"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Brillante et déterminée, Chloé n'a qu'un problème dans la vie : son boss, Bennett, revenu prendre les rennes de l'entreprise familiale de Chicago après un séjour en France. Trentenaire séduisant, arrogant et égocentrique, il est odieux mais...magnétique.
Bennett, lui, découvre en sa collaboratrice une jeune femme aussi ravissante qu'exaspérante, et qui n'entend rien sacrifier à sa carrière.
Entre eux, c'est l'affrontement immédiat, mais aussi le désir obsédant, dévastateur. Ensemble, ils vont enfreindre une à une toutes les règles qu'ils s'étaient imposées.
À une seule fin : se posséder...
https://fantasybooksaddict.blogspot.com/2019/08/beautiful-bastard-tome-1-christina.html?m=1
Ce roman traînait depuis une éternité dans ma PAL, je me suis donc dit qu'il était plus que temps de l'en sortir !
Je dois dire que je n'ai pas été très convaincue, pourtant, je n'en suis pas à ma première romance érotique. En effet, le récit manque d'originalité et est très cliché, tout comme les personnages (que je vous développerais un peu plus loin). L'intrigue est quasiment inexistante et est simplement menée par les scènes de sexe, présentes tous les chapitres ou presque et j'exagère à peine ! Le langage est également grossier. Certes, de temps en temps dans ce genre de romans, cela ne me pose pas de problèmes et je suis rarement choquée mais là encore une fois, les auteures n'ont pas trouvé de juste milieu...
Passons aux personnages : D'un côté, on a Chloé, brillante stagiaire ; tandis que de l'autre, on a Bennett, son patron odieux hyper sexy. Eh oui, lorsque je vous parlais de clichés, je ne vous mentais pas. Je crois qu'on ne peut pas faire plus cliché que ça. C'est du vu et revu. Je n'ai pas vraiment compris comment ils avaient fait pour en arriver à se sauter dessus car je vous le rappelle, ils se détestent cordialement. Certes, la justification arrive beaucoup plus tard mais c'est déroutant. On peut trouver quelqu'un d'attirant, mais suis-je la seule à me dire que si la personne est odieuse, cela la rend moche ? Entre eux (et entre deux engueulades), c'est du sexe pour du sexe sur les 2/3 du livre. Heureusement, mon côté fleur bleu a été satisfait sur le dernier tiers car cela évolue vers des sentiments entre eux et j'avoue que c'est ce qui m'a fait tenir jusqu'au bout du roman, d'autant plus que grâce à l'alternance des points de vu, on arrive enfin à les comprendre. D'ailleurs, je me suis aperçue que les personnages n'étaient pas qu'une enveloppe vide. Au contraire, ils prennent plus d'épaisseur et sont plus qu'ils paraissent être, surtout Bennett.
Pour conclure, c'est une lecture en demi-teinte très clichée mais qui, sur la fin, s'améliore, tandis que les personnages évoluent positivement. Cependant, je ne pense pas que je lirai les 8 ou 9 tomes suivants.
Avis aux amateurs de livres érotiques.
Difficile de ne pas faire la comparaison avec la trilogie «Cinquante nuances» puisque "Beautiful Bastard" surfe sur le succès des romans érotiques de E.L. James. Un peu mieux écrit (traduit ?) mais avec des personnages nettement moins attachants et une intrigue réduite à sa plus simple expression, ça se laisse lire mais pas au point de poursuivre la série qui compte à ce jour une douzaine de volumes.
J'ai bien aimé ce livre l'écriture est fluide l'histoire entrainante et j'ai eu du mal a le lâché une fois commencé! Les personnages sont attachants et la relation entre Chloé et Bennet est amusante et passionné , c'était un plaisir de les suivre dans ce livre !
J'adore ce tome qui nous plonge dans une histoire d'amour sous fond d'attirance sexuel à travers deux collègues de boulot. C'est facile à lire et j'avoue avoir voulu savoir la fin bien rapidement.
J'ai vraiment apprécié avoir l'avis de Chloé et Bennett... sans devoir attendre le 4e bouquin (comme pour 50 Shades of Grey).
Ok le bouquin n'est pas littéraire, mais j'ai aimé lire cette histoire explosive entre amour et haine.. Et je jalouse la garde-robe de Chloé autant que son répondant et son ambition ;)
Quoiqu'il en soit, j'attends la livraison des 2 tomes suivants :)
Comment ne pas craquer pour ce patron qui porte magnifiquement bien son surnom ? facile on craque on a pas vraiment le choix. on adore les piques de Chloé qui ne se laisse pas faire. La relation de Chloé et Bennett est explosive. Entre le boss tyrannique et son assistante ambitieuse tout est une affaire de passion : ils se détestent autant qu'ils s'attirent. Un roman très chaud écrit à 4 mains par un duo d'auteure inspirées. Passant du point de vu de Chloé à celui de Bennett.
Un excellent premier tome qui laisse présagé de bonnes suites avec cette équipe d'amis.
Pour la qualité du livre, je tiens à souligner l’excellente notation que je lui attribue. Je vous le rappelle, je suis une étudiante en lettres. Quand je lis quelque chose d’aussi mal écrit, je suis sincèrement au bord des larmes, tant je suis dépitée. La qualité de la langue est déplorable, les répétitions systématiques. Même la trame narrative souffre de nombreuses redites. Je sais que nous sommes dans un roman érotique… est-ce une raison pour baiser frénétiquement toutes les vingt pages et dans des positions à chaque fois similaires ? Je ne crois pas. Précision importante : les auteurs (car oui, elles sont deux) sont à l’origine auteurs de fanfictions post Fifty Shades of Grey répandues sur des forums… le succès de leurs histoires leur a permis de se faire éditer. Pas de grande plume, donc.
Blâmons par ailleurs la traduction, qui pénalise d’autant plus ce cauchemar linguistique… je ne doute pas qu’en anglais, « fucking good » rend très bien. Mais en français, « putain de bon », sincèrement ? Si j’avais fait cela en version, cela aurait été éliminatoire, je serais prête à le parier. Est-ce que le traducteur a pris la peine de relire son texte en français, pour voir ? J’en doute. Et que dire de ce langage cru… doit-on obligatoirement utiliser des mots aussi vulgaires pour parler de sexe ? Cela m’étonnerait.
Quant aux personnages… ils souffrent de tellement de clichés. Tout comme la diégèse dans son intégralité, d’ailleurs. Du déjà-vu commercial. Une petite étudiante qui déteste son boss richissime et qui finit par tomber amoureuse de lui. Des scènes d’amour si peu réalistes (dans une cabine d’essayage chez Aubade alors qu’il y a plein de monde dans le magasin ?). Et je ne parle même pas de la facilité avec laquelle les petites culottes semblent s’arracher aux Etats-Unis. Même en essayant bien, j’arrive à garder les miennes des années. Ca ne relève guère plus que du fantasme, de l’irréel. C’est sûrement pour cela que ça marche si bien.
Et pourtant… malgré ces défauts très ciblés, qui s’étendent sur toute l’intrigue, je n’ai pas pu m’empêcher de trouver ce roman étrangement addictif. J’ai bien aimé le milieu décrit par les auteurs, celui de l’entreprise. Un arrière-plan plus mature qu’un simple roman étudiant.
EN CONCLUSION
Un peu facile et rapide, Beautiful Bastard souffre de très nombreux défauts dus à son amateurisme, mais aura au moins l’avantage d’être captivant… une mention tout de même légèrement inférieure à celle de Mr Christian Grey.
https://carnetparisien.wordpress.com/2014/08/11/beautiful-bastard-christina-lauren/
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