Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
Il a suffi que l'ordinateur d'un laboratoire ultra-secret de l'armée américaine fasse une erreur d'une nanoseconde pour que la chaîne de la mort se mette en marche. Le Fléau, inexorablement, se répand sur l'Amérique et, de New York à Los Angeles, transforme un bel été en cauchemar. Avec un taux de contamination de 99,4 %.
Dans ce monde d'apocalypse émerge alors une poignée de survivants hallucinés. Ils ne se connaissent pas, pourtant chacun veut rejoindre celle que, dans leurs rêves, ils appellent Mère Abigaël : une vieille Noire de cent huit ans dont dépend leur salut commun. Mais ils savent aussi que sur cette terre dévastée rôde l'Homme sans visage, l'Homme Noir aux étranges pouvoirs, Randall Flagg. L'incarnation des fantasmes les plus diaboliques, destinée à régner sur ce monde nouveau.
C'est la fin des Temps, et le dernier combat entre le Bien et le Mal peut commencer.
On est en pleine deuxième vague du Covid. Et depuis que j'ai le Fléau dans ma bibliothèque (plusieurs années), j'ai attendu que le livre me choisisse. Voici chose faite. En pleine pandémie, j'ai ouvert le pavé. Et j'ai retrouvé le style King. La narration, la profondeur des personnages et des actions. Et l'horreur, évidemment. Pas de pitié, jamais. Et c'est assez intéressant de mettre en parallèle sa vision de l'époque avec cet événement de 2020 qui nous plombe le moral, la santé et l'économie.
Lecture anxiogène, encore plus à l'heure actuelle. Mais quand on plonge dans Le Fléau, impossible de le lâcher... Le tome 2 m'attend, je prends ma respiration (masquée), et je reviens (ou pas...).
Encore un excellent thriller de Stephen King. Le scénario de départ est assez simple. Suite à une erreur de l'armée, une grippe mortelle tue 99% de l'humanité, anéantissant le monde tel que nous le connaissons. Les rares survivants voient, impuissants, leurs proches mourir et sont confrontés à d'étranges rêves mettant en scène une gentille vieille femme et un homme en noir diabolique...
Comme toujours, Stephen King arrive à tenir en haleine le lecteur grâce à un suspense haletant. Les chapitres mettent en scène différents personnages, permettant d'alterner les points de vue, ainsi que différentes situations (émission télé, retransmission radio de militaires, interprétations des événements par les personnages...). Les morts et les retournements de situation s'enchaînent, donnant au récit, assez long au demeurant, un rythme très rapide. Pour parachever tout cela, une dose de surnaturel s'ajoute progressivement aux aventures des personnages. Stephen King parvient à rendre une histoire somme toute assez banale captivante grâce à son écriture si particulière. Les protagonistes sont à la fois attachants et repoussants, ce qui rend l'histoire encore plus intéressante.
Pour conclure, j'ai adoré et attaque avec plaisir le tome 2 du Fléau.
Forcément, nous sommes face à un maître du genre. Histoire parfaitement construite et menée. J'ai eu un petit peu de mal au départ face au grand nombre de personnages. Mais l'imagination et l'art narratif de ce grand écrivain vous transporte vite (et bien). Bref une valeur sûre. J'ai très envie de lire la suite.
J'ai lu plusieurs fois toute la saga. Ce qui m' le plus intéressé, c'est la reconstitution de deux sociétés et la construction de valeurs.
Un très bon Stephen King
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
L’écrivain franco-vénézuélien Miguel Bonnefoy poursuit l’exploration fantasmagorique de sa mémoire familiale...
Des romans policiers à offrir ? Faites le plein de bonnes idées !
Nostalgique, nomade ou plutôt romantique ? Trouvez le livre de la rentrée qui vous correspond !