Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
Cette histoire romancée, adaptée de faits réels et historiques, pourrait ressembler à un conte de fées si l’ombre menaçante de la « Grande Faucheuse » ne venait en troubler la quiétude, tout au long de l’ouvrage.
A la faveur d’une écriture très élégante et empreinte de sensibilité, Gérard Georges se transforme en véritable « passeur de rêves » et sous nos yeux ébahis, il s’emploie à raviver les us et coutumes de la société provinciale de cette époque. Il nous plonge avec bonheur dans le charme et l’innocence de l’amour et réveille délicieusement nos papilles devant les boules chocolatées, parfumées à la pistache ou parsemées de pralines et de graines de noisettes... Bonne lecture à toutes et à tous et mangez du chocolat : c’est bon pour la santé !
Clémentine et Auguste Roussel fondent leur chocolaterie à Royat à la fin du XIXème siècle. En 1900, ils la baptisent « A la Belle Marquise », suite à une suggestion d’Edmond Rostand, rencontré au Pavillon Sévigné à Vichy. Ils rendent ainsi hommage à la Marquise de Sévigné, elle-même très friande de cette douceur chocolatée. Le couple de chocolatiers emploie Gaétan Narcat, un personnage singulier, un peu naïf mais doté d’une personnalité attachante, dont les mésaventures donnent corps et pimentent un récit bien construit autour d’une intrigue, dominée par un romantisme peut-être un peu trop exacerbé.
En effet, tout est bien qui finit bien…. Cette histoire romancée, adaptée de faits réels et historiques, pourrait ressembler à un conte de fées si l’ombre menaçante de la « Grande Faucheuse » ne venait en troubler la quiétude, tout au long de l’ouvrage.
A la faveur d’une écriture très élégante et empreinte de sensibilité, Gérard Georges se transforme en véritable « passeur de rêves » et sous nos yeux ébahis, il s’emploie à raviver les us et coutumes de la société provinciale de cette époque. Il nous plonge avec bonheur dans le charme et l’innocence de l’amour et réveille délicieusement nos papilles devant les boules chocolatées, parfumées à la pistache ou parsemées de pralines et de graines de noisettes... Bonne lecture à toutes et à tous et mangez du chocolat : c’est bon pour la santé !
Je remercie les éditions Les Presses de la Cité et net galley pour l'envoi du roman Lucie Lumière de Gérard Georges.
Nous sommes en 1963.
Chez les Collange, Lucie est la pièce rapportée, une enfant de l'Assistance publique. Dans cette famille, il y a déjà deux enfants, un garçon ; et une fille qui a un an de plus qu'elle : Edith.
Pas vraiment aimée, juste tolérée, Lucie a bien peu à partager avec sa famille d'adoption, laborieuse et guère aimante, qui vit de la culture de l'ail rose.
Lucie, elle, est un vent de liberté et d'insolence, qui adore parcourir la nature avec son ami Clément. En avance, intelligente, on dit d'elle qu'elle a le diable au corps....
Du haut de ses douze ans, Lucie a une révélation : plus tard, elle sera écrivain. Elle quittera l'Auvergne, la plaine de Limagne, les Collange, l'école...
Lucie Lumière est un très bon roman du terroir, qui m'a captivé de la première à la dernière page.
Lucie a 12 ans, mais le corps d'un enfant plus âgée. Elle est aussi en avance intellectuellement. Dans ce village, personne ne la comprend... Elle ne considère pas ses parents adoptifs comme ses parents, c'est impossible. Et son frère, sa soeur, ne le sont pas non plus ! Elle a pitié de Edith, si peu maligne par rapport à elle, ce dont se rend bien compte Madame Collange...
La famille n'est pas méchante envers elle, ils ne la frappent pas mais ils ne l'aiment pas, c'est évident. Et il y aussi l'aide du patron, un jeune homme qui a tendance à tourner autour d'elle, oubliant qu'elle n'a que douze ans.
Ce monde n'est vraiment pas pour elle, alors la jeune fille rêve grâce aux livres, et elle espère bien un jour pouvoir à son tour inventer de jolies histoires et devenir une écrivain reconnue.
Lucie Lumière est un très joli roman du terroir, dont j'ai apprécié l'écriture. Je ne connaissais pas cet auteur, mais je relirais Gérard Georges avec plaisir.
L'histoire est simple, c'est celle d'une jeune fille de l'assistante qui n'est pas à sa place dans une famille peu aimante, qui ne sait apprécier sa différence. Rien de bien surprenant en soi mais c'est bien ficelé, j'ai pris plaisir à suivre la jeune Lucie et je suis ravie de ma lecture.
Nous avons ici un roman que je recommande aux amateurs du genre, et je mets cinq étoiles :)
Ce roman de simple divertissement flatte les goûts d'un public peu exigeant. Il se lit et se comprend facilement pour la simple raison qu'il n'y a rien à comprendre dans ce livre. Le style mêle termes soutenus et expressions toutes faites. Les personnages sont soit inexistants soit caricaturaux. L'intrigue ne présente guère d'intérêt. Il tient du roman de gare et du roman à l'eau de rose.
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