Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
Une jolie histoire toute simple, qui met en scène un petit groupe d'amis, Hermine, Écureuil et Belette. L'humeur des habitants de la forêt est un peu morose et les habitants ne sont pas très gais. Heureusement, en empruntant la carriole du maraîcher, ils vont aller porter des mots doux et tendres qui ne peuvent que redonner le sourire. Le voyage commence par la famille lapins, viennent les sangliers, les blaireaux et les lérots. « Les porteurs de mots doux » apportent petit à petit le bonheur et la joie de vivre. On adore les belles illustrations de Violaine Costa qui donne à ses personnages tous leurs caractères, même le rat que je n'apprécie pas, finit par être sympathique. Les couleurs sont pastel et apportent une jolie harmonie. Ce que les enfants ont préféré c'est la multitude de petits détails qui viennent illustrer cette belle histoire. On adore les poissons volants derrière la carriole et les lampions qui donnent tout de suite un air de fête. C'est tout un univers d'animaux et de nature avec des vêtements aux imprimés trop mignons. Un brin d'anachronisme avec le vélo à grande roue vient apporter l'atmosphère féerique et irréelle de ce conte. J’aime aussi la belle couverture légèrement molletonnée avec de jolis reflets bleu turquoise. Bonne lecture.
http://latelierdelitote.canalblog.com/2024/06/les-porteurs-de-mots-doux.html
Ma fille l'a lu, et du coup elle m'a donné envie de le lire aussi, nous avons adoré toutes les 2
Enquête au cœur de l'île refuge pour animaux fantastiques...
Ici nous faisons la connaissance de la princesse Nienor, fille du roi Gaufrid et de la
reine Ydrille, les souverains du royaume d'Elmerodd. Son truc à elle, est de protéger les
animaux de son Royaume pour leur éviter l'extinction. Un jour, un mâle Lainross lui arrive
par voie maritime par le biais de son ami le Capitaine Colson. À son arrivée, celui-ci attise
les convoitises sans le savoir et le soir même, des braconniers lui scient sa corne.
Avec l'aide de ses amis présents sur l'île, Nienor va mener l'enquête.
J'ai été attirée par le résumé alléchant que proposait Babelio lors de la Masse Critique et
j'ai été ravie de voir que ce roman était illustré. Cyril Nouvel à un superbe coup de crayon
et je dois dire que j'ai été subjuguée par le bestiaire qu'il y'a à la fin du livre.
Il nous permet de visualiser les animaux présents dans le récit et ceux à venir dans le
second tome, et surtout on voit bien que l'auteur et l'illustrateur se sont basés sur notre
faune. Mais aussi la carte au début du livre nous aide à nous situé dans le royaume et c'est
très appréciable.
J'ai beaucoup aimé ce récit où on découvre la cruauté des hommes, mais aussi l'espoir,
l'amitié et féminisme . On parle sauvegarde du monde animal et écologie.
Ce petit roman nous permet de pouvoir sensibiliser les plus jeune pour espérer un monde
meilleur à l'avenir.
Côté enquête même si j'ai vu venir le truc dès le départ, pour les plus jeunes, elle les
tiendra en haleine jusque la fin sans se douter qui est derrière tout cela.
Elle s'installe doucement et est menée tambour battant par la princesse.
Nienor est vraiment un petit bout de femme qui ne se laisse pas mener en bateau par
les hommes, même si ceux ci abusent de leur statut pour essayer de la remettre à sa place,
c'est à dire Princesse, qui ne doit pas s'occuper de chose d'homme.
C'est une princesse travailleuse, qui n'hésite pas à se salir, qui a le cœur sur la main.
Côté personnages secondaires, ce qui est bien dans ce roman c'est qu'aucun n'est mis plus en
avant que les autres, mais j'ai eu un petit faible pour Brin, le petit gamin qui est collé
aux basques de Nienor, mais aussi Calen, un soldat qui est devenu son ami. J'aimerai beaucoup
que le second tome soit basé sur lui.
À côté de cela, les loups font partie intégrante du récit et malgré leur intervention,
ils font peur aux habitants. Mais j'aimerai trop leur faire un gros câlin, et leur dire que
ce sont les meilleurs.
J'ai appris par la suite que le style d'écriture était voulu par la maison d'édition, car
étant accessible pour les dyslexiques et il faut le souligner car peur de maison d'édition
le font.
En bref, un petit jeunesse qui saura sensibiliser les plus jeunes à la cause animale et
qui les ravira avec le bestiaire plus que magnifique.
La première chose qui attire le coup d’œil sur le livre, c'est bien entendu la couverture. Il ne faut pas se leurrer, elle est tout simplement sublime et ne peut qu'attirer le regard des lecteurs.
Concernant l'histoire en elle-même, il est important de souligner qu'elle se laisse vite lire. Il ne faut guère plus d'une heure (voir moins), pour venir à bout de ce livre. Au cas où vous vous posez la question, c'est bon signe.
En effet, l'histoire est tellement prenante que le lecteur ne pourra pas s'empêcher de vouloir découvrir la suite des aventures de la princesse Nienor et de son sanctuaire.
Dans ce récit, le lecteur fait la connaissance de Nienor, une jeune princesse qui a pris la décision d'ouvrir un sanctuaire pour les animaux. Un jour, son ami capitaine lui rapporte un lainross blessé. Nienor n'a pas la moindre hésitation et accepte de s'en occuper.
Ce qu'elle ignore, c'est que dans le port, plusieurs individus souhaitent quelque chose de l'animal et qu'ils sont prêt à tout pour y arriver.
Lorsqu'elle apprend ce qui est arrivé au lainross et à son ami qui le surveillait, Nienor accompagnée de ses amis Calebn et Brin, se lance sans la moindre hésitation à la recherche des coupables, bien décidée à leur faire payer leurs actes.
L'auteure a su créer un univers qui lui est propre et les illustrations aident les lecteurs à imaginer les scènes qui se déroulent dans le récit. Chose intéressante, le bestiaire à la fin du livre est une excellente idée pour les lecteurs qui prendront plaisir à découvrir à quoi ressemble les créatures mentionnées dans le récit.
Une très belle plume captivante à souhait. L'auteure ne laisse aucun temps mort dans son récit pour la plus grande joie des lecteurs. De plus, il y a des illustrations à couper le souffle.
Les personnages sont attachants et les lecteurs peuvent facilement s'y identifier.
Que demander de plus ?
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