Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Florilège d'écrits publiés sur une période de plus de vingt ans, Le Droit de rêver , édité à titre posthume en 1970, donne à découvrir ou à redécouvrir la philosophie de Gaston Bachelard à travers de courts textes inspirés d'oeuvres plastiques (Monet, Chagall, Flocon...) ou littéraires (Poe, Éluard, Paulhan...) qui interrogent la dimension sensible de nos existences. Ainsi y trouvera-t-on des réflexions inspirées sur la rêverie solitaire ou radiodiffusée, sur le rêve nocturne et la méditation, à la croisée des savoirs les plus variés (physique, métaphysique, psychologie, anthropologie...). Augmentée d'un dossier critique, cette nouvelle édition précise les sources textuelles et iconographiques des oeuvres commentées. Elle réinscrit cette pensée dans le tissu des amitiés et des engagements d'un philosophe résolu à se faire le contemporain des créations culturelles les plus avancées de son époque. Au-delà de leur stimulante variété, ces écrits nous conduisent au coeur d'une philosophie de l'imagination attachée à promouvoir une esthétique subversive, aux enjeux éthiques et politiques insoupçonnés.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !