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La deuxième moitié du XVII e siècle voit naître en Europe la science de la population et le calcul des probabilités.
Dans une série de manuscrits essentiellement datés des années 1680, Leibniz " raisonne " sur la vie humaine, en modélisant de manière originale le processus de mortalité. Pour cela, il estime les " apparences" de mourir, c'est à dire des probabilités de décéder. Adoptant trois hypothèses fondamentales, il utilise le raisonnement combinatoire pour formaliser l'extinction d'une population et explicite notamment le calcul de l'espérance de vie. Le philosophe s'intéresse également à la mortalité pour attribuer "une juste valeur" aux rentes viagères.
A la façon de Pascal, avec sa géométrie du hasard, Leibniz concilie le rôle de la Providence avec, sinon la liberté humaine, du moins une équiprobabilité des destins individuels. D'un grand intérêt démographique, ces manuscrits ont également une portée philosophique ils sont l'occasion d'établir un dialogue entre l'unité et la multitude, le certain et le possible, le discret et le continu, la nécessité et la contingence, le temps et l'éternité, le déterminisme et la liberté.
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