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J'ai beaucoup aimé la première partie du roman. On rencontre Mathilde et ses amis et surtout on découvre que les femmes, ne pouvant plus mener une grossesse à terme suite à un virus, donnent leurs embryons au Centre où ils vont se développer dans des cuves qui font office d'utérus artificiel pendant des années. Il n'y a plus de bébés, les "enfants" ont déjà plusieurs années lorsqu'ils sortent des cuves car ils sont moins vulnérables, la communauté étant la cible d'attentats de la part de ses voisins. On découvre donc cette communauté et évidemment les questions abondent : comment en est-on arrivé là? Qui est l'ennemi derrière la frontière? Quels secrets y a t-il à découvrir? C'est très prenant. Cependant à la fin de la première partie et pour les deux suivantes j'ai été déçue, fini l'originalité on repart dans une trame lue et relue, où l'on sait par avance ce qu'il va se passer et comment ça va finir. Les révélations finales n'en sont pas car on les devine facilement bien avant.
Bref un roman divertissant mais sans surprise.
Dans cette cité du futur, Mathilde a ses repères. Elle est brillante et appréciée, au centre de Génération où elle travaille comme chercheuse. Car on le découvre rapidement, la survie de l’humanité est compromise par l’épidémie qui a touché la population, et compromises les possibilités de mener à terme une grossesse pour les femmes. Les futurs citoyens se développent dans un utérus artificiel pendant une longue période qui fera d’eux à la naissance des êtres déjà fonctionnels. Pourtant, Mathilde découvre qu’un événement mystérieux a modifié les constantes étroitement surveillées d’une génération de « spécimens ». Perfectionniste, elle tient à comprendre ce qui s’est passé mais s’engage ainsi sur une voie hautement risquée qui la conduira à des découvertes inattendues et bouleversera ses certitudes bien implantées par son éducation.
La Nouvelle Arche est un roman d’apprentissage, on suit les aventures périlleuses de la jeune fille qui ne reculera pas devant les dangers de vouloir comprendre ce qui se cache derrière les injonctions autoritaires de ceux qui détiennent le pouvoir.
C’est aussi un grand roman d’aventures, avec beaucoup d’action, de rebondissements, de suspense.
On salue d’autre part l’imagination remarquable de l’autrice pour dépeindre cet univers futuriste, totalitaire, et construit avec une logique implacable. Julie de Lestrange évite l’écueil de rentrer dans des considérations scientifiques théoriques, pour ne décrire que ce qui est observable.
J’ai dévoré ce pavé que je rêve de voir à l’écran.
Merci à Julie pour sa confiance et pour le plaisir que m’a procuré cette lecture.
800 pages Livre de poche 16 Février 2022
Alexandre et Sophie vivent une vie rangée en province avec leurs enfants, deux adolescents. Mais la lassitude s’installe doucement dans ce couple pourtant soudé depuis des années. Avec l’aide de son ami Marco, son père Claude, mais aussi sa sœur Anouk, Alexandre souhaite observer la vie différemment et comprendre ce qui maintient les relations amoureuses. Mais les obstacles sont nombreux. Une chronique familiale et amicale qui démonte des idées reçues.
Ces personnages ne vous sont peut-être pas inconnus et vous trouvez cela étrange ? Et bien ça ne l’est pas tant que ça ! Nous, les Magnifiques est le troisième volet des aventures d’Alexandre, Sophie, Marco et Anouk à retrouver dans Hier encore, c’était l’été et Danser, encore aux éditions Livre de Poche. Mais nul besoin d’avoir lu les deux premiers pour apprécier et comprendre l’histoire de ce roman.
J’ai aimé chaque personnage pour leur caractère bien à eux et autant vous le dire tout de suite : impossible de les confondre. Ils sont attachants, particuliers et le lecteur prend facilement part à leurs états d’âme. Leur grande simplicité d’être nous projette dans leurs secrets, nous suggère de la joie et de la tristesse, ou bien souvent de la surprise.
Finalement, la vie que mènent Alexandre et Sophie, leurs soucis de couple et cette soif d’évoluer vers quelque chose de meilleur nous parle à tous. C’est cette quête du bonheur qui rend les personnages vivants car l’on retrouve à l’intérieur d’eux ce que nous sommes ou nous avons été aussi. J’éprouve une tendresse particulière pour Sophie qui cherche à changer de vie professionnellement et qui développe sa recherche dans le bien-être et la spiritualité. Ce groupe d’amis ressemble parfois, malgré la proximité spatiale qui n’existe pas, aux personnages de la série Friends. Tout n’est pas toujours rose mais ils sont avancent soudés pour la vie.
Pas de fioritures coté écriture, ni d’envolées lyriques. Tout l’intérêt est dirigé vers l’évolution des personnages et cette belle organisation narrative qui donne du rythme à l’histoire, provoquant ainsi l’envie d’en savoir toujours plus sur eux, et qui sait, sur nous aussi peut-être ?
u en quelques heures, j'ai adoré m'attacher à Alexandre, Marco, Sophie, Guillaume, Virginie et leur bandes de potes.
Je me suis retrouvée dans leur histoire tant dans leur passé que dans leur avenir.
On voit cette bande d'amis grandir, évoluer tant dans leur relations personnelles que professionnelles.
L'auteure nous décrit les difficultés qui animent les jeunes gens à trouver leur voie, à se trouver.
Le roman est très bien écrit, assez fluide, je n'avais pas envie de le lâcher.
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