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Parce que c'était écrit...

Couverture du livre « Parce que c'était écrit... » de Janine Boissard aux éditions Pocket
  • Date de parution :
  • Editeur : Pocket
  • EAN : 9782266199759
  • Série : (-)
  • Support : Poche
Résumé:

La salle s'efface dans l'obscurité.
Les premières images, sur l'écran, défilent. Parmi les éclats d'un vase brisé, mille visages grimacent et s'échappent sur la plaine désolée. Terrifiant et fascinant.A l'évidence, le festival du film publicitaire de Venise tient là son lauréat. Frédéric Moure,... Voir plus

La salle s'efface dans l'obscurité.
Les premières images, sur l'écran, défilent. Parmi les éclats d'un vase brisé, mille visages grimacent et s'échappent sur la plaine désolée. Terrifiant et fascinant.A l'évidence, le festival du film publicitaire de Venise tient là son lauréat. Frédéric Moure, lui, y a vu son destin. Directeur d'une agence concurrente, il n'a que faire de son propre échec, ébranlé qu'il est par le spectacle de sa vie.
Car le vase, c'est le sien. Et, oui, cette figure balafrée, hurlant comme un damné, est bien son visage. Son avenir. L'angoisse l'étreint. Le soupçon, la panique. Quel funeste canular ! À moins qu'il ne s'agisse d'un complot. Mais qui aurait intérêt à le voir sombrer dans la folie ? Sa femme, de plus en plus distante, ces derniers temps ? Helmut Steiner, l'énigmatique auteur du film, dément toute implication.
Ces deux minutes d'horreur sur grand écran ne seraient-elles alors rien d'autre que la bande-annonce de sa mort

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Avis (1)

  • Frédéric Moure a remporté le prix du festival du film publicitaire de Venise deux années de suite. Il présente donc son dernier court métrage pour lequel il est pressenti comme vainqueur. Mais coup de tonnerre, c'est l'outdsider, Steiner, un publicitaire allemand qui rafle le prix avec son film...
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    Frédéric Moure a remporté le prix du festival du film publicitaire de Venise deux années de suite. Il présente donc son dernier court métrage pour lequel il est pressenti comme vainqueur. Mais coup de tonnerre, c'est l'outdsider, Steiner, un publicitaire allemand qui rafle le prix avec son film intitulé 88.
    Alors qu'il ne cesse de regarder ce film, Frédéric se rend compte qu'en filigrane 88 fait référence à sa vie et cela va virer à l'obsession au point qu'on ne sait plus quand il est lucide. Souffrirait-il d'hallucinations ? Sont-ce vraiment des hallucinations ? Ces hallucinations vont le suivre au quotidien aussi bien dans son travail que dans sa vie personnelle.
    Ce roman est bien ficelé car jusqu'au bout on se demande si ce qui arrive à Frédéric ne relèverait pas d'une machination. A la lecture de ce roman, on regarde notre environnement différemment et nous montre que la frontière entre réalité et folie, entre lucidité et paranoïa est très floue et qu'il n'est pas toujours de maîtriser les choses et que l'on peut vite basculer.
    J'ai aimé ce roman car il soulève non seulement des questions psychologiques mais aussi d'actualité : le surmenage n'aurait il pas un impact sur les tendances paranoïaques ? Mais aussi parce qu'on est balloté comme le principal protagoniste entre réalité et ce que l'on pense être la réalité. C'est sans arrêt un va et vient entre les deux. En outre le rythme de ce roman très prenant fait qu'on ne le lâche qu'une fois lu.
    C'est un roman à découvrir

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