Et pourtant, j’ai été emportée par cette histoire qui décrit l’enfance dans tout ce qu’elle a de féérique.
Il faut alors lâcher prise, car Zéphyr est une petite ville de l’Alabama, une « ville magique - pas l'ombre d'un doute là-dessus. D'ailleurs, nous qui y étions nés, n'étions-nous pas tout imprégnés de cette magie ? »
Cory, un garçon de 12 ans, nous confie son quotidien des années 1960, ses joies et ses peines, tout en mettant à profit son imagination débordante pour essayer de résoudre une énigme qui sera le fil rouge du récit: un meurtre dont il est témoin.
Ce roman initiatique, dans lequel Robert McCammon semble se confier, fait la part belle au monde onirique de l’enfance, en évoquant la beauté pure de l’amitié mais aussi la découverte de la douleur et les premiers questionnements de l’adolescence envers un univers mystique qui nous dépasse.
Robert McCammon est un véritable conteur, mettant en avant dans son récit autant que par son écriture poétique le pouvoir de l’écriture. Cette histoire d’une infinie tendresse permet de retrouver cet enfant qui est en chacun de nous, et c’est avec nostalgie que j’ai terminé les dernières pages.
Après l'annonce de l'adaptation de Swangsong de l'auteur en début d'année la première Bande annonce de Teacup adaptant Scorpion (Stinger en V.O) vient de sortir.
Texas. Inferno est une ville en difficulté, poussée au bord du gouffre par les tensions raciales, la violence des gangs et une économie en déclin. Mais les choses peuvent toujours empirer, et elles le font à une vitesse étonnante lorsqu'un vaisseau spatial non identifié s'écrase dans le désert à l'extérieur de la ville, suivi d'un deuxième vaisseau transportant l'être extraterrestre qui sera bientôt connu sous le nom de Stinger. Stinger est une sorte de chasseur interstellaire en mission qu'il entend accomplir, quel qu'en soit le prix. Il apporte avec lui une gamme infinie de merveilles technologiques et une capacité infinie de destruction qui menacent l'existence d'Inferno, de ses habitants et du monde au-delà.
Un roman SF, horreur, dark fantasy qui se déroule sur une chronologie de 24h, un style retro des années 80, il faut un petit peu de temps pour intégrer le style de la narration surtout pendant les scènes où il y avait beaucoup d'action. L'intrigue est rapide, un roman à suspense et ne devrait pas être manqué par les fans d'horreur. C'est sanglant et vraiment intense par moments.
"Au plus profond, au centre de l’obscurité, quelque chose a peut-être bougé un mouvement lent et prudent ; une chose ancienne, contemplant l’éclat de la lumière qui la touchait à travers l’obscurité. Puis elle s’est à nouveau arrêtée, réfléchissant et rassemblant des forces."
Série de Peacock en 8 épisode de 30 minutes crée par par James Wan, Au casting, Scott Speedman, Yvonne Strahovski, Chaske Spencer, Boris McGiver, Caleb Dolden, Kathy Baker, Emilie Bierre et Luciano Leroux
J'avais hâte de me plonger dans cette histoire post-apocalyptique bien que ce ne soit absolument pas mon genre de prédilection.
Pas du tout à cause de la couverture, que je trouve pour ma part hideuse, mais c'est bien entendu très personnel puisque je comprends aussi que cela rappelle de "bons" souvenirs à certains lecteurs.
Non, ce qui m'a donné envie de lire ce roman sont les critiques plus qu'élogieuses, la maison d'édition et la certitude (ou presque) de passer un excellent moment de lecture.
Et ce fut finalement une lecture en demi-teinte qui, heureusement, s'est largement améliorée sur la fin.
Le pitch en quelques phrases. La guerre froide est à son apogée, foutu pour foutu, la guerre nucléaire est déclarée et les bombes tombent les unes après les autres, détruisant tout sur leur passage, les villes, les humains. Seule une poignée de rescapés, qui ont eu la "chance" de ne pas être au mauvais endroit au mauvais moment, ont survécu. Pour combien de temps, dans quelles conditions? Nous suivons dans ce récit une SDF new-yorkaise disposant d'un gemme très particulier, un groupe de survivalistes mené par un ancien héros de la guerre du Vietnam. Et surtout, surtout, la petite Swan, protégée par le géant noir, Josh.
Les premiers chapitres, là où l'apocalypse démarre, donnent le ton. Et j'ai trouvé que c'était long, très long. Les chapitres suivants ne m'ont pas permis de prendre davantage de plaisir dans ma lecture, sauf peut-être quand je me trouvais auprès de la petite Swan. Ce qui fait que j'ai posé le livre à sa moitié, le temps de lire deux ou trois autres romans avant de le reprendre. Je le fais rarement mais j'avais besoin d'une pause pour ne pas l'abandonner. Et j'ai bien fait car la seconde partie m'a davantage intéressée. L'intrigue était plus que posée, quelques éléments m'intriguaient et certaines scènes m'ont vraiment marquées (celle dans le magasin en tête).
Je ne pense pas que le rythme soit trop lent pour ce genre d'histoire, je pense simplement que je ne suis pas forcément le bon public pour ce genre de roman, même si je compte quand même lire la suite.
La preuve? Mon compagnon, qui lit beaucoup de science-fiction ou de post-apocalyptiques, a adoré ce livre qu'il a lu presque d'une traite. le deuxième volume est d'ailleurs entre ses mains.
En bref, une lecture qui se veut divertissante, et qui l'est, mais très éloignée de ce que je lis en général. Comme je l'ai lu, ce roman est un beau cadeau pour les amateurs du kitsch des années 70 et 80, de Carpenter ou des téléfilms dans lesquels les méchants parlent avec un gros accent russe. Moi, justement, je n'ai pas forcément ces références, d'où mo, avis mitigé.
Pour ceux qui comme moi ont lu le fléau de S King, il y a 35 ans et ne l'ont jamais relu depuis de peur de ne pas retrouver le choc ressenti à l'époque : vous allez devoir y replonger.. ou presque. On retrouve le combat du bien et du mal prenant diverses formes et surtout on va suivre, en mode chorale, la survie de plusieurs personnages après que le monde actuel ait disparu sous une pluie de bombes radioactives. C'est un vrai page turner; une fois le 1er tome fini je me demandais où l'auteur allait pouvoir trouver un rebondissement aussi prenant, défi relevé dans le 2eme tome. Je me suis régalée, mais cette lecture est à déconseiller aux personnes sensibles car dans ce monde futuriste apocalyptique la vie humaine ne pèse pas grand chose et les hommes peuvent être de bien vilains personnages.
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