80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
«Aimer avec autant de passion sinon plus, un enfant d'un autre sang que le sien, donne une force qu'aucune hérédité ne peut offrir». Véronique Bachelier-Vidar nous livre dans ces lignes admirables l'épopée de quatre années de lutte contre le destin, qu'elle mena avec la volonté farouche de substituer à son impossible maternité, l'heureux refuge de l'adoption. Elle nous emmène dans un bouleversant voyage à Tahiti, où, par deux fois, elle assista à l'accouchement de ses deux fils. Là-bas, où fa'a'amu veut dire faire manger, on donne son enfant si l'on ne peut l'élever, mais on n'avorte pas ! «J'ai l'étrange sensation, écrit-elle, de vivre une véritable grossesse, dont l'accouchement sera la récompense d'avoir osé dire et écrire ce que je ressens». À ceux qui, comme son mari et elle, purent à certains moments perdre pied, détruits par l'échec et anéantis par le désespoir, elle désigne son Étoile, et l'énergie de l'Esprit qui la guida. Ces pages sont un retentissant cri d'amour.
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