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David Moitet

David Moitet
David Moitet, 32 ans, professeur d'EPS, habite dans la Sarthe. L'homme aux papillons est son premier roman, suivi de Apoptose et Piège boréal chez Les Nouveaux Auteurs. Retrouvez l'auteur sur www.david-moitet.fr

Avis sur cet auteur (23)

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    Couverture du livre « C'était juste un jeu » de David Moitet aux éditions Didier Jeunesse

    Marie-Hélène Fasquel sur C'était juste un jeu de David Moitet

    Un excellent roman jeunesse que j'ai pris autant de plaisir à boire que Les mots fantômes !
    Ce livre est un régal, offrant une plongée captivante dans la vie d'un groupe d'adolescents aux personnalités diverses. Son empathie palpable en fait une lecture inoubliable.

    L'histoire nous entraîne...
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    Un excellent roman jeunesse que j'ai pris autant de plaisir à boire que Les mots fantômes !
    Ce livre est un régal, offrant une plongée captivante dans la vie d'un groupe d'adolescents aux personnalités diverses. Son empathie palpable en fait une lecture inoubliable.

    L'histoire nous entraîne dans une aventure palpitante, qui aborde de nombreuses thématiques. Les relations parents-adolescents occupent une place centrale, mettant en lumière défis et tensions. La maladie est également traitée avec finesse. De même, le roman explore les conséquences d'un divorce sur les enfants, mettant en évidence les tourments et les ajustements nécessaires pour trouver un nouvel équilibre familial.

    L'amitié, le sens de la vie, l'entraide et le courage sont des thèmes qui se déploient tout au long de l’histoire. Les liens qui se tissent entre les protagonistes sont à la fois touchants et inspirants, montrant l'importance de s'appuyer les uns sur les autres pour surmonter les épreuves. Les questionnements sur le sens de la vie, si présents chez les adolescents, sont abordés de manière subtile, incitant les lecteurs à réfléchir à leurs propres aspirations et valeurs.
    En conclusion, ce roman jeunesse est à la fois divertissant et profond.

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    Couverture du livre « Les mots fantômes » de David Moitet aux éditions Didier Jeunesse

    Marie-Hélène Fasquel sur Les mots fantômes de David Moitet

    Quel suspense ! Un roman jeunesse qu’on a du mal à lâcher ! Des personnages sensibles, attachants et dynamiques, qui vont se battre pour comprendre leur histoire familiale, mais aussi pour les autres (Lilas prend de grands risques pour aider Eliott dans sa quête, leurs compagnons d’infortune...
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    Quel suspense ! Un roman jeunesse qu’on a du mal à lâcher ! Des personnages sensibles, attachants et dynamiques, qui vont se battre pour comprendre leur histoire familiale, mais aussi pour les autres (Lilas prend de grands risques pour aider Eliott dans sa quête, leurs compagnons d’infortune aussi).
    Un récit passionnant, riche en action, qui évoque aussi des thématiques fortes et essentielles comme la différence, la dépendance, le suicide adolescent, les erreurs commises dans le passé, la rédemption, les secrets de famille délétères.
    « Que voulait dire son père, quand il évoquait la folie de sa tante et de sa grand-mère ? »
    « – J’ai l’impression d’être complètement brisée, dit-elle. Comme un vase fracassé en mille morceaux. Je ne suis pas faite pour ce monde… Lilas garde le silence quelques secondes avant de prendre la parole. – J’ai vu un reportage, l’autre jour, sur des artistes japonais. Le kintsugi, tu connais ? – Jamais entendu parler. – Ils recollent les poteries brisées avec de l’or. Le résultat est très étonnant. On obtient un nouvel objet, beaucoup plus beau que l’original… – Je vois où tu veux en venir… – Nos blessures ne disparaissent jamais. Mais elles nous rendent plus fortes, nous font avancer. J’ai envie que nous soyons amies très longtemps, Sadie. »
    Un grand livre.

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    Couverture du livre « La longue nuit » de David Moitet et Barthélemy Germain aux éditions Didier Jeunesse

    Marie-Hélène Fasquel sur La longue nuit de David Moitet - Barthélemy Germain

    Ce livre, à l’écriture douce et incisive à la fois, est un « bildungsroman » original et remarquable, mais aussi un roman d’aventures, une enquête policière, un conte initiatique, un rituel de passage, une dystopie, époustouflants ! Que de suspense savamment dosé, que de rebondissements (jusqu’à...
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    Ce livre, à l’écriture douce et incisive à la fois, est un « bildungsroman » original et remarquable, mais aussi un roman d’aventures, une enquête policière, un conte initiatique, un rituel de passage, une dystopie, époustouflants ! Que de suspense savamment dosé, que de rebondissements (jusqu’à la chute finale, un peu comme dans une nouvelle) !
    « Sans surprise, il y a peu de mélange. Les hommes-taureaux grattent le sol en bandant leurs muscles pour montrer à tous qu’ils n’ont peur de rien. Les hommes-cervidés s’amusent à se défier avec leurs bois, tout près des hommes-chevaux, dont le souffle régulier émet de petits nuages de condensation. Quant aux hommes-antilopes, dont Mira fait partie, ils se contentent de toiser les autres avec dédain, comme si le monde leur appartenait. »
    Des thématiques essentielles telles l’égalité des sexes, des êtres, l’humanisme, la dictature, le danger de la toute-puissance d’un groupe ou d’une communauté, l’amitié et la dimension terrible, terrifiante du secret dans toute sa splendeur. La justice et les injustices en tout genre sont également au centre de ce récit, et Mira (« celle qui élève » ou « la merveille ») saura faire preuve de courage et d’altruisme pour se battre contre un monde qui ne lui ressemble pas et qu’elle refuse. Comme tant de héros et héroïnes solitaires, passés ou (terriblement) actuels, qui heureusement trouvent des alliés, et combattent de toutes leurs forces les cannibales de tous ordres (exploitation, intolérance, profit, haines... dévorantes).
    « Elle sait juste que tous ne reviennent pas et que cette fichue boisson blanchâtre l’a plongée dans un brouillard dont elle se serait bien passée. Elle tente de combattre ses effets et se recentre sur son objectif. Traverser la forêt. Trouver une fleur de nuit. La rapporter. Dit comme cela, ça paraît simple. Elle presse le pas. Elle se sait endurante et plutôt rapide. »
    « Mira assiste impuissante à ce défilé de religieux dégoulinants de haine. Pas une fois elle ne baisse le regard face à ses détracteurs. Son bâillon lui déchire la commissure des lèvres. »
    À mettre entre toutes les mains, jeunes ou moins jeunes.
    « Ce qu’il faut retenir, de cette quête brutale, C’est que des proies faciles, il vaut mieux se méfier. L’animal acculé est toujours un danger. Méfions-nous, je le répète, de nos penchants cannibales. »

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    Couverture du livre « Le dossier Handle » de David Moitet aux éditions Didier Jeunesse

    Kryan sur Le dossier Handle de David Moitet

    « Quelle que soit la noirceur de la nuit, une simple flamme permettra toujours de trouver son chemin ».

    Montana.
    Claquements de dents.
    Froid.
    Cabane en bois.
    La trouille.

    De l'adrénaline et un passé avec des zones d'ombre...dans le 10ème roman de cet auteur que j’apprécie...
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    « Quelle que soit la noirceur de la nuit, une simple flamme permettra toujours de trouver son chemin ».

    Montana.
    Claquements de dents.
    Froid.
    Cabane en bois.
    La trouille.

    De l'adrénaline et un passé avec des zones d'ombre...dans le 10ème roman de cet auteur que j’apprécie beaucoup.

    Une bonne histoire pour la jeunesse.