"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Cet ouvrage n’est pas un mode d’emploi. C’est un récit d’une aventure individuelle et collective.
Sophie Coignard et Michel Floquet nous livrent des conseils et comment se faire accepter sur une terre inconnue ?
Ils ont quatre enfants et c’est leur premier livre ensemble.
Ils témoignent de leur nouvelle vie dans la Perche. Sophie Coignard et Michel Floquet ont quitté la capitale pour une nouvelle région il y a 20 ans.
Avec la progression du télétravail et la pandémie, les « réfugiés du Covid » font la même chose.
Ils nous détaillent leur parcours. Au début, ils l’avaient caché à leur milieu professionnel. Puis à l’époque le mot télétravail existait à peine. Ça a été un parcours du combattant mais pour une vie plus saine… Un changement de vie !
J’ai également appris et j’ai rencontré « ces accourus », les citoyens enfin les envahisseurs fuyant la grande ville !
Sophie Coignard et Michel Floquet sont souvent dans la comparaison entre les années 2000 et celles « des réfugiés du Covid ».
La couverture est originale et attrayante. Ce roman est intéressant et intimiste.
Cet ouvrage est composé de 25 chapitres relativement courts. Le style est agréable.
À plusieurs reprises, j’ai souri par des situations drôles et cocasses.
Cet ouvrage est inspirant et optimiste.
Ce livre est un témoignage et un guide de survie en terre inconnue..
Et vous seriez-vous capable de quitter la (grande) ville ?
Un livre témoignage de la gangrène qui pourrit la société française. Comment la scène politique est constituée de façon à servir ses propres intérêts, au lieu de ceux de l'Etat. Députés, ministres, hommes d'affaires, tout le monde est passé au crible.
Quelques petites longueurs, quelques partis pris, mais dans la globalité, ce livre est très intéressant. A lire
Quand le ministre de l'Education Gilles de Robien, conscient des ravages causés par la méthode globale d'enseignement de la lecture, décrète le retour officiel de la méthode syllabique, il déclenche un tollé, la machine Education Nationale se grippe et reste braquée sur la solution bâtarde de la méthode mixte qui, telle le pâté d'alouette, comporte un cheval de global pour une alouette de syllabique. Quand Luc Chatel veut en finir avec les RASED, ces réseaux d'aides spécialisées aussi discriminants que contre productifs, le mammouth freine des quatre fers et la défaite du ministre est presque aussi complète que celle de son collègue...
« Le pacte immoral » est une enquête effectuée sur le fonctionnement de notre système éducatif par Sophie Coignard, grand reporter à l'hebdomadaire « Le Point ». A l'instar de la pléiade de bouquins publiés sur le même sujet, le constat de celui-ci est aussi terrifiant que décourageant. De plus en plus mal classée dans les études PISA de l'OCDE, la France, qui consacre son plus gros budget à l'Education, se retrouve au fin fond du classement des pays développés, aussi bien en efficacité qu'en réussite. Et pourtant tous les hommes politiques de droite comme de gauche n'ont cessé de proclamer qu'ils voulaient faire de l'Education la priorité des priorités ! On se demande ce qu'il serait arrivé si elle avait été le cadet de leurs soucis ! En sous-titrant l'ouvrage : « Comment ils sacrifient l'éducation de nos enfants », l'auteur annonce tout de suite la couleur. Il y a bien une volonté de dévoiement, de perversion sous prétexte d'égalité des chances, de non discrimination et autres sornettes du même tonneau. Depuis plus de 40 ans, en voulant la réformer, les puissants détruisent l'école de la République en se gardant d'ailleurs bien d'y placer leurs propres rejetons. Pour ces « héritiers », du solide, du sérieux du traditionnel, pas de méthodes fumeuses, d'éveil transversal et autres sensibilisations ludiques sorties des crânes d'oeufs des pédagogistes disciples de Meyrieu. Le livre regorge de faits avérés qui sont autant de condamnations sans appel. Il se termine par cette constatation : il suffirait de peu de choses pour que ça fonctionne. Oui, sans doute, beaucoup de courage politique et un grand nettoyage pour se débarrasser de tous les Diafoirus jargonnants et autres malfaisants qui pantouflent dans les hautes sphères. Là, d'ailleurs, réside une certaine faiblesse du livre. Sophie Coignard se cantonne un peu trop aux couloirs du ministère, aux magouilles diverses et variées, aux tractations et tripatouillages entre décideurs, hauts fonctionnaires et syndicalistes. Elle aurait pu donner un peu plus la parole aux soutiers et aux galériens, ces enseignants du terrain qui, la plupart du temps, en trichant avec les instructions délirantes, arrivent envers et contre tout à maintenir à flot ce radeau de la Méduse pris de folie. Pour en savoir plus sur la réalité du terrain, lisez plutôt Le Bris « Et vos enfants ne seront pas lire... ni compter » ou Viallet « Le mammouth m'a tuer ». Des témoignages, des vrais.
L'auteur, journaliste, infiltre pendant un an le système éducatif. Du ministère aux salles de classes, elle passe tout à la loupe, interroge, analyse...... Le constat est affligeant, l'école est en naufrage. Elle sort de son rôle fondamental, celui des apprentissages fondamentaux. "tous illettrés dans 10 ans" (pour plagier Attali "tous ruinés dans 10 ans") Entre "L'école du crétin" (je ne sais plus le nom de l'auteur), vu de l'intérieur du système et "le pacte immoral", vu de l'extérieur, le constat est le même : le niveau baisse, l'écart se creuse. Et si tout était voulu ?
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