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Lian Hearn

Lian Hearn

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Avis sur cet auteur (26)

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    Couverture du livre « Le clan des Otori : Intégrale Tomes 1 à 3 : le clan des Otori » de Lian Hearn aux éditions Gallimard-jeunesse

    Eléinir sur Le clan des Otori : Intégrale Tomes 1 à 3 : le clan des Otori de Lian Hearn

    Une belle saga riche en personnages et en rebondissements (et trahisons) qui se passe dans un Japon médiéval et déconcertant, avec un touche de fantastique par l'existence de la tribu

    Une belle saga riche en personnages et en rebondissements (et trahisons) qui se passe dans un Japon médiéval et déconcertant, avec un touche de fantastique par l'existence de la tribu

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    Couverture du livre « Le clan des Otori Tome 3 : le silence du rossignol partie 3 » de Benjamin Bachelier et Stephane Melchior et Lian Hearn aux éditions Gallimard Bd

    L'ivresse des bulles sur Le clan des Otori Tome 3 : le silence du rossignol partie 3 de Benjamin Bachelier - Stephane Melchior - Lian Hearn

    Alors que la fin de l'album précédent nous laisse dans un piège tendu à Takeo, le troisième et dernier tome du premier cycle nous plonge vers son dénouement. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que dans ce dernier opus les héros vont devoir faire face à de nombreux dilemmes qui vont...
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    Alors que la fin de l'album précédent nous laisse dans un piège tendu à Takeo, le troisième et dernier tome du premier cycle nous plonge vers son dénouement. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que dans ce dernier opus les héros vont devoir faire face à de nombreux dilemmes qui vont forcément bouleverser l'ordre établi et marquer à tout jamais la vie des protagonistes... Mais je vous en ai déjà trop dit alors je m'arrête là...

    Guerres de pouvoir, trahisons, amour, courage, honneur, torture, vengeance, tous ces éléments sont dans ce triptyque qui se déroule dans le Japon féodal. Une fresque issue des romans du même nom de Lian Hearn adaptés par Stéphane Melchior au scénario et Benjamin Bachelier pour le graphisme. Sans avoir lu les romans dont sont issues ces trois BD, je me suis plongé dans cette histoire avec un très grand plaisir. Le graphisme m'a séduit immédiatement et l'histoire est extrêmement dynamique en s'appuyant sur de nombreux ressorts. On est tenu en haleine jusqu'aux dernières pages où l'on attend encore des retournements de situation...

    En bref, je ne sais pas si j'aurais le même avis en ayant lu les récits d'origine mais qu'importe, cette série donnera sûrement l'envie, à des lecteurs de BD comme moi, de découvrir les romans tellement l'univers est riche et passionnant.

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    Couverture du livre « Le clan des Otori Tome 1 : le silence du rossignol partie 1 » de Benjamin Bachelier et Stephane Melchior et Lian Hearn aux éditions Gallimard Bd

    Ghislaine Degache sur Le clan des Otori Tome 1 : le silence du rossignol partie 1 de Benjamin Bachelier - Stephane Melchior - Lian Hearn

    La première chose qui m’a plu dans cet album qui se déroule dans un Japon féodal imaginaire de la seconde moitié du XVIe siècle, époque des provinces en guerre, est la couverture magnifique aux dessins et couleurs splendides.
    En l’ouvrant, une carte des trois pays qui forment une péninsule...
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    La première chose qui m’a plu dans cet album qui se déroule dans un Japon féodal imaginaire de la seconde moitié du XVIe siècle, époque des provinces en guerre, est la couverture magnifique aux dessins et couleurs splendides.
    En l’ouvrant, une carte des trois pays qui forment une péninsule dominée par trois clans les Seishou qui règnent dans l’Ouest, les Otori dans le centre, et les Tohan dans l’Est, et quelques autres détails permettent de bien comprendre ensuite le déroulé de cette fresque historique épique.
    Tomasu, alias Takeo est un jeune garçon qui fait partie des Invisibles, les premiers chrétiens du Japon. Ceux-ci subissent les persécutions du clan Tohan.
    Takeo fuyant son village qui vient d’être incendié et les massacres qui s’en sont suivi, est sauvé puis recueilli pour être adopté par Otori Shigeru, le chef du clan des Otori, dont l’ennemi principal est justement Lida Sadamu seigneur des Tohan.
    Takeo doté de pouvoirs surnaturels est évidemment animé par un désir de vengeance que Maître Shigeru tentera de canaliser.
    En parallèle à l’histoire de Takeo, une autre aventure nous est donnée à suivre, celle de Shirakawa Kaede, cette belle jeune femme otage du clan Tohan. Un mariage stratégique est prévu pour elle pour assurer la domination des Tohan.
    Un souffle épique porte cette saga. La guerre avec ces conflits sanglants entre clans où alliances et trahisons s’enchaînent sans oublier la jalousie entre membres du même clan côtoie la loyauté et l’honneur, la beauté, la passion et l’amour.
    Les sentiments les plus vils comme les plus délicats sont présents tout au long de l’album, lui apportant puissance et beauté poétique merveilleuse.
    Cette adaptation en bande dessinée du roman de Lian Hearn est absolument réussie.
    Les dessins de Benjamin Bachelier, ses personnages aux traits très expressifs et aux costumes particulièrement bien rendus, alliés à des couleurs variées et toujours bien adaptés aux différentes situations ou atmosphères, plongent le lecteur dans cet univers médiéval japonais, le tout en parfaite adéquation avec les dialogues du scénariste Stéphane Melchior.
    Violence et cruauté, contemplation et poésie délicate, spiritualité, magie sont au cœur de ce récit initiatique totalement captivant. Une BD ado/adulte envoûtante !
    Il n’est pas étonnant du tout qu’une adaptation cinématographique soit en cours… à suivre.
    Je remercie les éditions Gallimard BD pour m’avoir permis cette superbe découverte et attends avec impatience le tome 2 !

    Chronique illustrée à retrouver sur : https://notre-jardin-des-livres.over-blog.com/

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    Couverture du livre « Le clan des Otori Tome 3 : la clarté de la lune » de Lian Hearn aux éditions Gallimard

    EUGNINI sur Le clan des Otori Tome 3 : la clarté de la lune de Lian Hearn

    On continue de lire malgré la violence des mœurs, malgré l'étrangeté sans faille de la culture japonaise. On aime et on en dévorerait encore bien d'autres, nous les Invisibles, les sans famille, aux prises avec une réalité impossible à surmonter seuls !

    On continue de lire malgré la violence des mœurs, malgré l'étrangeté sans faille de la culture japonaise. On aime et on en dévorerait encore bien d'autres, nous les Invisibles, les sans famille, aux prises avec une réalité impossible à surmonter seuls !