Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Merci à Babélio et aux éditions du Rouergue de m'avoir permis la lecture de ce bon roman d'aventures .Dakota et Winter ont décidées de réaliser un trek dans l'Outback australien malgré les nombreux avertissements à ne pas le faire jusqu'à ce que leur randonnée croise deux types peu recommandables .Elle vont se retrouver nues ,délestées de toutes leurs affaires ,au milieu de nul part .Un bon roman où l'auteur nous rappelle que seuls les aborigènes ont le savoir du bush .
La misère, l’alcoolisme et la toxicomanie font des ravages au sein des tribus aborigènes d’Australie. Le jeune Marvellous semble bien en passe de sombrer lui aussi, quand une rencontre inattendue dans le désert vient bousculer son destin.
Ce petit livre jeunesse a tout pour séduire le public adolescent. On y découvre le sort des Aborigènes australiens, qui, dépossédés de leur terre et de leur culture par la colonisation blanche, se retrouvent aujourd’hui en butte à la pauvreté, au racisme, et à l’humiliation qu’ils partagent avec tous les peuples envahis, exploités, anéantis. Exposée avec la plus grande clarté, l’injustice qui continue à les détruire inexorablement ne peut que toucher le lecteur, vite attaché à Marvellous et bientôt tremblant pour sa survie.
Inspiré par les séjours de l’auteur auprès des tribus aborigènes, ce livre si juste et si sincère est à mettre entre les mains de tous les collégiens, mais pas seulement, pour une nécessaire sensibilisation. C’est aussi une lecture très agréable, entre aventure, suspense et un soupçon de magie. Il n’y a rien d’étonnant au succès de Jean-François Chabas auprès de la jeunesse du monde entier.
Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique du tome trois des Chroniques de Zi par Jean-François Chabas et que j'ai reçu de la part des éditions Nathan. Je les remercie infiniment pour ce très bel envoi. Avant toute chose, je dois bien avouer que j'étais extrêmement curieuse de découvrir Turi et en même temps, j'appréhendais fortement ce moment car ce que laissait présager la fin du tome précédent, Nara, n'augurait vraiment rien de bon, du moins de mon côté. Et je suis au regret de vous annoncer que malheureusement, ce pressentiment très désagréable avait résolument ses raisons d'être...
J'ai en effet ressenti une profonde amertume à la suite de ma lecture de ce troisième tome car je me suis rendue compte en refermant ce dernier que Les Chroniques de Zi me convainquait de moins en moins au fur et à mesure que l'on avançait dans la progression de son intrigue globale : si le premier livre avait été un véritable coup de cœur qui avait su me faire retomber en enfance avec son atmosphère autant merveilleuse que terrifiante et le deuxième une excellente lecture même si, à mon sens, cela commençait déjà à partir en cacahouètes, pardonnez moi cette expression, ce troisième opus, Turi, m'a fait en revanche la très nette impression qu'il ne faisait qu'exacerber ce que je n'avais justement pas aimé chez son prédécesseur direct Nara, à savoir l'élaboration et le développement en profondeur du triangle amoureux Nara - Phelan - Turi, ou un procédé scénaristique que j'ai purement et simplement EN HORREUR (avec des majuscules, du caractère gras et en rouge afin que cela soit bien clair).
Et ne me demandez pas pourquoi mais autant cela ne me gênait pas que Phelan soit prêt à tout pour sauver tel un amoureux transi sa belle qu'il ne connait pourtant que de nom et de réputation dans le tome un, autant le fait que Turi s'y mette aussi dans ce tome-ci m'a tout particulièrement agacée. A vrai dire, ses pensées sont encore plus mièvres et ridicules que celles de Phelan qui lui au moins a le mérite d'être quelqu'un de pur, sincère et bien intentionné. Vous l'aurez compris, j'ai vraiment eu du mal avec Turi dans ce tome qui lui est consacré : ce dernier n'est pas quelqu'un de foncièrement mauvais mais il me sort tout de même résolument par les trous de nez. Pourtant, je sens qu'il y a quelque chose qui cloche, que Turi n'est pas lui-même et je ne devrais donc pas lui en vouloir ne peux pratiquement plus me le voir en peinture, c'est comme ça. Croyez bien que ça me désole...
Un autre aspect de ce récit qui m'a tout bonnement donné envie de m'arracher les cheveux, c'est le fait qu'on nous rappelle toutes les cinq minutes ou presque à quel point Nara est belle et surtout à quel point elle a une chevelure magnifique - au passage, on appelle ça une afro, pas un "nuage cotonneux" ou je ne sais plus comment ils dénnoment ça au cours de l'intrigue. Je sais que Nara est une héroïne formidable, même si j'ai encore du mal à véritablement m'attacher à cette dernière, mais franchement, tout cet amour fou dégoulinant que Turi et Phelan déploient à son égard m'a presque fait avoir pitié pour elle. Je n'aurais qu'une chose à lui dire : SAUVE-TOI MA FILLE PENDANT QU'IL EN EST ENCORE TEMPS !!! SAUVE-TOI !!!
In the end, je crois bien que le personnage qui m'intrigue le plus, c'est probablement celui qui est le moins présent, à savoir Zi. En effet, Zi n'est que très peu présente et autant vous dire que l'auteur maintient sacrément bien le suspens à son sujet. Il me tarde vraiment de savoir son rôle dans toute cette folle histoire !
Plus sérieusement, je crois que la seule véritable chose qui continue à toujours autant me séduire dans cette série littéraire, c'est son univers assurément riche et fabuleusement sombre. Très sincèrement, si j'avais lu ces romans petite, j'en aurais certainement parfois fait dans ma culotte, pardonnez ma familiarité !
Pour conclure, je dirais que Les Chroniques de Zi est une sage en laquelle j'ai indubitablement encore envie de croire mais il faudrait que le traitement des personnages soit bien meilleur dans les prochains tomes. Néanmoins, je reste enthousiaste à l'idée de lire le tome quatre car je garde en outre l'espoir de laisser enfin notre effarant triangle amoureux derrière nous et de retrouver cette magie indescriptible qui m'avait tant charmée dans le premier tome !
Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un quatrième tome qui m'a définitivement permis de me réconcilier avec la saga dont il est issu. Ou du moins, nous sommes résolument sur la bonne voie pour enterrer la hache de guerre toutes les deux. Je remercie une fois de plus les éditions Nathan pour ce très bel envoi.
Vous me connaissez bien désormais, j'ai toujours tendance à faire dans l'effusion de sentiments. Néanmoins, cela n'empêche pas qu'on s'était quittées plutôt mauvaises amies, Les Chroniques de Zi et moi, avec ce troisième tome qui restait certes très bien écrit et tout ce qu'il y a de plus addictif mais avec lequel je n'avais assurément pas accroché comme avec les deux précédents et en particulier comme avec le tome 1. J'attendais donc ce tome 4 au tournant et force est de constater que si ce dernier ne possède indubitablement pas la même magie que le début de la série à mes yeux, il a cependant un pouvoir ensorceleur qui lui est propre et qui m'a tout bonnement embarquée.
Attention, je tiens à vous prévenir, je ne vais faire de cadeau ni à votre âme sensible ni à votre petit cœur innocent avec cette critique littéraire. Après tout, ce quatrième livre, Oviri, ne m'en a guère fait à moi non plus alors... à votre tour de souffrir ! Plus sérieusement, ce tome est vraisemblablement, c'est même un fait indéniable, le plus sombre et sanguinolent de la série.
Très sincèrement, on sent que c'est véritablement dans ce tome ci que les choses s'accélèrent à vitesse grand V. L'intrigue a pris une tournure à ce point tragique, atroce et profondément cruelle que chaque page en devenait une authentique torture à tourner. À plus d'un moment, j'ai honnêtement cru que cette lecture allait me faire suffoquer. Et pourtant, je ne pouvais pas m'empêcher d'avancer chapitre par chapitre, de vouloir continuer à affronter les pires tourments auprès de personnages dont l'immense désarroi et la douleur physique et mentale purement et simplement insoutenable m'ont juste fait exploser le cœur d'un chagrin incommensurable. Pour être tout à fait franche avec vous, je ne recommande pas du tout cette saga à de jeunes enfants. Laissons leur innocence encore intacte et lumineuse, ils auront largement le temps de découvrir l'immonde noirceur et injustice de notre monde et de celui de Zi plus tard.
En dehors du fait que j'ai adoré ressentir des peurs paniques pour les protagonistes de ce conte à proprement parler macabre qui tourne littéralement au cauchemar (mon esprit contradictoire, comme toujours), comme je le mentionnais plus haut, la fin approche à grands pas, à pas de géants je dirais même, et cela se fait vivement ressentir tout au long du récit. En outre, la révélation majeure que j'attendais depuis le premier tome est enfin survenue et je dois bien reconnaître qu'elle a eu le brio de me laisser le souffle coupé alors même que j'escomptais déjà qu'il en serait ainsi dans le tome 3. Certes, j'étais loin d'en avoir deviné tous les éléments mais j'avais pressenti l'essentiel. Mais voilà, je ressors les bras coupés par cette gigantesque inconnue à l'équation enfin résolue. Malgré tout, et c'est là où l'auteur fait selon moi extrêmement fort, il ne s'agit pas du plus grand et tonitruant mystère de cet ahurissant univers comme avais coutume de le penser dans le tome 1. Il reste encore à Jean-Francois Chabas un secret hors normes à nous dévoiler, j'en suis persuadée. Je me délecte d'avance comme je redoute fortement ce grand moment.
Pour conclure, je ne pourrais que vous engager à commencer cette saga dont vous ne sortirez pas indemnes, je vous le garantis. Si le tome trois m'avait fait connaître un sérieux coup de mou, ce tome quatre a su raviver la flamme dans mon cœur de l'attachement particulier que j'éprouve pour cette série livresque. Cela me rend profondément triste de penser que le cinquième tome sera le dernier. Suis-je prête pour ce qui va suivre ? Probablement pas.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !