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Ce premier volet du cycle nous transporte il y a mille ans, quand Heq et son clan migrent à travers le Grand Nord Canadien pour le Groenland qu'ils vont nommer «Le pays des Hommes». Et nous sommes parmi eux, vraiment, tant le récit est époustouflant d'authenticité. De l'ethnologie comme un gai savoir.
Avec Le chant pour celui qui désire vivre, Jørn Riel brosse une fabuleuse fresque ethnologique du peuplement inuit : nous ne voyons pas seulement les personnages, nous vivons au milieu d'eux. Avec Heq, qui en l'an mil mène son peuple sur la terre promise et fonde Thulé, avec Arluk qui entreprend 500 ans plus tard de faire le tour des merveilleux mondes - le Groenland, son seul univers -, avec Soré, sa descendante, notre contemporaine qui, après une phase de désarroi due à la colonisation, retrouve un fantastique espoir en l'Inuité.
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