"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Accompagnés de Panoramix, le plus célèbre des druides gaulois, ils s'apprêtent à partir pour un long et mystérieux voyage en quête d'une créature étrange et terrifiante.
« Mais quelle est donc cette créature ? » Didier Conrad a fait parvenir un dessin aux Éditions Albert René. Un dessin étrange et mystérieux... Celui-ci montre nos deux héros - créés il y a plus de 60 ans par les géniaux René Goscinny et Albert Uderzo - grimpant le long d'un grand tronc d'arbre pour tenter de récupérer Idéfix qui semble vouloir leur échapper...
Ce tronc est bien singulier car il est sculpté à l'effigie d'une créature énigmatique, dotée de crocs impressionnants et d'un terrible bec de rapace...
...Idolâtrée ou crainte par les peuples de l'Antiquité, cette créature, c'est... le Griffon...
Nous revoilà sur les traces de nos fidèles amis gaulois. Cette fois encore, direction de nouvelles terres. Nous allons y découvrir des paysages et une faune différente mais c'est surtout un nouveau peuple qui va attirer notre attention.
L'intrigue nous est présenté dès les premières pages et nous amène dans une aventure comme nous en avions déjà vécu beaucoup ou les Romains sont une fois encore les hommes à combattre. Pour cela justement Ferri s'appuie sur des protagonistes aux fortes personnalités et un humour qui nous accompagne avec finesse tout au long de l'album avec des blagues et des clins d'œil au goût du jour.
Graphiquement chapeau à Conrad son trait ressemble de plus en plus à celui d'Uderzo. C'est vraiment bluffant, clairement le point fort de cet album comme des derniers.
En bref une aventure plaisante accompagnée d'un dessin nostalgique pour un chouette #instantbd pour petits et grands
Difficile de passer à côté du nouvel Astérix, on le voit partout même dans les petites surfaces dans lesquelles j'achetais mon déjeuner lundi!
Astérix, Obélix et Idéfix décident d'accompagner un Panoramix peu en forme dans une des lointaines contrées de l'est. On y trouve un peuple dans lequel ce sont les femmes les guerrières et les hommes qui élèvent les enfants. Il y fait si froid que la potion magique gèle et qu'elle ne sera donc d'aucun secours contre les Romains, car oui, il y a bien sûr des Romains!
J'ai beaucoup ri des noms des personnages (Cékankondine, Dansonjus et Terrinconus entre autres!) de certaines situations, des dialogues rappelant furieusement ici ou là des paroles célèbres. Un Astérix comme je les aime!
Deux Gaulois en paysage nordique fantastique
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Etant une grande fan de ces 2 gaulois (comme bcp de monde ici d'ailleurs :), je suis toujours à l'affut de la prochaine sortie d'un album.
Croyez-moi, j'ai quand même beaucoup hésité à l'acheter. Les deux derniers tomes ne m'avaient pas convaincus (la preuve: je ne me souviens même plus de l'histoire, ça, c'est un mauvais signe...). Bref, je digresse.....
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Alors, qu'en est-il de celui-ci? Ah , mais ils ont repris du poil de la bête, les dignes successeurs !
Une aventure assez dynamique même si la fin arrive trop vite (le dénouement est très simpliste, un peu comme si nos trois compères avaient envie de se mettre au chaud et de retrouver leur cher village).
J'ai toujours autant apprécié les jeux de mots, les calembours , essayant de deviner leur sens. Mais il y en a trop peu à mon goût...
Le dessin est très fidèle à celui de Mr Uderzo (du très bon travail de copiste, nickel chrome!).
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Une lecture agréable qu'on a envie de relire dans quelques temps. Au gré des humeurs....
Le griffon mi — Aigle, mi — Lion avec des oreilles de cheval, un animal terrifiant, exhiber un tel animal au cirque ferait énormément pour la popularité de César auprès de la Rome d'en bas. Voilà donc une colonne de soldats romains, accompagnés de Terrenconus le géomètre, en route pour le pays des Sarmates, un territoire où les hommes restent tranquillement à la maison tandis que leurs Amazones font la guerre, un pays sombre où le jour ne dure qu'un instant.
Après la lecture de deux romans qui abordaient des sujets difficiles quoi de mieux qu'une bande dessinée pour se détendre. Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas ouvert un album d'Astérix et j'ai retrouvé avec plaisir le valeureux petit gaulois. Les dessins sont conformes au trait d'Uderzo, mais si l'on retrouve des noms toujours aussi recherchés comme le dénommé Klorokine qui essaye de réaliser une potion magique, l'histoire est bien loin de la qualité des récits de Goscinny. J'ai eu l'impression de tourner en rond, dans cet album où la potion magique gèle et ça se ressent, tout cela manque d'énergie.
Pour rire tout seul...
Le nouveau tome de nos gaulois adorés étant sorti, j'étais obligée de l'acheter et de le lire! Avant ma lecture, j'en ai beaucoup entendu parler, les critiques de lecteurs sont aussi différentes les unes des autres et certains ont même détesté.
Pour ma part, j'ai adoré! J'ai ri toute seule devant certaines vignettes. Je le trouve plus dans la lignée de GOSCINNY et UDERZO que le tome précédent. J'ai bien aimé suivre nos amis en pays barbare, sous la neige à la rencontre d'un autre peuple. Ils arrivent au village du chamane CÉKANKONDINE et on rencontre les autres habitants du village, ceux-ci nous font penser à d'autres villageois que l'on connait très bien et comme dit Obélix: "Marrant! Le petit, là, il me rappelle quelqu'un!". Les dialogues sont drôles, les noms des personnages très évocateurs. J'ai bien aimé les vignettes avec Obélix et son cheval, les expressions de celui-ci en disent long sur ce qu'il endure, à la fin c'est même Obélix qui le porte... Le personnage connu crayonné pour ce tome est l'écrivain Michel HOUELLEBECQ et il est très reconnaissable.
Bref, le retour de nos irréductibles gaulois est pour moi une réussite. J'ai du mal à comprendre les critiques négatives.
Quand sort un nouvel album d'Astérix, réalisé par le duo d'enfer que sont Jean-Yves Ferri et Didier Conrad , fidèles à l'esprit des origines, avec tout autant d'humour que leurs pères René Goscinny et Albert Uderzo, un sens des gags et des personnages aux noms qui sont tout autant de jeux de mots, je l'achète au plus vite.
Ils nous entraînent dans l'Antique Russie, où une expédition romaine menée par le géographe Terreinconnus, veut partir à a recherche du mythique griffon, en profitant des conseils géographique de la sculpturale Kalachnikovna, otage des armées romaines !
Un album où Idéfix entend l'appel de la forêt !
Un album où la potion magique a gelé, et où les difficultés de compréhension entre Panoramix enrhumé et son assistant local Klorokine !
Bref, j'ai bien ri !
Des auteurs d'aujourd'hui qui ont su faire survivre l'esprit de Goscinny et Uderzo
Bon,...
Je vais jouer le rôle du rabat-joie puisque ma note est bien plus faible que la moyenne des précédentes. Je m'en excuse, mais c'est vraiment ce que j'ai ressenti...
Comme pour beaucoup de reprises Franco-belges classiques récentes (Lucky Luke, Blake et Mortimer par exemple. Des albums fréquemment peu exigeants, très mainstream et tout public. Certaines scènes ne pouvant pas heurter la sensibilité des plus jeunes...), je suis resté plutôt dubitatix sur ce nouvel Astérif. J'ai esquissé quelques sourires un peu forcés, mais je n'ai pas vraiment réussi à rentrer dans cette nouvelle aventure gauloise.
L'inversion des genres est traitée "à la serpe" avec ce peuple d'Amazones et embarque pas mal de poncifs sans vraie originalité (j'ai repensé à "Jacky au royaume des filles" de Riad Sattouf, pas si ancien).
Bizarrement, ces charmantes jeunes femmes sont présentées comme des barbares, prêtes à la baston, et peu concernées par la réflexion ou la diplomatie, mais laissent toujours le "petit" Gaulois - frêle sans sa potion magique - prendre toutes les initiatives (même quand elles n'aboutissent à rien). À plusieurs reprises, je me suis dit qu'Obélix aurait pu tout régler rapidement en deux coups de cuillère à pot, les Pirates peuvent en témoigner (pourquoi d'ailleurs cette vignette en fin d'album hormis le fait d'avoir coché leur apparition ?).
Je pense que Jean-Yves Ferry a épuisé tous les jeux de mots sur les Scythes / sites et sur Amazon, quand il est tellement plus fin dans ses récits de "Retour à la Terre"...
L'écriture particulière des Sarmates, avec ces E "écorchés" (à l'envers) n'apporte pas grand chose mais bute la lecture (en tous cas, la mienne) - avec un petit oubli d'inversion d'ailleurs dans la 2ème case de la page 13.
Les auteurs cherchent à placer des jeux de mots et orientent l'histoire en fonction. L'impression d'une juxtaposition de gags qui s'enchaînent, plutôt que d'une histoire cousue, servie par les gags.
Je reste donc déçu.
Pour moi, il faudrait que ces reprises tuent le père et s'autorisent plus de liberté graphique ou scénaristique.
Comme on trouve dans les albums "hommage" à ces mêmes héros (Many thanks à Guillaume Bouzard - "Jolly Jumper ne répond plus" ou à François Schuitten - "le Dernier Pharaon"). Évidemment, ça ne toucherait pas le même public. Pas la même manne financière. À vrai dire, je n'en sais rien, ma remarque est purement gratuite :)...
Pour finir et pour montrer que je ne rejette pas toute création récente d'Astérix en bloc, j'invite tout le monde à regarder la dernière adaptation 4D au Parc Astérix, Attention Menhir ! Une vraie réussite.
https://youtu.be/GUxinp-wVUU
Livre (no 3), enregistré dans le cadre du "Challenge Jeunesse & Young Adult #11" sur le blog de Muti sur https://mutietseslivres.com/
J'ai franchement trouvé très bien, tant sur le plan du scénario que du dessin. Une réussite.
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