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Rene Manzor

Rene Manzor

«  Steven Spielberg a dit de lui qu’il était « un réalisateur visionnaire à part dans le
cinéma international ». Et cela se voit dès son premier long-métrage en 1986, Le
Passage
, avec Alain Delon qui a fait totale confiance à cet auteur-réalisateur de 25
ans. Quatre ans plus tard, 3615 Code Père Noë...

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«  Steven Spielberg a dit de lui qu’il était « un réalisateur visionnaire à part dans le
cinéma international ». Et cela se voit dès son premier long-métrage en 1986, Le
Passage
, avec Alain Delon qui a fait totale confiance à cet auteur-réalisateur de 25
ans. Quatre ans plus tard, 3615 Code Père Noël fait l’ouverture du Festival Fantastique d’Avoriaz. Ce film, considéré aujourd’hui comme une référence culte
et qui ressort en salles aux Etats-Unis pour Noël 2018, confirme la maestria de René  Manzor à fabriquer des univers visuels impressionnants. Un style qui attire très vite l’attention d’Hollywood. Steven Spielberg et George Lucas l’engagent pour réaliser plusieurs épisodes de leur série Young Indiana Jones. Voilà le jeune Français lancé  aux États-Unis où il restera dix ans, travaillant comme scénariste et réalisateur,  mais aussi script doctor pour les grandes productions. Dans les années 2000,  Manzor renoue avec le cinéma français. Il signe le superbe scénario de Monsieur N, thriller historique. Puis il écrit et réalise le polar schizophrénique Dédales, véritable défi narratif et technique.
Après le cinéma (qu’il n’abandonne pas), la télévision (qu’il compare à une salle de
musculation), Manzor ajoute une corde à son art : le roman. Après le succès en 2012 de son thriller littéraire Les Âmes rivales, son second roman Celui dont le nom n’est plus obtient le prix Polar du meilleur roman francophone au festival de Cognac en 2014. Suivront en 2016 Dans les Brumes du Mal et en octobre 2018 
son roman le plus ambitieux jusqu'ici, le thriller biblique : Apocryphe
René Manzor confirme que, avec une caméra ou un stylo, il est et reste avant tout 
un conteur. »

Articles en lien avec Rene Manzor (2)

Avis sur cet auteur (60)

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    Couverture du livre « L'Ombre des innocents » de Rene Manzor aux éditions Calmann-levy

    Michel Giraud sur L'Ombre des innocents de Rene Manzor

    Quarante ans, divorcée, mère de trois enfants, Marion tente de percer comme autrice de roman policier. Jusqu'au jour où l'on trouve son ADN sur le cadavre d'un enfant récemment kidnappé. Un crime signé "tres" ce qui l'inclut dans une série de meurtres.
    La romancière est aussitôt accusée,...
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    Quarante ans, divorcée, mère de trois enfants, Marion tente de percer comme autrice de roman policier. Jusqu'au jour où l'on trouve son ADN sur le cadavre d'un enfant récemment kidnappé. Un crime signé "tres" ce qui l'inclut dans une série de meurtres.
    La romancière est aussitôt accusée, inculpée et incarcérée. Mais elle réussit à s'enfuir, révélant des ressources insoupçonnées.
    Pendant ce temps, au nord-est des Pays-Bas, Europôle tente de recruter Wim Haag, un ancien agent devenu travailleur humanitaire après le décès de son épouse dans un attentat en Colombie.

    Voici donc le quatrième roman de René Manzor que je lis. J'avais beaucoup aimé "Dans les brumes du mal" et "Les âmes rivales". J'avais été un peu plus déçu par "Celui dont le nom n'est plus" (je les ai lus dans cet ordre-là).
    Quand j'ai eu l'occasion de rencontrer l'auteur, venant du monde du film et des séries télé, lors du Gujan Thrillers Festival en 2022, je lui avais dit que ce qui était intéressant, c'est qu'il avait réussi à sortir des codes du scénario de film ou de série, notamment dans "Les âmes rivales".
    Avec "L'ombre des innocents", c'est tout l'inverse ! Le scénario du roman est digne d'un "James Bond" ou d'une "Mission impossible". Il ne reste plus à Manzor qu'à repasser derrière la caméra.
    Les principaux protagonistes, Marion, son ex Vincent, Wim et la policière Nayla Kassar présentent des profils intéressants, plutôt sympathiques. Le scénariste s'attache à creuser un peu leur psychologie. Pas trop ou pas trop tôt, sinon le suspense serait fragilisé...
    C'est bien écrit, comme un thriller : une écriture légère et rapide ; beaucoup d'action et de rebondissements pour donner du rythme et soutenir l'attention du lecteur. Avec peut-être un peu trop d'hémoglobine lors du dénouement ?

    Bref, un bon moment de lecture qui ne me laissera pas un souvenir inoubliable...

    Chronique illustrée : http://michelgiraud.fr/2024/12/05/lombre-des-innocents-de-rene-manzor-aux-editions-de-lepee-un-bon-moment-de-lecture-sans-plus/

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    Couverture du livre « L'Ombre des innocents » de Rene Manzor aux éditions Calmann-levy

    Ju lit les Mots sur L'Ombre des innocents de Rene Manzor

    C’est le troisième livre de René Manzor que je lis et je suis à chaque fois surprise des intrigues différentes que l’auteur propose.

    Dès les premières pages, l’auteur nous embarque dans un récit au suspens intense pour une immersion totale, et nous tenir en haleine jusqu’à la dernière...
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    C’est le troisième livre de René Manzor que je lis et je suis à chaque fois surprise des intrigues différentes que l’auteur propose.

    Dès les premières pages, l’auteur nous embarque dans un récit au suspens intense pour une immersion totale, et nous tenir en haleine jusqu’à la dernière ligne.

    L’enquête menée par l’auteur Marion Scriba est une course contre la montre pour à la fois arrêter le tueur, mais surtout pour prouver son innocence. En parallèle, Wim Haag un agent d’Europol, mène son enquête pour tenter de comprendre comment cette femme a pu se retrouver embarquer dans une histoire pareille !

    Au même titre qu’Apocryphe ou Du fond des âges, l’auteur nous embarque dans un thriller prenant, à la plume incisive, avec des descriptions précises, et immersives, permettant de visualiser clairement les scènes et de ressentir l’ambiance oppressante qui règne tout au long du roman. Les dialogues percutants, contribuant à développer les relations complexes entre les personnages. Avec une plume cinématographique, et un rythme effréné, on embarque pour une intrigue digne des meilleurs scénarios, comme il sait si bien les construire.

    Malgré quelques invraisemblances, cela reste un excellent thriller bien ficelé, avec quelques retournements de situation qui maintiennent l’intérêt du lecteur tout au long du récit. L’urgence créée une tension palpable qui contribue à l’efficacité de l’histoire.

    L’Ombre des innocents est un thriller captivant qui saura plaire aux amateurs du genre grâce à son intrigue bien construite et à son ambiance sombre. René Manzor parvient à maintenir une tension constante tout au long du récit, avec des personnages complexes et des secrets bien gardés.

    https://julitlesmots.com/2024/09/05/lombre-des-innocents-de-rene-manzor-un-thriller-digne-des-meilleurs-scenarios/

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    Couverture du livre « À vif » de Rene Manzor aux éditions Calmann-levy

    Spitfire89 sur À vif de Rene Manzor

    Une intrigue palpitante, un rythme intense, un mélange de sentiments à la fois sombres et doux, fausses certitude, une lecture fluide, un livre qui se dévore vite.

    Une intrigue palpitante, un rythme intense, un mélange de sentiments à la fois sombres et doux, fausses certitude, une lecture fluide, un livre qui se dévore vite.

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    Couverture du livre « Du fond des âges » de Rene Manzor aux éditions Calmann-levy

    Cassy59 sur Du fond des âges de Rene Manzor

    Dans ce nouveau thriller signé René Manzor, direction la Nouvelle-Zélande ! L’histoire s’ouvre sur une scène invraisemblable et cruelle : un enfant fuit un homme armé qui n’hésite pas à faire feu sur lui. Rescapé, les forces de l’ordre découvre qu’il s’agit de Nateo, un enfant porté disparu il y...
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    Dans ce nouveau thriller signé René Manzor, direction la Nouvelle-Zélande ! L’histoire s’ouvre sur une scène invraisemblable et cruelle : un enfant fuit un homme armé qui n’hésite pas à faire feu sur lui. Rescapé, les forces de l’ordre découvre qu’il s’agit de Nateo, un enfant porté disparu il y a trois ans.

    Un an auparavant, nous suivons Marcus Taylor, un célèbre explorateur et glaciologue et aussi le père de Nateo. Il s’apprête à mener une expédition scientifique en Antarctique, sur les traces d’une bactérie très ancienne. Quel est le rapport entre ces deux histoires ? Vous ne le découvrirez qu’à la fin de ce passionnant page-turner.

    J’ai adoré cette épopée au bout du monde et cette expédition glaciale et effrayante ! J’ai eu le souffle coupé plus d’une fois en découvrant certains rebondissements inattendus. J’ai aimé le mélange scientifique, fantastique et parfois ésotérique de l’histoire. Ces ingrédients sont savamment équilibrés entre eux.

    Pour conclure, j’ai dévoré Du fond des âges, un thriller très efficace et original !

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