Des romans, BD et documentaires pour rêver, s’amuser mais aussi mieux comprendre ces sujets essentiels
Thierry et Eric n'avaient jamais fait attention à cet insigne sur le blouson de leur copain Andreas, une décoration métallique parmi beaucoup d'autres. Jusqu'au jour où, dans une boutique de jeux, le vendeur avait pointé l'index vers l'insigne et s'était mis en colère. C'était un vieil homme. Il s'était mis à crier, il était livide. Ensuite, il leur avait donné le jeu. En fait, il leur avait ordonné d'y jouer. Il n'y avait rien sur la boîte. A l'intérieur, une simple disquette, même pas un CD-Rom. Et pourtant, ce qu'ils voyaient sur l'écran de l'ordinateur ne ressemblait à rien de ce qu'ils auraient osé imaginer. "Choisissez votre mode de jeu", dit la voix. Mais il ne s'agissait pas vraiment d'un jeu. Il s'agissait plutôt d'un passeport pour l'enfer. La suite de leurs aventures dans : "Andreas, le retour".
Des romans, BD et documentaires pour rêver, s’amuser mais aussi mieux comprendre ces sujets essentiels
" C'est un jeu, jeune homme. Un jeu auquel vous n'avez encore jamais joué."
Un roman de l'école des loisirs pour les ados adapté aussi en bande dessinée.
Un roman original, fantastique, de violence, d'un mélange de réalité et de fiction, de jeux vidéo, de sentiments, et d'Histoire presente et passée.
Prenant.
Ce roman est une ode à la paix. La paix dans la vie réelle, mais aussi dans les jeux vidéos. C'est vrai, ils en passent du temps les ados sur ces jeux, à tuer des méchants, manipuler des armes, faire exploser des bâtiments.
Alors ce roman pose la question de la dangerosité de ces jeux de guerres, la façon dont le virtuel peut modifier le réel, jusqu'à affecter les comportements des joueurs dans la vraie vie.
Eh oui, les jeux vidéos peuvent être une drogue, aliénant et faisant bouger de manière malsaine les frontières entre le bien et le mal. Je conçois qu'il faille faire particulièrement attention aux jeunes, qui peuvent assouvir là des fantasmes et pulsions de pouvoir, au lieu de se concentrer sur la construction de leur futur.
Mais jamais, au grand jamais, le roman ne se pose en donneur de leçon. La lecture embarque vraiment. Il est dur, sans pitié, comme on l'est avant 20 ans (après c'est pas forcément mieux, mais moins frontal).
Alors faut-il le lire ? Oui. A lire et faire lire.
Une histoire pour les ados que j’avais lu il y a quelques années et que j’ai eu envie de relire car il m’avait marqué. L'idée est originale et la fin est un sacré coup de poing.
Une histoire qui permet d’aborder non seulement les jeux vidéos et l’addiction de certains jeunes à la violence, la violence elle-même, le racisme et donc la tolérance.
Un livre jeunesse devenu un classique et étudié dans certains lycées.
à mon humble avis ce bouquin est une mauvaise manière d'aborder la guerre et ses conséquences, trop cliché. Je déconseille ce bouquin qui peut être, néanmoins, très bien pour les enfants.
Trois ados se retrouvent en jouant à un jeu vidéo, pris dans La guerre d'Espagne. Très bonne manière d'aborder le sujet. Accessible dès le collège.
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