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Ce magnifique poème narratif unique en son genre est la dernière et plus grande oeuvre d'Yitskhok Katzenelson, écrit après trois ans de lutte dans le ghetto de Varsovie, après le meurtre de sa femme et ses enfants, après le transfert au camp de Vittel, antichambre de la mort. Si son Journal de Vittel réussit à sortir du camp, confié à une Française employée journalière, Le Chant du peuple juif assassiné ne nous est parvenu que grâce à la survie d'une autre détenue, en trois bouteilles scellées enterrées « près de la sortie à droite, au sixième poteau, celui qui porte une fente en son milieu, au pied d'un arbre ».
Long cri silencieux, il est à la fois la voix d'une souffrance personnelle indicible et celle de tout un peuple assassiné. Une voix qui s'impose, résiste, récuse, crie, interpelle, invective, blasphème et fulmine face à la terre et au ciel contre la profanation, l'horreur et le néant. Un témoignage unique et déchirant sur la barbarie nazie et le ghetto de Varsovie. Un chef-d'oeuvre absolu, par sa beauté littéraire comme par sa bouleversante humanité.
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