Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Les civilisations sont fondées sur trois piliers : des hommes qui en tiennent les leviers, des organisations qui structurent le pouvoir, et une philosophie qui assure la cohérence du système. Le communisme est mort parce que les hommes étaient incompétents et corrompus, les organisations inefficaces et la philosophie contestable. Le capitalisme moderne présente d'inquiétantes similitudes : nombre de ses dirigeants sont des crapules ou des tocards, son organisation ressemble à un agglomérat de dictatures néostaliniennes et ses nouveaux philosophes sont des fumistes.
Le système ne produit plus de croissance, génère des inégalités formidables, sources de grand désordre social, et n'est plus compris par personne : les économistes les plus réputés, de Jacques Attali à DSK, ne cessent d'émettre des prophéties qui se révèlent des sornettes, et les politiciens ont abdiqué tout désir de peser sur sa destinée.
En revanche, spéculateurs, fonds vautour et grandes institutions du capitalisme se nourrissent goulûment sur la bête. Ils ne craignent pas grand-chose : le principe de non-responsabilité règne largement sur un capitalisme qui se laisse bousculer sans beaucoup réagir, même lorsque les dégâts collatéraux sont considérables.
Depuis les SS d'Hitler jusqu'à George Soros le spéculateur émigré de Hongrie, depuis l'énarchie française jusqu'aux impitoyables procureurs américains, le livre dresse le portrait d'un système apparemment invulnérable, mais terriblement instable et qui adore vivre au milieu du chaos.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle