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Christian Lehmann

Christian Lehmann
Christian Lehmann exerce en tant que médecin généraliste depuis une trentaine d'années. Romancier, il est l'auteur, entre autres, de «No Pasaran Le jeu» à L'école des Loisirs, de «La Folie Kennaway» chez Rivages Noir, «Une éducation anglaise» à L'Olivier... Voir plus
Christian Lehmann exerce en tant que médecin généraliste depuis une trentaine d'années. Romancier, il est l'auteur, entre autres, de «No Pasaran Le jeu» à L'école des Loisirs, de «La Folie Kennaway» chez Rivages Noir, «Une éducation anglaise» à L'Olivier...

Avis sur cet auteur (8)

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    Couverture du livre « No pasaran le jeu » de Christian Lehmann aux éditions Ecole Des Loisirs

    Kryan sur No pasaran le jeu de Christian Lehmann

    " C'est un jeu, jeune homme. Un jeu auquel vous n'avez encore jamais joué."

    Un roman de l'école des loisirs pour les ados adapté aussi en bande dessinée.

    Un roman original, fantastique, de violence, d'un mélange de réalité et de fiction, de jeux vidéo, de sentiments, et d'Histoire...
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    " C'est un jeu, jeune homme. Un jeu auquel vous n'avez encore jamais joué."

    Un roman de l'école des loisirs pour les ados adapté aussi en bande dessinée.

    Un roman original, fantastique, de violence, d'un mélange de réalité et de fiction, de jeux vidéo, de sentiments, et d'Histoire presente et passée.

    Prenant.

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    Couverture du livre « No pasaran le jeu » de Christian Lehmann aux éditions Ecole Des Loisirs

    CaroGalmard sur No pasaran le jeu de Christian Lehmann

    Ce roman est une ode à la paix. La paix dans la vie réelle, mais aussi dans les jeux vidéos. C'est vrai, ils en passent du temps les ados sur ces jeux, à tuer des méchants, manipuler des armes, faire exploser des bâtiments.
    Alors ce roman pose la question de la dangerosité de ces jeux de...
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    Ce roman est une ode à la paix. La paix dans la vie réelle, mais aussi dans les jeux vidéos. C'est vrai, ils en passent du temps les ados sur ces jeux, à tuer des méchants, manipuler des armes, faire exploser des bâtiments.
    Alors ce roman pose la question de la dangerosité de ces jeux de guerres, la façon dont le virtuel peut modifier le réel, jusqu'à affecter les comportements des joueurs dans la vraie vie.
    Eh oui, les jeux vidéos peuvent être une drogue, aliénant et faisant bouger de manière malsaine les frontières entre le bien et le mal. Je conçois qu'il faille faire particulièrement attention aux jeunes, qui peuvent assouvir là des fantasmes et pulsions de pouvoir, au lieu de se concentrer sur la construction de leur futur.
    Mais jamais, au grand jamais, le roman ne se pose en donneur de leçon. La lecture embarque vraiment. Il est dur, sans pitié, comme on l'est avant 20 ans (après c'est pas forcément mieux, mais moins frontal).

    Alors faut-il le lire ? Oui. A lire et faire lire.

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    Couverture du livre « No pasaran le jeu » de Christian Lehmann aux éditions Ecole Des Loisirs

    Liesel readings sur No pasaran le jeu de Christian Lehmann

    Une histoire pour les ados que j’avais lu il y a quelques années et que j’ai eu envie de relire car il m’avait marqué. L'idée est originale et la fin est un sacré coup de poing.
    Une histoire qui permet d’aborder non seulement les jeux vidéos et l’addiction de certains jeunes à la violence, la...
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    Une histoire pour les ados que j’avais lu il y a quelques années et que j’ai eu envie de relire car il m’avait marqué. L'idée est originale et la fin est un sacré coup de poing.
    Une histoire qui permet d’aborder non seulement les jeux vidéos et l’addiction de certains jeunes à la violence, la violence elle-même, le racisme et donc la tolérance.
    Un livre jeunesse devenu un classique et étudié dans certains lycées.

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    Couverture du livre « No pasarán, endgame » de Christian Lehmann aux éditions Ecole Des Loisirs

    Caro Caro sur No pasarán, endgame de Christian Lehmann

    Eric, Thierry et Andreas sont trois amis, passionnés de jeux vidéos.

    Andreas adolescent est élevé par un père haut placé dans la hiérarchie d’un parti politique identitaire (qui n’est pas sans rappeler des responsables politiques actuels), qui tyrannise sa mère et méprise sa belle-mère. Au...
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    Eric, Thierry et Andreas sont trois amis, passionnés de jeux vidéos.

    Andreas adolescent est élevé par un père haut placé dans la hiérarchie d’un parti politique identitaire (qui n’est pas sans rappeler des responsables politiques actuels), qui tyrannise sa mère et méprise sa belle-mère. Au début du roman, il est absent, disparu mystérieusement.

    Ses amis sont à sa recherche, très vite on devine qu’il évolue dans l’univers parallèle d’un jeu vidéo qui ressemble au passé. Mais est-ce vraiment un jeu ? Avec l’aide de Gilles le frère d’Eric, ils vont tenter de le retrouver et d’éviter une catastrophe…

    J’ai démarré ce gros roman touffu sans a priori, avec un peu de difficulté au début tant il y avait de personnages, des chapitres très courts qui sautent d’une histoire à une autre, d’un protagoniste à un autre, d’une époque à une autre. Je me suis rapidement rendue compte que certains éléments me manquaient, puisque c’est en réalité le tome 3 d’une trilogie, mais finalement cela n’a pas trop gêné la lecture, j’ai compris que les personnages avaient vécu d’autres aventures extra-temporelles précédemment.

    Au fil du récit les liens se tissent, les époques se superposent, les pièces s’emboîtent jusqu’aux derniers chapitres où tout se dénoue, dans un grand écart entre la deuxième guerre mondiale, la guerre des Balkans et jusqu’à nos jours.

    Ce roman d’anticipation à l’envers est passionnant. Oeuvre de fiction, il nous emmène dans le passé et nous fait revivre les heures sombres du nazisme en France, et de l’épuration ethnique en Yougoslavie, heures sombres qu’il met en parallèle avec les relents identitaires actuels.

    J’ai aimé la réflexion qu’il suscite sur les valeurs de tolérance mais également sur la façon dont les médias ou les techniques, le jeu vidéo en particulier, nous conditionnent. On y parle d’extrémisme, de haine, d’idéologie, de guerre, mais aussi d’espoir et de réflexion, de tirer les leçons du passé.

    https://mesmotsmeslivres.wordpress.com/2016/08/17/no-pasaran-endgame-de-christian-lehmann/