Et si on composait un texte nous aussi ?
Dans ce court récit, Julia Kerninon, pas encore trente ans, façonne sa propre légende. Née de parents fous de lecture et de l'Amérique, elle tapait à la machine à écrire à cinq ans et a toujours voulu être écrivain. Dans une langue vive et imagée, un salut revigorant à la littérature comme « activité respectable ». A dévorer ! Prix Françoise Sagan et prix de la Closerie des Lilas pour ses deux premiers romans.
Et si on composait un texte nous aussi ?
Et vous, quels sont vos coups de cœur dans la liste ?
Cette semaine MaLibrairie vous emmène à Nantes rencontrer Charlotte et sa librairie "La vie devant soi"
Julia Kerninon se soumet à cet exercice toujours difficile pour un écrivain,, dire comment elle en est venue à l'écriture.Elle a su en faire un récit d'une cinquantaine de pages qu'on lit avec plaisir,occasion pour elle de rendre un hommage à la littérature et à ses parents.Elle glisse quelques éléments biographiques ce qui rend l'auteure encore plus attachante.
A cinq ans et demi, elle découvre avec sa mère la librairie Shakespeare and Company,élément fondateur peut-être tout comme la machine à écrire qui est pour elle une mise en écriture.Des parents voyageurs ,bohèmes et grands lecteurs, Julia Kerninon est à bonne école et commence à écrire très tôt puis fera une pause dans ses études pour vivre 6 mois a Budapest et se livrer à une activité respectable, lire et écrire,...Elle ne dit rien sur ses écrivains inspirants…
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Une activité respectable que la littérature. Julia Kerninon nous livre ici une très jolie déclaration d’amour adressée aux mots. Amis de textes bien écrits et de plumes poétiques, vous serez charmés par ce court récit.
Bercée dès sa plus tendre enfance par les livres et les librairies (beau clin d’oeil à la libraire Shakespeare and Company), et ayant reçu en cadeau de ses parents une machine à écrire dès l’âge de 5 ans, Julia Kerninon avait tous les éléments en main pour devenir écrivain : une vie donc totalement dévouée à l’écriture vécue comme un art, libre, parfois chaotique sur le plan matériel mais riche de voyages et de rencontres. En deux mots : une activité respectable. Quel titre bien choisi ! Un livre qui allie à la fois fraîcheur et maturité.
À 30 ans, Julia Kerninon vit la même vie depuis 25 ans. Des journées passées entre les pages des livres… Élevée dans une famille férue de littérature et d’Amérique, elle reçoit, à 5 ans, sa première machine à écrire. Une révélation pour la petite fille : elle sera écrivain. Julia Kerninon décrit parfaitement tout l’amour qu’elle porte aux livres, la passion qui l’anime dès qu’elle écrit, le chemin sinueux et parfois chaotique qu’elle a traversé et se rappelle, avec tendresse, quelques moments de son enfance. L’auteur, de sa plume vive et passionnée, nous fait partager son amour pour la littérature et l’écriture, des activités tout à fait respectables.
https://accrochelivres.wordpress.com/2017/08/14/une-activite-respectable-julia-kerninon/
Si j'ai beaucoup entendu parler de Julia Kerninon, je n'avais encore jamais lu aucun de ses écrits et j'avais hâte de découvrir son univers. Récit largement autobiographique, "Une activité respectable" a été pour moi une déception. La passion pour la lecture, pour l'écriture et pour la littérature est certes palpable à chaque étape de la vie de l'auteur. Mais le récit reste autocentré et ne prend jamais une dimension plus universelle. Cette vision très intimiste - j'ai envie de dire égocentrique - ne distille ni mystère, ni attrait, ni empathie alors même que l'écriture est pure et plutôt agréable. En fait, je suis restée complètement indifférente à ce récit.
court texte autobiographique où Julia Kerninon nous raconte son amour des livres et de l'écriture. Pas désagréable mais assez plat dans l'ensemble
Dans l'intimité d'une jeune écrivaine, entre souvenirs d'une enfance liseuse et exigence du travail d'écriture.
De Julia Kerninon, j’avais apprécié « Le dernier amour d’Attila Kiss » qui était déjà dans la sélection du Prix Orange du livre l’an passé. Avec Une activité respectable, l’auteur nous invite dans un récit quasi autobiographique où elle nous parle de l’amour des livres, de la littérature et de l’envie de devenir écrivain. Elle s’y dévoile avec pudeur et poésie.
Et l’on y retrouve une librairie mythique que Shakespeare and Company, mais aussi l’enfance, la famille, celle qui nous construit, qui nous précède, la fratrie, les amis, les voyages, les études, tout ce qui fait qu’on se construit une personnalité.
Une activité respectable est un récit étonnant, court et maitrisé. C’est un ovni littéraire à dédier à tous ceux qui ne peuvent pas vivre sans les mots et à tous les écrivains qui nous régalent de leurs textes !
http://leslivresdejoelle.blogspot.fr/2017/04/une-activite-respectable-de-julia.html
J'ai beaucoup entendu parler de Julia Kerninon mais je n'avais jusqu'à présent lu aucun de ses romans.
Avec "Une activité respectable" elle nous livre son premier récit autobiographique.
Elle nous raconte son enfance auprès de ses parents dévoreurs de livres qui lui ont offert une machine à écrire pour ses cinq ans et qui ont toujours penser que la littérature était "une activité respectable". Petite fille, Julia Kerninon n'aimait rien tant que d'être seule dans une pièce pour lire, imitant ainsi ses parents qui lisaient en permanence. Elle nous raconte une anecdote amusante : lorsque sa mère allait aux toilettes d'un restaurant dans lesquelles il n'y avait aucune affiche à lire, elle sortait un billet de ses poches pour le déchiffrer, difficile de faire plus accro à la lecture... Julia s'est nourrie tout au long de son enfance de la connaissance colossale des livres qu'avait accumulée sa mère.
Julia Kerninon nous raconte sa passion de la lecture et de l'écriture et résume sa vie ainsi : lire le jour et écrire la nuit et avoue avoir pour seule ambition de lire des livres et d'écrire les siens. "Je vis la même journée depuis vingt cinq ans et j'en ai trente."
De son départ à 20 ans seule pendant une année à Budapest pour écrire son premier roman aux portraits de ses proches, de ses parents instituteurs très ouverts et amoureux des voyages, de sa grand-mère et de vieux poètes avec qui elle récitait de la poésie dans les cafés, Julia Kerninon nous entraine au cœur de la vie d'une femme passionnée de lecture et d'écriture et au cœur de son processus de création, nous faisant parfaitement ressentir la solitude et les doutes de l'écrivain. Elle nous évoque "l'expérience de la sueur" lorsqu'elle doit travailler comme serveuse pour gagner sa vie, elle qui n'a jamais vécu que dans les livres.
Tout au long de son récit, Julia Kerninon évoque ses multiples lectures mais malheureusement ne nous cite pas les auteurs et les romans qui ont compté pour elle, j'aurai aimé qu'elle développe ce sujet cela aurait donné une autre dimension à son récit.
Julia Kerninon possède une fort jolie plume qui ne peut que donner envie de lire ses précédents romans. J'ai bien aimé son récit débordant d'amour pour la littérature dans lequel elle se livre beaucoup et qui ne peut que plaire aux amoureux des mots, j'ai cependant regretté que ce bel hommage à la littérature soit si court.
Ce roman fait partie de la sélection du prix Orange du livre.
Bien écrit mais la magie n'a pas opéré...
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