Des textes qui vous sont adressés et seront ajoutés ici dès que nous les recevrons (Article mis à jour le 8 juillet 2020)
Des textes qui vous sont adressés et seront ajoutés ici dès que nous les recevrons (Article mis à jour le 8 juillet 2020)
Merci à Jean-Paul pour ses impressions, ses rencontres, ses Correspondances
Le revue de presse d'août vous dit tout sur la #rl2016
La revue de presse livres vous dit tout ce qu’il faut savoir — et emporter — avant l’été !
Ce livre avait été choisi à partir du thème annoncé dans la présentation de Netgalley. Le nom de l’auteur me disait quelque chose mais sans plus !
Dès les premières pages, j’ai trouvé que cet homme parlait comme mon mari, approchant les 80 ans et donc qu’on avait affaire à un homme blanc macho élevé comme tel !
Les premières pages m’ont bien plu, j’adore l’autodérision et le style m’a fait sourire à plusieurs reprises. Puis j’ai commencé à me fatiguer, à trouver que la blague avait assez duré, j’ai tourné les pages plus rapidement pour voir jusqu’où il allait aller !
Là j’ai regardé sa bio et ai découvert qui il était, pas vieux, enfin pas trop, comme mon fils ! Les diplômes et les réalisations.
J’ai encore continué la lecture jusqu’au moment où cela m’a profondément agacée, car se servir comme il le fait de cas nettement plus graves de harcèlement ou de viols pour excuser sa bévue maladroite, certes, mais hors norme m’a semblé facile .. j’ai arrêté la lecture, jugeant que j’avais d’autres livres en attente qui allaient m’apporter davantage !
Il n’est pas dit que je ne reprendrai le livre mais pas dans l’immédiat, peut être étais je de mauvaise humeur ou perturbée par des événements propres à ma vie ou au contexte politique international actuel !!
Je n’ai donc pas été charmée ni convaincue par cet essai personnel de Monsieur Begaudeau ! Et je remercie Netgalley de me l’avoir envoyé !
François Bégaudeau, l’auteur de ce si joli roman intitulé avec sobriété Amour, a commis une bourde, une bévue, une blague de potache. De celles qu’il faut éviter à tout prix, surtout si on la diffuse sur une réseau, si confidentiel soit-il.
« j’ai cru ma blague circonscrite à l’entre-soi amical qu’était devenu le forum begaudeau.info"
Car rien de plus efficace pour tronquer, modifier et dénaturer le moindre message que son apparition fut-elle éphémère sur le Net. La blagounette sexiste avait en plus pour coeur de cible une personne réelle, qui s’est sentie humiliée et partagél’affaire, avec bien entendu l’afflux immédiat de commentaires, attirés par la victime potentielle comme des mouches sur un étron.
L’affront est porté en justice. Mais FB n’a pas l’intention de s’excuser, et il explique pourquoi.
Beaucoup plus développé que le roman sus-cité, le texte présente l’historique de ce conflit, en décortique les mécanismes et démontre que, non, il n’est pas l’immonde gros beauf que les commentaires pointent du doigt, qu’il est presque féministe, et conscient aussi des risques du moindre faux pas pour quiconque est un peu connu sur la scène médiatique.
Mais il ne s’arrête pas à un simple défense de son cas personnel, et se livre à une analyse sociale et politique avec pour point de mire l’art, la littérature, le wokisme, les prix littéraires..…
Pas question de rebondir sur le débat engendré par l’affaire, on comprend la démarche et on est plus atterré par la bêtise du processus (la blague et les conséquences démesurées, sans vouloir minimiser l’insulte ressentie par la cible, cela aurait pu se régler face à face sans mobiliser l’appareil judiciaire qui a autre chose à faire). Je retiendrai de cet écrit d’abord la qualité de l’écriture, la solidité de la démonstration, même si c’est parfois un peu redondant, et une réflexion bien menée sur notre fonctionnement social et ses supports numériques, pièges où il est difficile de ne pas tomber. De belles pages sur la littérature également.
Cette tentative de défense sera t-elle capable de réhabiliter l’auteur aux yeux de ses détracteurs ? Rien n’est moins sûr, car la nature humaine fait feu de tout bois et trouve derrière les mots qui justifient de nouveaux arguments pour enfoncer l’accusé.
Merci aux éditions Stock pour l’envoi de ce service de presse numérique via NetGalley France. Cette chronique n’engage que moi.
443 pages Stock 2 octobre 2024
#Commeunemule#NetGalleyFrance
Ahlala que dire sur ce roman d'un amour tout ce qu'il y a de plus commun?
Dans ce roman, il n'y a rien d'éblouissant, d'absolument fou. C'est une histoire que vous auriez pu vivre, une rencontre, une attraction réciproque qui mène tout naturellement au mariage, à la parentalité. C'est le temps qui passe, les trahisons, les pardons...
C'est une histoire qui dure une vie, une histoire qui s'accommode du quotidien. C'est l'histoire de 2 personnes qui à force de vivre ensemble finissent par se ressembler, 2 êtres qui sont l'indispensable de l'un et de l'autre...
Vous voyez?
C'est un roman d'une simplicité touchante.
Je dois bien avouer que pendant ma lecture, il m'étais difficile de savoir si j'aimais ou pas... Mais la fin m'a fait verser une petite larme et vous le savez, j'aime les livres qui me font pleurer et puis, au final, l'amour ne se construit-il pas dans les épreuves du quotidien? Ne se nourrit-il pas d'attentions quotidiennes? L'amour, le vrai, n'est-il pas celui-là?
Guylaine nous raconte sa vie depuis sa naissance et le bonheur de ses parents à une certaine maturité venue avec l'age avant le grand age ! Comment elle a appris qu'elle était moche et comment sa vie en a été radicalement changée, comment elle a couru après l'amour persuadée qu'elle n'y avait pas droit ...
J'ai trouvé que Guylaine portait un regard très dur et surtout très sclérosant sur elle même. Comment une parole peut transformer une vie si on s'y accroche. C'est la mocheté qui est traité ici mais elle fait référence à toutes ces pensées limitantes qui nous empêchent d'avancer et d'être épanouie.
A travers son parcours que j'ai trouvé malgré tout très long, cette BD se termine sur une note un peu plus positive.
Les illustrations dans les tons de brun surajoutnte à cette ambiance un peu déprimante, heureusement il y a malgré tout une certaine fluidité et les pages non normalisées ouvrent un espace plus dynamique et léger.
A mettre entre toutes les mains des personnes complexées.
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