"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
«Peut-être y en aura-t-il d'autres des Horn, des beaux, des colériques, des tendres. Le premier Horn, pourtant, seul est le bon, qui donne le droit de porter l'anneau d'or et de cracher au vent. Il est le signe qu'un jour on a tutoyé son rêve, que l'on a pu, que l'on a su venir ici, dans ce bout du monde où se rejoignent l'imaginaire et la réalité. Passer le Horn n'est pas seulement doubler un cap, pas uniquement en finir avec les peurs du Sud ; ce n'est pas toujours un plaisir, mais pas forcément une agonie. Passer le Horn, c'est regarder la carte, monter sur le pont, regarder le caillou et sentir que quelque chose est arrivé.» Janvier 1997. Isabelle Autissier passe le Horn pour la troisième fois. Engagée dans le Vendée Globe, tour du monde à la voile, en solitaire, sans escale et sans assistance, elle vient de vivre des moments douloureux et inoubliables, ceux qui forgent l'âme d'une solitaire autour du monde. Cet ouvrage - dont le texte ci-dessus est tiré - est un récit à deux voix, celle d'Isabelle Autissier et celle d'Éric Coquerel. Ces voix se conjuguent entre émotions, souvenirs et réflexions sur ce Vendée Globe mais également sur les autres circumnavigations de l'auteur faisant surgir ainsi un tour du monde emblématique.
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