"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Nous passons dans une seconde étape ; faut-il éliminer les Stryges ou leur permettre de sauver l'espèce ?
Des dessins sans beaucoup de texte mais qui laissent ressentir la tension qui monte.
Les amis et les anciens associés vont-ils de nouveau s'allier ou s'affronter ?
Nous le saurons peut-être dans le quatorzième tomes.
Nous sommes ici dans le récit historique de l’origine des Stryges.
Le moyen-âge, les cavernes, la disparition annoncée de l'espèce, le grimoire etc.
Alors, il y a moins de bastons, moins de suspense, moins de rebondissements, moins d’hémoglobines et moins de bagarres ; je sais, c'est mal mais cela m'a manqué.
Vivement que le rythme revienne et que Nivek reprenne du poil de la bête.
Difficile de se renouveler pour donner un avis sur ce onzième tome contrairement au récit qui nous emmène de révélation en révélation.
Ici une grande trahison et une guérison.
Un peu moins d'hémoglobine (tout est relatif) et des secrets qui se révèlent.
Des dessins toujours aussi angoissants et sombres.
En avant pour le douzième tome.
Ce dixième tome débute par un voyage dans le temps.
L'immortalité est-elle l'explication ?
De l'action encore et toujours un nombre immoral de morts ; Nivek et Debrah ne font pas dans la dentelle.
De la tension et des dessins inquiétants dans ce récit.
Nous n'en sommes qu'à la moitié de la série. Je m'en vais donc vers certainement encore beaucoup d'hémoglobines et de rebondissements pour nos héros.
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