Choisissez, lisez et chroniquez !
Le nouveau roman de Johana Gustawsson va vous couper l'appétit Après Block 46, le duo d'enquêtrices Emily Roy (profileuse de renom, froide et parfois curieusement maternelle) et Alexis Castells (écrivaine de true crime) revient pour une enquête terrifiante qui explore, cette fois encore, l'histoire et les liens familiaux.
On retrouve, en Suède, un cadavre de femme amputé de plusieurs kilos de chair : les seins, les hanches, les cuisses et les fesses ont disparu. Au même moment, à Londres, Emily Roy enquête sur une disparition inquiétante : une actrice célèbre a été enlevée, et ses chaussures abandonnées à proximité de son domicile, dans un sac plastique, avec une paire de chaussettes soigneusement pliées dedans.
Ces deux crimes portent la signature du serial killer qui a tué l'ancien compagnon d'Alexis Castells au moment de son arrestation : Richard Hemfield. Hemfield est enfermé à vie à l'hôpital psychiatrique de haute sécurité de Broadmoor, pour le meurtre de six femmes blanches, retrouvées, en l'espace de deux ans, assassinées et amputées de leurs seins, de leurs fesses, de leurs cuisses et de leurs hanches...
Le problème, c'est que Richard Hemfield est en prison depuis dix ans. Comment expliquer que ses crimes recommencent ?
Le nouveau roman de Johana Gustawsson plonge cette fois encore ses racines dans l'histoire : au coeur du Londres du XIXe siècle, dans les ruelles sillonnées par Jack L'Éventreur. De génération en génération, entre Londres et la Suède, une curieuse coutume s'est transmise : le cannibalisme, par goût, par loyauté et par vengeance, pour sceller entre eux les membres d'une même famille.
Comme chez Camilla Läckberg, à qui on a plusieurs fois comparé le premier roman de Johana Gustawsson, Block 46, l'évolution personnelle des personnages apporte toute sa profondeur au développement de la série.
Mor est un roman d'une grande féminité, qui explore le désir, la fusion, la folie des liens familiaux. Familles dysfonctionnelles, heureuses ou mise en péril par les pulsions et la transmission, violente ou inconsciente, des perversions familiales.
Chargés de résoudre de nouveaux crimes atroces, les équipes de recherche suédoise (Bergstrom, Olofsson, et deux nouveaux personnages féminins, Karla Hansen et Aliénor Lindbergh) et anglaise (Emily Roy, Alexis Castells et Jack Pearce), sentent résonner profondément, dans leur histoire personnelle, les événements auxquels ils sont confrontés.
Pour Alexis Castells, Richard Hemfield fait violemment resurgir le passé et la mort de son compagnon : replonger dans les dossiers qui l'obsèdent depuis dix ans est peut-être, cette fois, la seule façon pour elle d'envisager l'avenir. Elle doit combattre ses fantômes et sa peine, achever son deuil, pour revenir à la vie aux côtés de Stellan, rencontré en Suède au cours du premier roman de la série.
Emily Roy porte en elle la cicatrice jamais refermée de la mort de son enfant et de la mutilation qu'elle a subie à la fin de Block 46, quand Ebner lui a tranché le téton. Elle incarne une figure complexe de la maternité, en miroir déformé des femmes et des mères qui ont nourri leur progéniture, en Suède, avec de la chair humaine.
Comme Block 46, Mor repose sur un twist majeur qu'il est impossible de révéler sans lui fait perdre toute sa saveur : Johana Gustawsson travaille, de façon documentée toujours, sur la manipulation de son lecteur, pour faire résonner la réalité de ce qui donne chair à la fiction. Le succès de Block 46 prouve que sa recette fonctionne.
Choisissez, lisez et chroniquez !
《Mör》: adj. fém. En suédois, signifie 《tendre》. S'emploie pour parler de la viande.
Falkenberg. Suède.
Un corps de femme affreusement mutilé est retrouvé aux abords d'un lac.
Londres. Royaume-Uni.
Une célèbre actrice est enlevée devant chez elle. Sa paire de chaussures est retrouvée dans un sac de congélation, sur les lieux de l'enlèvement.
Ces deux affaires amènent les enquêteurs à penser qu'il s'agit du serial killer, Richard Hemfield.
Il séquestrait ses victimes, les étranglait, puis les dépeçait. À chaque nouvel enlèvement, les chaussures des victimes étaient retrouvées. Mais cet homme est interné en hôpital psychiatrique depuis dix ans.
S'agit-il d'un copycat ?
Richard Hemfield est-il finalement innocent ?
La profileuse Emily Roy et Alexis Castells l'écrivaine vont mener une enquête qui remuera le passé, voire même leur propre passé...
Ce roman nous plonge au cœur du Londres du XIXè siècle, dans les ruelles sillonnées par Jack l'Éventreur.
Johana sait vraiment y faire pour nous amener à tourner les pages jusqu'au dénouement final, forcément inattendu...
Je n'ai fait qu'une bouchée de ce roman !
JE L'AI DÉVORÉ !
Si vous ne connaissez pas cette auteure, jetez-vous vite sur ses romans !
Block 46 était entré dans mes coup de coeur sans demander la permission et le coup de coeur continu avec Mör !!!!J'ai dévoré ce livre en moins de 24 heures et sa faisait un moment que ça ne m'étais pas arrivé.Je m'attendais a tout sauf a cette fin qui m'a totalement fait halluciner.Johana Gustawsson a une facilité consternante a me tenir en haleine pendant la lecture de ces écrits. « Un écrivain audacieux et bourré de talent « je suis totalement d'accord avec Mr R.J Ellory.
Je vous le conseille sans hésitation et vous promet de passer un très bon moment en compagnie de d'Emily Roy et Alexis Castells.
J’ai commencé « Mör » juste après « Block 46 » car je ne voulais pas quitter cet univers et les personnages principaux. Je n’avais donc rien lu dessus. On est encore une fois dans un très bon roman entre « passé/présent » ce que l’auteure maîtrise à la perfection. Quand j’arrive dans la partie passé, Londres, quartier White Chapel en 1888, je comprend directement de quoi il va s’agir et là déjà je jubile !!!!
On retrouve nos personnages tant aimés dans le précèdent et on va en apprendre plus sur eux. En particulier sur le passé d’Alexis, sur la perte de son compagnon. De quoi s’attacher un peu plus encore…
Mais on a aussi de nouveaux personnages géniaux !!
Une femme flic, très investie dans son travail, qui essaie de jongler avec son job qui la passionne et sa vie de famille, son mari et ses deux petites jumelles….
Et il y a Eléonore !! aaaahhh Eléonore, j’adore !!! Un nouveau personnage féminin avec une petite particularité qui la rend attachante et drôle (a son insu), j’ai eu un vrai coup de cœur pour ce personnage. Pour moi, par ses petites interventions, elle est même passée au dessus des personnages principaux.
Et la fin…… Un twist de fou, même une mitraillette de twists…. Dans ses deux romans, Johana concentre notre attention sur un point… Tout le long je me suis dis « ah oui c’est ça, j’en suis sure » et a un moment elle te dit « oui c’est presque ça » mais en même temps elle te rajoute « sauf que t’as pas vu ça, ça et ça ». Tellement concentrée sur le point 1 que je n’ai pas vu venir les points 2, 3, 4 etc…. une mitraillette de surprises. A la fin du roman, je suis restée bloquée avec un « ouaaaaa, je n’en reviens pas de tout ce que j’ai pris en pleine face ».
J’avais déjà croisé Johana Gustawsson au détour de quelques salons. Cette auteure toujours souriante semblait très proche de ses lecteurs et je m’étais promis un jour de lui donner sa chance.
Mör est la deuxième aventure de la série. Les acteurs principaux ont surement déjà été développés dans le précédent épisode et on attaque sans préliminaire dans le feu de l’action. N’ayant pas lu « Block 46 », j’ai été un peu désorienté par le nombre personnages qui se succèdent dès le début. L’auteure donne bien sporadiquement des informations quant au passé qui les lient, mais il m’a tout de même fallu du temps pour bien appréhender le rôle de chacun. Ceci étant fait, j’ai pu me jeter tête baissée dans cette enquête malsaine.
Alternant entre passé et présent, le lecteur suit une équipe étendue d’enquêteurs à la poursuite d’un assassin morbide. Dans des chapitres très courts (3/4 pages), Johana Gustawsson ne rentre pas dans les détails, c’est appréciable dans les scènes plutôt gores et ça permet de donner un rythme non négligeable au récit. Tout est mis en œuvre pour l’efficacité du texte. Au fil des investigations et des interrogatoires, les éléments de l’intrigue se mettent en place et on ne lâche plus les pages. Pas de grandes scènes d’action ou de grands moments de suspense intense, juste une histoire à tiroirs entrainante et pleine de surprises.
Le livre aurait peut-être mérité quelques approfondissements afin de mieux cerner les protagonistes et d’être un peu plus en empathie avec eux. Je conseille donc de lire le premier volume avant, ce que je ferai moi-même dès que possible, et vous profiterez ainsi au maximum de cette aventure au scénario complexe et maîtrisé. Car malgré mes lacunes, j’ai pris beaucoup de plaisir avec ce thriller sanglant mais accessible à tous. Je suis donc content d’avoir fait le premier pas avec Johana Gustawsson et pourrai m’arrêter à son stand à l’occasion pour échanger avec elle.
J’ai acheté ce livre lors du Quai des Polars à Lyon en mars dernier tout d’abord pour rencontrer l’auteure mais aussi parce que j’avais beaucoup aimé son précédent Block 46 et étant très curieuse je voulais voir ce qu’allait donner son nouveau bébé.
Je l’ai également gagné grâce aux lecteurs.com.
Pour Block 46 j’ai été étonnée car je trouvais que pour un premier bouquin elle avait mis la barre haute. Il est à la fois complexe car elle jongle parfaitement entre deux époques différentes, mais il est aussi très abouti.
Et là j’avoue qu’avec Mör j’ai été complètement conquise et j’ai adoré.
Ce livre possède énormément de qualités.
Tout d’abord l’histoire, elle commence d’emblée et ça donne le ton !!! Deux enquêtes en parallèle dans des lieux différents, des villes différentes mais qui ont pourtant un lien : Richard Hemfield, tueur en série condamné.
Donc au fil de ma lecture j’ai été prise dans ces enquêtes, j’ai senti l’angoisse monter peu à peu et la peur s’est même installée face à certaines situations qui m’ont prise aux tripes.
Ensuite la richesse des personnages. J’entends par là qu’il y en a quelques-uns mais ont tous une importance et un rôle bien précis. Bon j’ai quand même dû me réhabituer aux noms suédois.
J’ai pris notamment un grand plaisir à retrouver Emily et Alexis, qui sont complètement différentes et même à la limite opposées mais qu’on sent investies, déterminées,… Deux femmes atypiques.
J’ai beaucoup aimé aussi le personnage d’Aliénor, cette jeune femme flic qui a une intelligence hors norme de par sa particularité mais qui est tellement attachante. Olofsson aussi m’a bien faite rire par moments, complétement décalé.
Les personnages sont donc riches, graves. Certains sont touchants, attachants. Johana a réussi à me faire ressentir de l’empathie pour ceux que j’aurais dû détester.
Le voyage est au rendez-vous car elle manie habillement les différentes situations. Il y a parfois même des scènes dures mais encore une fois elle les amène parfaitement sans tomber dans la facilité.
Pour finir j’ai donc apprécié cette façon de nous faire remonter le temps sans nous perdre et au contraire pousser au maximum notre curiosité. Jusqu’à la dernière ligne elle m’a complètement surprise !!!
C’est donc sincèrement que je dis, que pour moi, Mör a tout d’un grand thriller. J’ai passé un très bon moment de lecture et ne peux que vous le recommander.
Mör : adj. fém. En suédois, signifie « tendre ». S’emploie pour parler de la viande.
Torvsjön, 16 juillet 2015. Sur les rives d’un lac, on retrouve le cadavre affreusement dépecé d’une femme. Ses seins, ses fesses, ses cuisses et ses hanches ont été amputés de plusieurs kilos de chair.
Londres, le lendemain matin. La profileuse Emily Roy est appelée sur les lieux d’une disparition inquiétante : l’actrice Julianne Bell a été enlevée à l’aube, et ses chaussures ont été retrouvées à proximité de chez elle, emballées dans un sac de congélation.
Ces deux crimes portent la signature de Richard Hemfield, le « tueur de Tower Hamlets », enfermé à perpétuité à l’hôpital psychiatrique de haute sécurité de Broadmoor. Dix ans plus tôt, il a été reconnu coupable du meurtre de six femmes et de celui de l’ancien compagnon de l’écrivaine Alexis Castells. Comment alors expliquer que ses crimes recommencent ?
MON AVIS
J’avais adoré « Block 46 », le premier thriller de Johana Gustawsson, bien qu’un des thèmes abordés n’était pas simple puisqu’il dévoilait les atrocités commises au camp de Buchenwald en 1944.
Ce second thriller « Mör » va encore plus loin et frappe plus fort. L’intrigue se déroule toujours entre la Suède et l’Angleterre, des pays que l’auteure connaît bien.
On retrouve avec plaisir la profileuse Emily Roy et sa complice écrivaine Alexis Castells, personnages découverts dans « Block 46 ».
Ce thriller est une réussite totale ! Une vraie claque ! Les moments de suspense et de tension m’ont fait bondir de mon fauteuil ! J’ai eu peur pour la vie de certains personnages.
Le roman concocté par Johana Gustawsson est parfait de maîtrise. Il allie une intrigue passionnante et une lecture addictive avec des personnages forts en caractère. Pas de temps mort. L’enquête avance vite.
La très belle plume de l’auteure a su m’accrocher dès le départ pour ne plus me lâcher jusqu’au final. Je vous laisse découvrir ce chef d’œuvre par vous-même.
Ce récit est sombre par son thème et dur par les actes commis. Malgré tout, Johana Gustawsson arrive à faire passer de l’humour et de l’ironie grâce à ses personnages fétiches que sont Emily Roy et Alexis Castells.
«Mör » a été un vrai coup de cœur pour moi et l’auteure a franchi un nouveau palier qui la rapproche des meilleurs auteurs de thrillers. L’excellence est ici ! Ne la manquez pas !
https://lecygnenoirblog.wordpress.com/2017/04/28/mor-johana-gustawsson/
C'est avec plaisir que je retrouve le second tome des aventures Emily Roy et Alexis Castells.
En 2015 :
Suède : On retrouve le corps mutilé d'une jeune femme.
Karla Hansen est mise sur l'enquête.
On découvre une enquêtrice attachante, décrite par ses collègues comme une beauté, mariée à l'écrivain Dan, et mère de 2 adorables petites filles.
Londres :
Julianne Belle est kidnappée en sortant de chez elle.
Emily est dépêchée sur l'enquête, très vite elle trouve un lien entre ce kidnapping et des crimes commis entre 2004 et 2005 par Richard Hemfield (interné en hôpital psychiatrique depuis)et le crime commis en Suède.
Elle décide de contacter Alexis pour l'aider, elles partent toutes les 2 pour la Suède
Dans ce roman, on en découvre un peu plus sur le passé d'Alexis
En 1888
Londres : Jack l'éventreur commence à commettre ses crimes, on les découvre à travers l'histoire de Freda, suédoise fraîchement arrivé à Londres pour y travailler.
L'auteur nous ballade entre la Suède et Londres, entre 1888 et 2015, avec aisance.
Dans ce roman on y retrouve de tout, de l'amour, beaucoup d'humour des personnages attachant nos 2 héroïnes de Block 46, mais aussi Aliénor Lindberg étudiante en droit criminel et psychologie, un génie autiste, que j'adore de suite !
On y découvre aussi un Londres en 1888, ou règne violence et misère sociale, poussant les gens à tous les vices pour s'en sortir.
Il y a également des moments très dure, ou il faut s'accrocher, tellement l'horreur qui vivent certains personnages est bien décrit par l'auteur.
En lisant ce roman, on peut comprendre comment certaine personnes deviennent des psychopathes sans âme...
Johanna a encore réussie à me bluffer avec ce roman, en décrivant des vices cachés inimaginables, avec en plus en histoire parallèle survolant des crimes historiques, ceux de Jack l'éventreur (avec sa multitudes de présumés coupables), allant de rebondissement en rebondissement jusqu'aux dernières pages, mon Dieu je n'ai rien vu venir, mais comment réussi tu à faire un roman aussi brillant ?
On se rend parfaitement compte du temps de recherche que Johanna à consacrer à l'écrire de ce nouvel opus, pour que tout soit aussi parfait et réaliste
Encore bravo et merci Johanna encore un sans faute et un gros gros coup de cœur pour moi.
L'histoire met en parallèle des époques et des lieux:Falkenberg(Suède 2015),Londres(1888 et 2015).Elle puise ses racines dans l'époque victorienne,dans l'univers de Jack l'éventreur.Des cadavres de femmes mutilées sont retrouvés en 2015,en Suède et en Angleterre,chacun portant la "signature" d'un tueur enfermé à perpétuité dans un hôpital psychiatrique.
Johana Gustawsson n'est pas une inconnue pour moi,car j'ai dévoré son premier roman Block 46.J'ai retrouvé ici sa façon de structurer son histoire grâce à une alternance de chapitres mêlant les époques(Suède 2015,Londres 1888,2015).J'ai eu quelques difficultés à m'extraire de chaque épisode avec ses personnalités si vivantes,pour m'immerger dans un autre et y suivre d'autres caractères.C'est une gymnastique de l'esprit qui ne m'a pas été facile,assoiffée que j'étais de poursuivre l'histoire de chacun et chacune.
Pourtant j'ai aimé ce roman.L'auteure y aborde avec talent les relations entre mères et enfants,ici très nocives;elle décrit l'horreur des mutilations aboutissant à un cannibalisme pour s'approprier l'autre;elle nous fait prendre conscience de la difficulté à reconnaître l'inhumanité de personnalités perverses au masque social anodin,voire attachant.
En refermant ce livre,je n'ai pas pu m'empêcher de penser à Issei Sagawa,ce Japonais cannibal,qui vit maintenant libre à Tokyo.
Un roman très très noir.
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