L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Un jour de juillet 1918, sa mère a été obligée d'abandonner Pierre à l'Assistance publique. L'enfant a promis : il ne pleurera pas. Un collier de bois numéroté au cou, le pitaud", crâne tondu, est confié par l'administration aux Quercy, un couple de paysans de la Sarthe. Grâce à l'affection de la Mélie, leur fille adoptive, le petit Parisien se fait, peu à peu, à la vie de la ferme.Bientôt, hélas, la mère Quercy meurt. Le règlement l'exige : Pierre doit quitter la ferme, où il a été tant choyé. Les Freiquin, ses nouveaux maîtres, de vrais Thénardier, sont bien décidés à le dresser. Mais Pierre, du haut de ses dix ans, n'a pas l'intention de devenir leur souffre-douleur...Jeux et tours pendables, premiers émois... Cette chronique d'une enfance campagnarde, qui témoigne d'une sensibilité proche de Pagnol ou de Daudet, est un hymne à la nature et à une époque disparue."
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