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« C'était ce fameux été qui n'existe qu'une fois dans la vie. Cet été que tout le monde a connu, j'espère ; l'été où tout bascule. Oui. Peut-être n'est-ce pas tant le chagrin que la nostalgie de cet été-là - de ce miracle absolu des premières fois, de sa beauté foudroyante. »Eté 77, dans une petite ville de l'ouest. Friedrich, seize ans, redoute les semaines qui s'annoncent : il doit passer des épreuves de rattrapage après une très mauvaise année scolaire. Pas de vacances en famille pour lui : il révisera chez son grand-père, un homme sévère. Heureusement, il y a Alma, Johann - et Beate, la fille de la piscine, en maillot de bain vert bouteille. Friedrich va tout découvrir en même temps : l'amour et la mort, l'amitié, la peur, le respect et la confiance.Jamais il n'oubliera cet été-là.Avec la sensibilité et la justesse qui ont fait le succès du Parfum des poires anciennes, Ewald Arenz évoque cet âge de la vie où tout semble possible. Un magnifique roman d'initiation où chacun se reconnaîtra.
On ne peut être qu'en admiration à la lecture de ce roman. Pour résumer l'histoire, imaginez un American Graffiti tourné par Claude Sautet et/ou François Truffaut dans le nord de l'Allemagne, pas loin de la Mer Baltique, au cours de l'été 1981. Quant au style littéraire, il est admirable, tant dans la narration que dans les dialogues. Un premier amour, 400 coups, un drame, des ados, des parents, des grands-parents (qui ont souffert de la guerre), tout y est. le livre dont on ne voudrait jamais voir arriver la dernière page. Une dernière page à la hauteur de la densité et la qualité du récit.
Ma chronique : " Nous étions immortels" A 17 ans, l'âge de tous les possibles, des grands rêves, comment imaginer que la vie n'est plus un jeu, qu'il n'y aura plus de première fois?
Hélas le temps vole "ces moments que l'on voudrait éternels".
J'ai toujours aimé les récits de jeunesse que ce soit chez les classiques, Camus, Colette ou Pagnol, etc..et plus près de nous Nicolas Mathieu ou Philippe Besson.
Comme dans son précédent roman, l'auteur, dans une langue délicate pétrie de lumière et de senteurs d'été, d'émotions à fleur de peau évoque les premiers émois du corps, les premières blessures de l'âme qui mettent un point final à l'enfance.
Friedrich, a raté son année scolaire, il doit réviser chez ses grands parents au lieu de partir en vacances avec sa famille nombreuse et bohème.
Six semaines chez eux lui permettront d'avoir un autre regard sur ce grand père professeur, biologiste strict, directif et brillant, qu'il craint autant qu'il admire. Nana sa douce grand-mère peint, cuisine et console ses peines.
" Nos vies sont entremêlées" comprend le jeune homme en lisant le journal de Nana. Il est fasciné par la relation fusionnelle qui lie ses grands-parents, par leur histoire peu ordinaire durant la guerre.
Malgré la contrainte des révisions, Friedrich, entouré d'Alma, de Johann et Beate, s'apprête à vivre l'été où tout bascule.
Les jeux interdits et dangereux, les plongeons dans l'eau sombre de la piscine la nuit , la belle au maillot de bain vert, les notes de bossa nova,l'indolence des après midi, tout évoque l'été et l'insouciance.
Les scènes au zoo près du grand tigre avec Beate et le grand-père sont saisissantes de beauté.
Certains événements, l'amour, la mort, la trahison, leur feront prendre conscience que l'enfance s'achève doucement et que leur vie commence autrement.
Je suis certaine que certains d'entre vous, comme moi, retrouveront des moments de leur jeunesse à travers ce délicieux roman.
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