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«Comme il se tenait là, avec la mitraillette dans sa main gauche, jetant un regard circulaire avant de refermer le panneau à l'aide du crochet terminant son bras droit, le Cubain qui était allongé à bâbord et qui avait reçu trois balles dans l'épaule se mit sur son séant, visa soigneusement et lui envoya une balle dans le ventre.» Harry Morgan, un Américain installé à Cuba, gagne sa vie en organisant des croisières de pêche pour les touristes. Lorsqu'on lui propose de transporter des hommes et des marchandises clandestines, sa vie bascule dans le crime. Ce roman a été adapté au cinéma par Howard Hawks dans Le Port de l'angoisse et par Michael Curtiz dans Trafic en haute mer.
Harry ne se débrouille pas trop mal avec son bateau de pêche. Il réussit à nourrir sa famille, contrairement à beaucoup d'autres qui crèvent de faim. Puis, un jour, tout dérape. Harry se voit dans l'obligation de trafiquer entre la Floride et Cuba. Alcool, passage d'émigrés... Et cela ne tourne pas toujours bien pour lui.
Les techniques de pêche et de navigation me laissant indifférente, je me suis terriblement ennuyée.
Plusieurs fois, l'auteur s'est écarté du personnage principal pour nous relater la vie de familles plus aisées, mais pas plus heureuses. On change aussi de narrateur. C'était à mon avis sans grand intérêt.
Il y a aussi toute la misère humaine qui est représentée par de nombreux dialogues. Ca ne vole donc pas haut en terme de littérature... J'avais l'impression de lire du Steinbeck raté.
Je suis quand même allée jusqu'au bout...
Harry ne se débrouille pas trop mal avec son bateau de pêche. Il réussit à nourrir sa famille, contrairement à beaucoup d'autres qui crèvent de faim. Puis, un jour, tout dérape. Harry se voit dans l'obligation de trafiquer entre la Floride et Cuba. Alcool, passage d'émigrés... Et cela ne tourne pas toujours bien pour lui.
Les techniques de pêche et de navigation me laissant indifférente, je me suis terriblement ennuyée.
Plusieurs fois, l'auteur s'est écarté du personnage principal pour nous relater la vie de familles plus aisées, mais pas plus heureuses. On change aussi de narrateur. C'était à mon avis sans grand intérêt.
Il y a aussi toute la misère humaine qui est représentée par de nombreux dialogues. Ca ne vole donc pas haut en terme de littérature... J'avais l'impression de lire du Steinbeck raté.
Je suis quand même allée jusqu'au bout...
Harry Morgan profite de son bateau pour s'enfoncer dans l'illégalité et ses conséquences en transportant notamment des personnes et marchandises de manière peu catholique...
Ce n'est peut-être pas le meilleur Hemingway mais on y retrouve bien l'écrivain, son style et les sujets qui lui sont chers: l'accomplissement dans l'action, quitte à aller jusqu'à sa propre destruction. On y retrouve la complexité des relations homme-femme avec l'adultère et la rupture. Et on y trouve enfin des lieux qui ont permis à l'auteur de se forger: Cuba et les Keys.
Quant au titre, en avoir ou pas il peut s'appliquer tant à l'argent (ce que Harry Morgan n'a pas) aux attributs masculins qui illustrent, dans l'imaginaire populaire, le courage (pour le coup, Harry en a ce qu'il ne cesse de dire).
Du Hemingway pur jus!
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