Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
Une chouette lecture, des thèmes profonds pour une romance mais qui suit le schéma classique de la romance. C'est agréable, idéal pour passer un bon moment
Je ne sais pas trop comment parler de cette lecture. Une partie de moi a appréciée le fond de l’histoire, l’univers de la danse classique qui ne m’est pas tant inconnu et une autre partie de moi est plutôt perplexe, j’ai eu du mal avec les personnages. Je suis donc assez mitigée.
Je connaissais déjà la plume de Battista Tarantini et elle m’avait conquise avec son roman Heroes. J’avais eu un coup de cœur pour cette histoire. C’est pour cette raison que j’avais vraiment envie de découvrir Orion. L’univers de la danse classique est un univers que je connaissais déjà. J’ai déjà lu beaucoup de livres avec ce sujet et ça m’a toujours plu. Alors, je n’ai pas hésité longtemps.
C’est à ce moment là que je me suis divisée en deux parties. Je me suis retrouvée face à des personnages auxquels je n’ai vraiment pas du tout accroché mais pourtant l’univers me plaisait. L’héroïne, Léo est un personnage qui m’a paru trop quelque chose mais pas assez quelque chose en même temps. Je ne sais pas comment l’expliquer honnêtement. Il m’est arrivé d’être énervée contre elle souvent. Elle n’est d’ailleurs pas la seule qui m’est énervée, il y a aussi le personnage de Orion. Lui aussi ne m’a pas vraiment plu. Leur personnalité à tous les deux, m’a vraiment laissé perplexe. J’ai eu du mal à terminer ma lecture à cause de ça.
Cependant, comme je l’ai dit, l’univers m’a quand même plu. La danse classique est une chose que j’aime bien. Quand je prend un peu de recul sur cette lecture, le fond de l’histoire est bien. Si les personnages avaient été différents j’aurais pu peut-être adoré cette lecture mais ce n’est pas le cas. J’ai apprécié cette lecture malgré tout, car seuls les personnages ne m’ont pas plu. J’aime toujours autant l’écriture de Battista Tarantini. Nous sommes dans une histoire qui reste poétique, qui peut bouleverser aussi. Il y a un côté sombre. Il y a aussi un côté lumineux. On voyage dans un livre qui évoque des sujets difficiles. Je conserve juste une petite déception vis-à-vis des personnages.
Bien que je reste mitigée face à cette lecture, je vous conseille cette lecture car je pense que vous seul pouvez vous faire un avis. Je ne sais pas si je suis la seule à me retrouver dans ce cas. Mais cela, ne va pas m’empêcher de découvrir le second tome.
J’avais terminé le premier tome avec un avis plutôt mitigé car j’avais trouvé l’univers vraiment saisissant et bien seulement j’avais eu beaucoup de mal avec les personnages auxquels je n’ai pas réussi à m’attacher. Malgré ceci, j’avais tout de même envie de mon plonger dans le second tome.
On retrouve nos deux protagonistes là où nous les avions quitter, direction Tokyo. Léo et Orion n’auront pas d’autres choix que de faire face à de nombreuses choses. Notre lecture va varier entre passion, désir, noirceur, secrets et danse.
J’ai trouvé que ce second tome était plus intense et j’ai aussi mieux ressenti les émotions. Notre lecture suit un rythme vraiment effréné. On danse facilement avec les personnages. C’est l’élément qui est au centre de leur relation. Cet univers est beaucoup présent et c’est ce qui m’a plu. J’ai aimé cet aspect du livre tout comme dans le premier tome.
Mais tout comme dans le premier livre, j’ai une fois eu du mal avec les personnages à quelques différences près. J’ai trouvé que Léo avait plus de personnalité qu’avant. Elle est aussi plus déterminée. Même si je ne me suis pas attachée à elle, le fait qu’elle se batte autant pour Orion est quelque chose de beau. Leur relation est tout de même belle. Ils dansent l’un pour l’autre.
J’ai beaucoup mieux compris Orion. Orion est un personnage dur, égoïste. Bien qu’il soit chorégraphe, il ne danse plus sauf pour Leo. Orion est moins difficile avec Leo que dans le premier tome. Il est d’ailleurs prêt à beaucoup pour elle, mais il ne veut pas continuer de vivre. Il se bat contre ses démons tout comme Léo. On a donc deux personnages qui luttent, qui luttent difficilement vers une renaissance, vers leur but.
En conclusion, j’ai une préférence pour ce second tome. Je suis un peu moins mitigé que la dernière fois, mais mon avis sur les personnages restent presque pareil. Je n’ai vraiment pas réussi à m’attacher aux personnages et à les aimer.
Je vous conseille quand même cette duologie car elle reste bien et l’univers est beau à découvrir tout au long. Notre lecture suit les danses des personnages, les révélations, la lutte contre la noirceur. Ce roman est plus intense, plus puissant en émotions, mais aussi plus sombre que dans le premier tome.
Après avoir eu un énorme coup de coeur pour le premier tome, j’étais vraiment curieuse et impatiente de connaître la suite des aventures du duo que forment Leo et Orion. Surtout que la fin du tome 1 nous laissait sans voix.
J’ai imaginé mille et un scénarios, du plus lumineux au plus sombre, ne sachant pas réellement lequel m’aurait le plus convaincu et convenu.
L’histoire reprend là où le rideau s’est baissé. Orion emmène Leo à Tokyo voir Neruji, ce japonais si mystérieux et dérangé qui règne en maître de la danse sur l’île. Il mélange le classique et le buto, rendant son art singulier.
Seulement, Orion garde en cap sa promesse, ou plutôt ses promesses.. Lorsque Leo réalise qu’il n’a pas changé ses plans, elle décide de prendre le large, de s’éloigner de son Hadès qui va finir par la tuer elle aussi.
J’ai été complètement happée par cette lecture. J’en ressors bouleversée, chamboulée, changée.
« Les étoiles ne meurent jamais » est encore meilleur que « Ainsi soient les étoiles ».
La descente aux enfers se fait, nous donnons la main à Orion et à Leo pour les aider à retrouver la lumière. La tâche est difficile.
Alors que le premier opus se concentre sur Leo, sur ce qu’elle est, mais aussi sur la mise en place de l’intrigue, le second tome est quant à lui une ode à Orion, au duo qu’il forme avec Leo.
Nous plongeons dans les ténèbres du chorégraphe, apprenons à connaitre ses doutes, ses peurs, ses moyens pour soulager ses douleurs. La pression est forte, il n’arrive plus à respirer dans ce monde qui l’étouffe. Sa décision était prise, sauf que Leo est venue tout bouleverser. Elle est son phare qui le guide en pleine tempête, la bouffée d’air qui l’empêche de sombrer. Il essaie de résister à l’appel de la sirène, mais le phénix s’envole et embrase tout sur son passage.
Après avoir rendu sa liberté à Leo, Orion est persuadé qu’il trouvera la sienne dans la mort.
« Les étoiles ne meurent jamais » déborde de sentiments, de sensations. On ressent une pléiade d’émotions du début à la fin du livre. Il est impossible de rester indifférent à cette histoire, à ce couple, à cette tragédie.
Tout au long de son récit, Battista TARANTINI joue double. Cette dualité se retrouve dans tous les aspects de son histoire : ombre/lumière, vie/mort, enfermé/libre, homme/femme, douleur/plaisir, beau/laid, … C’est dans cet aspect là qu’elle arrive vraiment à toucher notre coeur. Il est rare que je sois autant retournée par une histoire. J’ai eu l’impression d’être dans des montagnes russes, de plonger et remonter au fil des chapitres, au fil des émotions que j’ai ressenties.
La plume de l’auteur aide encore plus à entrer dans l’ambiance très particulière d’« Orion ». Son style d’écriture est vraiment différent de son précédent livre, « Heroes ». Plus simple, plus tranché, plus brut. A chaque phrase nous avons l’impression d’entendre le « Pam pam » des chaussons de danse sur le parquet. Le rythme est saccadé, intense, autant que nos respirations.
Que dire également des nombreux paysages de ce tome ?
J’ai été complètement séduite par l’antre de Neruji, ce personnage si mystérieux. J’ai vraiment eu l’impression de voyager dans tous les lieux que l’auteur a décrit, j’ai réellement été dépaysée.
Le casting est aussi parfait. On retrouve des anciens personnages, certains restent identiques, d’autres se transforment. Claudia m’a un peu touchée. Sans compter les nouveaux qui entrent dans la danse. Alexandra est parfaite dans son rôle de sorcière.
Que dire de la fin ?
Dès le premier tome, j’avais énormément de scénarios en tête. D’autres sont venus se greffer pendant ma lecture des « Étoiles ne meurent jamais ». Sans compter nos discussions endiablées avec Audrey. On est parties très loin, on avait peur.
Certaines choses se sont réalisées, d’autres non. Alors oui, le final est rapide, comme un baissé de rideau à la fin d’une représentation, mais comme je disais : quand on aime, le temps passe rapidement.
En tout cas jusqu’au bout l’auteur aura réussi à me tenir en haleine et à me faire perdre la tête.
En conclusion, « Orion, tome 2 : Les étoiles ne meurent jamais » est une véritable réussite. Battista TARANTINI est parvenu à surpasser son premier opus en nous plongeant dans un véritable tourbillon d’émotions. Elle sort complètement de sa zone de confort avec cette histoire atypique, mais que c’est brillant !
C’est beau, c’est laid, c’est tendre, c’est tout à la fois. Orion se dévoile, Leo se révèle.
Merci pour cette histoire qui m’a retournée, m’a émue en me mettant les larmes aux yeux, n’a pas arrêté de faire battre mon coeur de plus en plus vite et de faire tourner mes méninges.
La dernière représentation est à portée de main, ne la loupez pas.
( https://lectrice-lambda.blogspot.com/2019/02/orion-tome-2-les-etoiles-ne-meurent.html )
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