Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
Les personnages créés par les deux génies du 9e art Albert Uderzo et René Goscinny sont de retour !
Après Astérix chez les Pictes et Le Papyrus de César, Astérix et Obélix reviennent dans Astérix et la Transitalique, le nouvel album signé par les talentueux Jean-Yves Ferri et Didier Conrad.
N'en déplaise à Obélix, les Italiques, les habitants de l'Italie, ne sont pas tous des Romains, au contraire !
Les Italiques tiennent à préserver leur autonomie et voient d'un mauvais oeil les vélléités de domination de Jules César et ses Légions.
Dans Astérix et la Transitalique, nos héros favoris s'engagent dans une aventure palpitante à la découverte de cette suprenante Italie antique !
Non décidément le nouveau duo qui reprend les aventures d'Astérix et Obélix n'arrive pas à insuffler cette dose d'humour inimitable des géniaux Goscinny et Uderzo. Si le coup de crayon est très proche les scénarii sont eux très décevants.
Obélix change de carrière…
Deuxième lecture du jour, le fameux deuxième album d’Astérix qu’on a à la maison. Celui-ci est assez rapide à lire. Et comme si j’étais poursuivie, en ce temps de confinement, par ce maudit virus: un des personnages, un conducteur de char s’appelle CORONAVIRUS!
Donc comme vous l’aurez compris, Astérix et Obélix participent à une course de char organisée par Rome: la Transitalique. La course étant truquée, les deux gaulois vont tout faire pour arrêter le ou les tricheur(s).
Même si cette BD n’est pas signée par UDERZO et GOSCINNY, on retrouve l’âme de nos personnages préférés et l’humour qui les a rendu célèbre dans le monde entier.
Si la qualité des dessins est restée très bonne, j'ai moins apprécié le scénario de cet épisode des aventures de nos Gaulois préférés. J'y ai trouvé moins d'humour que dans les autres tomes, et des péripéties un peu trop oriniaires et attendues à mon goût.
Quelle déception... Grande amoureuse des aventures d'Astérix et Obélix depuis que je suis toute petite, je n'attends cependant plus grand chose des nouvelles bandes-dessinées qui sont éditées chaque année, ayant compris que jamais elles n'égaleront le talent des originaux. Mais malgré tout, et ce jusqu'à Astérix et la Transitalique, j'arrivais à me prêter au jeu et à trouver entre les pages l'esprit originel de l'oeuvre.
Mais alors là, quel navet ! Tout va trop vite, tout est complètement cohérent, oui vraiment, ce tome 37 est nul et ne mérite pas que l'on perde 15 minutes à le lire. Inutile d'en dire davantage sur ce livre, faites l'impasse, voici mon conseil, surtout si vous êtes un vrai fan.
L'âme d'astérix a perdu la saveur des auteurs d'origine
A Rome, le sénateur Lactus Bifidus est accusé de détourner les sommes allouées à l'entretien des voies romaines, préférant organiser de somptueuses orgies plutôt que de veiller à la réfection des nids-de-poule. L'homme s'insurge et, pour prouver sa bonne foi, lance l'idée d'une course de chars à travers toute l'Italie, de Monza à Naples, une course ouverte à tous les peuples connus, une course sur des routes parfaitement entretenues, assure-t-il.
Loin de là, à Darioritum, Astérix et Obélix se promènent dans les allées de la FIAC quand une sybille voit dans les lignes de la main du gros roux qu'il sera fêté en héros sur un char ailé. Las des menhirs, Obelix se voit en aurige et s'achète sur le champs un char gaulois. Heureux hasard, les deux gaulois apprennent bientôt le grand projet de Bifidus. Les voilà donc lancés sur les routes italiennes, décidés à conquérir Rome. Mais César qui a eu vent de l'affaire, entend bien voir un fier romain gagner la course. Que Lactus y veille, sinon il devra goûter aux joies de l'exil dans la lointaine et aride Libye !
L'âge d'or du petit village gaulois est bel et bien révolu et ce n'est pas ce dernier opus qui va relancer l'affaire. Gags convenus, jeux de mots à deux balles et scénario qui tient en une phrase : Astérix et Obélix participent à une course à travers l'Italie. Rien d'innovant, rien de palpitant, rien d'intéressant même. Nos deux héros semblent tourner au Lexomil plutôt qu'à la potion magique. Mous, sans consistances, ils survolent l'aventure sans faire d'étincelles.
Une déception de plus...Vient un temps où les dessins de Didier Conrad ne suffisent plus à faire oublier que Jean-Yves Ferri est peu inspiré. Ce n'est plus que par fidélité ou nostalgie que l'on continue d'espérer un miracle.
Pas mal! Quelques bonnes trouvailles!
Toujours un très bon moment de joie et d'humour. On retrouve avec plaisir nos sympathiques gaulois et leurs gags qui nous font encore et encore sourire sans oublier les jeux de mots et les noms toujours recherchés.
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