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Voici quelques mois que je reçois cette série par France Loisirs ... Je me suis lancée dans ce tome 1 sans rien savoir, je n'ai pas lu la 4eme de couv et je ne sais pas si cette saga fait parler d'elle ou non. J'avoue que je n'en ai pas entendu parlé ! Margaux emménage dans un appartement dans la rue Cavendish à Paris. Nous allons, tour à tour, faire la connaissance de tous les habitants de cet immeuble ... ça se lit très vite, c'est plaisant mais sans plus ! Je continuerai cette série puisque je les ai ... Mais je ne les enchaînerai pas ! Une lecture légère qui réussit à divertir !
Le tome 5 de cette série continue de me captiver, offrant une lecture agréable grâce à une écriture fluide et des chapitres courts.
Léa occupe le devant de la scène en tant que jeune femme ambitieuse et bienveillante. Le roman aborde divers sujets tels que le harcèlement, les applications de rencontre, les réseaux sociaux, le GHB, les relations amoureuses et les défis de la vie étudiante entre cours et travail. Une intrigue supplémentaire explore le passé lié à des enfants juifs cachés.
Cette série séduit par la diversité et l'actualité des thèmes traités, et j'apprécie particulièrement de suivre l'évolution des personnages au fil des tomes.
Néanmoins, je note un léger bémol concernant le traitement du harcèlement, jugé trop léger, et une fin floue.
En conclusion, j'ai beaucoup apprécié ce tome et je vous encourage à découvrir cette charmante série qui réussit à me faire vivre à chaque fois un moment de lecture très plaisant, mêlant habilement émotions et légèreté.
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Dans ce roman touchant, nous suivons Hermine, une institutrice dont l'appartement était autrefois son havre de paix. Cependant, sa vie prend un virage inattendu lorsqu'elle accepte d'héberger Ismaël, un jeune réfugié, sur la demande de sa collègue Yasmine. Ce geste de générosité va bouleverser non seulement la vie d'Hermine, mais aussi celle de ses voisins.
Malgré les défis que cela implique, Hermine ne peut refuser d'aider Ismaël, même si cela signifie remettre en question sa routine bien établie. Son quotidien paisible est désormais rempli de nouveaux défis et de responsabilités, mais heureusement, elle peut compter sur le soutien précieux de Margaux, une amie toujours présente pour lui donner de bons conseils, ainsi que de Joshua, un ami fidèle sur lequel elle peut toujours compter.
Cependant, la vie n'est pas de tout repos pour Hermine. Au travail, un nouvel enseignant la colle sans cesse, ajoutant ainsi du stress à une journée déjà bien remplie. De plus, la nouvelle fiancée de Joshua, bien qu'apparemment parfaite, apporte son lot de complications à l'équilibre fragile de l'immeuble. Hermine se demande si elle pourra un jour retrouver la tranquillité qu'elle appréciait tant.
À travers les pages de ce roman, nous sommes plongés dans un mélange émouvant d'aventure, d'amour, de désespoir et de relations de voisinage. L'auteure, Caroline Kant, parvient à capturer avec brio les enjeux de l'immigration, les complexités des relations humaines et les défis auxquels nous sommes confrontés au quotidien.
Ce qui rend cette série d'autant plus captivante, c'est l'évolution des personnages au fil des tomes. On s'attache à eux, on les voit grandir et évoluer.
Un joli roman abordant des sujets importants tels que l'immigration, les relations toxiques, l'amitié et l'amour. Hermine, en tant que personnage principal, incarne la force et la détermination face à l'adversité, nous rappelant l'importance de l'empathie et de la solidarité dans notre société.
Ce livre est une ode à l'humanité et à la capacité de se soutenir mutuellement dans les moments difficiles.
L'Immeuble de la rue Cavendish est le titre donné à une série de trois romans écrits par Caroline Kant. J'ai lu le premier tome, Les Manigances de Margaux, et j'en resterai là. Pour faire court, c'est l'histoire de Margaux, une jeune femme fraîchement célibataire, qui emménage dans l'appartement de son oncle et qui fait connaissance avec ses nombreux voisins en moins de temps qu'il n'en faut pour l'écrire. Les voisins en question sont très facilement identifiables car décrits très superficiellement par un ou deux traits de caractère. Margaux elle-même est caricaturale à souhait et l'aventure qu'elle va vivre dans son nouvel immeuble est conduite d'une manière que j'ai trouvée assez peu réaliste. L'ensemble est un peu fourre-tout, on fait mine de s'intéresser à des problématiques de fond mais le ton trop léger et le caractère très puéril de Margaux desservent l'ensemble. J'écris cela en sachant très bien que c'est voulu, on n'est pas dans une étude sociétale, plutôt dans un roman de style chick lit. Je comprends que l'on puisse avoir envie de légèreté, mais on doit sans doute pouvoir trouver mieux…
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