Au cœur des années 1970, une société qui change, entre nostalgie, gravité, humour et tendresse...
On rit. C'est étonnant parce que, pris séparément, aucun d'entre eux ne pensait que la situation les pousserait à l'hilarité - or, de façon tout à fait inattendue, ils font contre mauvaise fortune bon coeur et les voilà qui s'esclaffent et qui se mettent à papoter, retrouvant les réflexes de cour de récréation, mais avec cet air de liberté unique qu'apporte avec lui l'Arbalète filant vers Paris.1975. Tandis que le pays subit les effets du premier choc pétrolier, que les femmes revendiquent leurs droits et que la mixité s'impose dans les cours de récréation, rien ne semble devoir troubler le quotidien des familles d'instituteurs du groupe scolaire Denis-Diderot. À moins que le train du changement ne s'engouffre tout à coup dans les classes et les corps et ne redessine les frontières d'un monde très différent.
Au cœur des années 1970, une société qui change, entre nostalgie, gravité, humour et tendresse...
Venez rencontrer, Karine Tuil, Brigitte Giraud, Jean-Philippe Blondel, Jean Le Gall, Valérie Tong Cuong, les auteurs de la rentrée littéraire romans français !
La septième édition des explorateurs de la rentrée ? Des débats riches, des échanges nombreux, une équipe sensationnelle
La première liste consacrée à la rentrée littéraire n'a pas suffi ? Voici la suite !
Quel plaisir de retrouver l'écriture de Jean-Philippe Blondel, son art des galeries de portraits, sa description des liens qui unissent les protagonistes !
Cette fois, l'action se déroule dans le microcosme d'un groupe scolaire : Les enseignants de maternelle et de primaire, leurs familles, leurs enfants, qui vivent pour la plupart dans les logements de fonction au cœur de l'établissement ...
C'est le début des années 70, l'heure est aux changements : l'école mixte, le renouveau des méthodes pédagogiques, les crises existentielles des uns et des autres...
J'adore !
C’est toujours un plaisir de lire Jean-Philippe Blondel.
Dans « La grande escapade », on est dans les années 70, dans le quotidien de plusieurs familles d’instituteurs, la société évolue et les femmes veulent prendre plus de place et avoir plus de droits.
Jean-Philippe Blondel a un talent fou pour rendre intéressant de simples gens comme vous et moi.
J'ai recontré l'auteur lors d'une dédicace. Nous sommes de la meme génération et je me suis completement retrouvé dans ses anecdotes scolaires des années soixante-dix. Ecriture fluide et bien vivante, les personnages nous semblent familiers. Un peu de nostalgie sur une époque révolue et sur l'Ecole qui a beaucoup changé en 40 ans.
Un groupe scolaire, des instituteur(trice)s, la mixité qui devient la règle à l'école ; mai 698 est passé par là.
Voici la toile de fond de ce roman.
Il est question de la société des années 70, de ce qui va bouger, d'autorité remise en cause, de l'émancipation espérée (ou non) des femmes.
Il y a des enfants qui rentrent dans l'adolescence et plus rien ne sera jamais comme avant.
On sourit souvent. L'auteur rend attachants ses personnages malgré leurs petites mesquineries.
L'écriture est nostalgique et en délicatesse.
Un lecture agréable et printanière.
merci à lecteurs.com de m'avoir fait retrouver un auteur que j'aime bien depuis une rencontre où il était lauréat du prix Version Femina; c'est un enseignant passionné ce qui ne l'empêche pas d'être ici très critique face à l'école primaire et sa hiérarchie.Cela se joue presque à huis clos car il s'agit de logements de fonction ; jalousie, amourette, escapade qui tourne mal...querelles d'enfants et jeu dangereux.
C'est sérieux et drôle à la fois; le jeune disciple de Freinet a toute ma sympathie: faire bouger le mammouth n'est pas évident; l'inertie étant la force de l'éd nat face à toute réforme.
Nous suivons dans ce roman la vie d'instituteurs et d'institutrices du groupe scolaire Denis Diderot donc la plupart habite sur place dans des logements de fonctions, en 1975.
C'est toute une époque que l'on retrouve à travers ces mots, malheureusement j'étais encore petite et même si j'ai retrouvé un peu ce que je vivais à l'époque à travers mes parents j'ai eu du mal à rentrer dans ce roman et encore plus à m'attacher aux personnages.
J'ai trouvé la mise en place longue à se faire heureusement le final plus cocasse à rattraper l'impression générale.
On rit beaucoup lors de cette lecture grâce à une écriture intelligente, rythmée par les tubes des années 70. Les personnages ont tous une vie après leur vie de profs et les situations pas toujours drôles permettent une critique d'un milieu qui vit en vase clos. Les répliques claquent comme les situations, limites pour quelques personnages.
J'ai ri en lisant ce livre qui m'a rappelé bien des souvenirs ! Il décrit parfaitement l'ambiance des écoles dans les années 70. Un très bon moment de lecture.
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Dernière réaction par Yannis Fardeau il y a 3 jours
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