Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
Que vous dire , mis à part que j'ai pris une claque.
Ce roman d'Ondine KHAYAT traite du génocide arménien , entre brutalité, espoir et ... poésie.
Une très belle découverte qui m'a appris beaucoup de choses sur ce pan de l'Histoire.
Quand Taline, la petite-fille lumière d’origine Arménienne, perd sa grand mère Nona décédé à l’âge de 102 ans c’est des souvenirs qui reviennent et le cœur qui saigne autant. Et aussi celui d’une femme complexe douce et forte à la fois. Une étoile vient de s’éteindre dans la famille qui ne pourra plus « allumer des feux dans la neige ». Elle était « nez ». C’était son métier….son monde la parfumerie. Elle, Nona qui rapportait à Taline les parfums de l’autre bout du monde. Ce roman est puissant et plein de poésie, et évoque les liens transgénérationnelles, de transmission et rend hommage à l’histoire familiale de l’auteure Ondine Khayat dans le parfum de l’exil. Une ode au voyage, à la résilience, à faire sauter les verrous des secrets & non-dits de Beyrouth à Paris. A découvrir aux éditions Charleston
@ondinekhayat #leparfumdelexil #transmission #resilience #hommage #familiale #beyrouth #paris
Les amateurs de romans feelgood vont se régaler. Ce roman parle de sujets graves. Femmes battues, enfants en souffrance … un narrateur qui fait parti des personnages vient se glisser entre la fiction et le lecteur pour raconter comment à 12 ans sa copine Valentine et lui on déjà souffert autant que des personnes âgées mais qu’ils ont décidé de faire voyager leur imagination pour mettre de la couleur dans leur vie et celle des personnages de la résidence « Mouettes ».
Ce ne sont pas les seuls qui ont envie de créer un monde meilleur avec des relations humaines harmonieuses. Mais voilà un grain de sable va mettre à rude épreuve cette belle mécanique. Léonce 72 ans fini par se retrouver à la retraite. Cette habitante grincheuse et solitaire va se retrouver à passer ses journées dans sa résidence. Elle n’est pas dans la même dynamique que le reste des habitants. On va la voir glisser dans une dépression dû au manque d’activité, malheureusement il y a bien autre chose derrière. Et s’il y a des scènes qui font sourire comme sa quête d’une maladie… Pauvres médecins ! On finit par rire pour ne pas pleurer.
Nous avons donc le thème du jeunisme, Léonce à laissé la place à une jeunette… va-t-elle rejoindre la horde des invisibles que sont les personnes âgées ?
Ondine Khayat va créer un ensemble de personnages hétéroclites et complémentaires. Ils ont tous leurs particularités, ils sont touchants chacun à sa façon. Mais Léonce elle ne relève que ce qui l’agace, tout ce qui n’est pas terre à terre.
On va donc les voir évoluer au fur et à mesure que l’attention se braque sur Léonce.
Les secrets et les rêves vont aussi prendre de l’importance. La confiance en l’avenir va ouvrir bien des cœurs.
Âmes sensibles pensez aux kleenex et au chocolat … N'en déplaise à certains c'est un roman avec beaucoup de beaux sentiments et de piquant !... Les gourmands prenez des notes car il ya des recettes bien tentantes… pour être optimiste et bien avec les autres.
Il faudra attendre pour avoir certaines réponses et comprendre tout ce qu’englobe le titre
J’ai bien aimé cette lecture drôle et tendre. En cette période un peu sombre voir un rayon de soleil ça fait chaud au cœur.
Lecture qui va bien avec la saison des plaids et chocolat chaud …
Lecture des beaux jours, les jours où on veut croire en l’humanité et la solidarité.
A presque quarante ans, Raphaëlle Lescuyer est toujours profondément blessée par son enfance malheureuse. Cette artiste peintre hypersensible s’est réfugiée dans son art, sous une bulle où seule sa meilleure amie Fanny peut pénétrer. Son fragile équilibre se lézarde le jour où un coup de fil l’informe du décès de son père. Ce père qui ne l’a jamais aimée et qu’elle détestait en retour et avec lequel elle était définitivement brouillée depuis une quinzaine d’années, lui lègue pourtant le Clos des Anges, sa demeure de Giverny. Pour Raphaëlle, le retour dans la maison de son enfance est douloureux et elle ne pense qu’à la vendre le plus vite possible. Mais Paul, le jardinier de son père voudrait qu’elle se réapproprie les lieux pour s’y installer et Fanny abonde dans son sens. Le temps est peut-être venu pour l’artiste à fleur de peau de faire la paix avec son passé…
Parfois on commet l’erreur de choisir un livre pour sa couverture, sans prendre le temps d’en lire le résumé…Et l’on se retrouve avec, entre les mains, un livre de développement personnel. Et quel livre ! Dégoulinant de bons sentiments et affublé d’une héroïne qui oscille entre crises de larmes et crises de panique, le récit empile les clichés, en tentant désespérément de sensibiliser le public à l’hypersensibilité. En vain, il faut l’avouer, tant Raphaëlle est exaspérante. Et la solution qu’apporte l’auteure à son héroïne est tout aussi affligeante. Pourquoi pas une colocation à quarante ans ? Nous voilà donc avec de parfaits étrangers réunis dans une grande maison et qui deviennent des amis, une famille même, en quelques semaines d’une cohabitation basée sur la générosité, l’entraide, la solidarité, l’écoute, etc. malgré la présence d’un ou deux spécimens spéciaux, comme l’ancienne danseuse étoile qui distribue des gemmes censées régler tous les problèmes ou le pianiste virtuose imbu de sa personne et d’une prétention sans finesse. Bref, tout cela constituerait une bien belle leçon de vie -soigner ses plaies en les partageant avec les autres- si Ondine Khayat avait su éviter de tomber dans l’éternelle histoire d’amour. Si la colocation aide Raphaëlle à guérir de ses blessures, c’est tout de même les bras protecteurs, l’empathie, la compréhension, etc. du beau Paul qui font d’elle une autre femme. Comme si une femme ne pouvait ni s’épanouir, ni se construire sans un mâle pour la protéger. Dommage !
Un livre niais, pas même sauvé par le style d’écriture digne d’une rédaction de collégien. A bannir.
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