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La figure de Dracula est l'un des derniers grands mythes de notre imaginaire, si familière et si intemporelle qu'on en oublierait presque qu'elle est jeune d'un siècle.
Il faut donc revenir au roman de Bram Stoker, à ses obsessions et à ses hantises victoriennes (le sang, le sexe, l'étranger) comme à son fonctionnement de machine littéraire. oeuvre profondément ambivalente, mais dont les contradictions mêmes font l'inépuisable richesse. Le film de Coppola, ultime héritier d'une glorieuse lignée, est pareillement problématique : cette adaptation revendiquée, mais infidèle à la lettre comme à l'esprit pour mieux exalter et le héros et le désir, constitue non seulement une interprétation et une appropriation du roman par un artiste, mais se veut une somme récapitulant, par-delà la figure du vampire, l'histoire du cinéma.
Un aboutissement et un retour aux sources. Deux objets riches de paradoxes, donc, et en cela conformes à la double nature de Dracula, le non-mort, oxymore ambulant. Deux oeuvres vampiriques, nourries de nos désirs comme de leur héritage, et qui, sans cesse renaissantes, n'ont pas fini de nous hanter.
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