Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
Longtemps après Pourquoi je suis devenu écrivain (seulement publié en français en 2013), Stasiuk poursuit son entreprise autobiographique en lui donnant une tout autre direction. Les temps ont changé autant que l'écrivain. Les rêves insouciants du jeune homme sont confrontés au déclin : celui de l'aïeule, celui de l'animal domestique aimé, celui de plusieurs amis. L'oeuvre revient sur ces pertes subies au cours de l'existence, à la fois comme expériences intimes et comme sujets de méditations subtiles sur le temps qui passe, la solitude et la mort.
Un vague sentiment de perte avance au gré des souvenirs, sans contrainte, sans lourdeur. Stasiuk approche quatre êtres disparus auxquels il rend hommage avec une légèreté qui tient du paradoxe.
Voilà qui provient sans doute de l'enfance, et du premier et doux visage que prit à ses yeux la mort :
Celui de cette grand-mère disparue en automne. Son histoire, ancrée dans une Pologne d'un autre temps, dans l'une de ces maisonnettes bordées d'arbres fruitiers et de forêts, nous est livrée par brefs éclats. Sont ainsi évoquées des bribes de récits embarquant son petit-fils vers d'autres réalités, celles des esprits et des revenants, mais aussi ces heures dédiées à l'exploration, à la découverte du monde environnant, passées en compagnie d'une immense conteuse dont Stasiuk se fait ici l'héritier.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
L’écrivain franco-vénézuélien Miguel Bonnefoy poursuit l’exploration fantasmagorique de sa mémoire familiale...
Des romans policiers à offrir ? Faites le plein de bonnes idées !
Nostalgique, nomade ou plutôt romantique ? Trouvez le livre de la rentrée qui vous correspond !