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Dans la maison des Shelburn, le vent s'engouffre à travers la charpente du toit avec un sifflement angoissant. Hal va bientôt revivre ses cauchemars d'antan.
Dans un coin du grenier, au fond d'un carton, les enfants retrouvent un étrange jouet. Un singe mécanique lui lance déjà ce sourire grimaçant qu'il connaît si bien... L'enfer recommence...
Chez Stephen King, un rien dérape et le décor qui nous était familier prend soudain un avant-goût d'apocalypse.
Au cinéma en 2025 !!!
Dans cette oeuvre après la poupée maléfique tueuses Chucky grosse franchise, le maitre du fantastique et de l'horreur lui s'appui sur un vieux jouet : un singe frappant des cymbales pour la première histoire. Une nouvelle effrayante, terrifiante, et diaboliquement bien construite.
Le Singe de Stephen King parue dans les années 80 adapté de nouveau en film par Oz Perkins pour Atomic Monster, sous la houlette de James Wan au casting Theo James, Christian Convery, Tatiana Maslany, Elijah Wood et Rohan Campbell sortie prévu en février 2025.
Pour la seconde nouvelles, l'auteur nous mène entre rêve et réalité, la vie, la mort, une nouvelle douce et poétique, onirique très contrasté après avoir lu la première histoire de ce livre.
Deux nouvelles courtes en particulier la seconde.
18eme livre de @stephenking lue et surtout première nouvelle de lui -
@bo.oklyn proposée des lectures communes sur divers livres, le singe as reporter tout les suffrages.
C'est avec un grand plaisir que j'ouvrais cette nouvelle du King.
On es au sein de la famille de Hal Shelburn, une famille avec deux enfants, deux garçons, un ado, un enfant plus jeune.
L'ado donne du fil a retordre, a son père, il fume de la drogue, réponds a l'école.
Ils retrouvèrent par inadvertance un ancien jouet du père, un singe, au début les enfants se battaient pour l'avoir, et a la fin ils en avaient peur, ils le cachèrent, mais revenait toujours, jusqu’à qu'ils décide de s"en séparer a jamais, mais le pire as failli arriver...
J'ai beaucoup aimer, il y a 68 pages, mais il y a pas une minute ou on s'ennuie, c'est intense, c'est prenant ce singe fait vraiment peur, donc en 68 pages, ils amènent le suspens, donc cet auteur est aussi fort dans les petits formats que les pavés c'est a retenir.
Le chenal
Une autre nouvelle fessait partie du livre.
la il parle du phénomène inconnu qui est l'eau entre deux étendues de terre.
C'est une grand mère qui parle ses petits enfants, c'est passionnant moi même je connaissait cela, elle parla aussi de la mort de la maladie.
C'était vraiment très bien, beaucoup d'émotion, j'ai vraiment adorer cette petite nouvelle
Au début, on se demande si Hal développe une sorte de paranoïa envers ce singe en peluche. L'histoire commence doucement, et on n'est pas sûr que les événements ne sont pas dus au hasard. Mais au fur et à mesure, il est clair que ce singe en peluche sème la mort dans l'entourage de Hal. J'avoue qu'il ne m'a pas fallu beaucoup pour me convaincre du quotta horrifique de cette nouvelle, car d'aussi loin que remonte ma mémoire, j'ai toujours ressenti un certain malaise face à ce type de jouet. La scène de l'épave en est assez révélatrice.
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