Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
Ce livre a souvent croisé mon chemin sur les réseaux sociaux, suscitant de bonnes critiques.
Intriguée, j'ai décidé de le découvrir à mon tour.
L'histoire se déroule pendant le premier confinement et explore une belle histoire d'amour entre deux femmes.
Coincées ensemble pendant cette période singulière, où les déplacements étaient limités et la solitude pesante, elles ont naturellement commencé à vivre leur amour.
Le récit décrit leur relation fusionnelle, dépourvue de questionnements, axée sur la simple jouissance du moment présent.
Les chapitres courts sont fluides, portés par un texte poétique et sensuel qui m'a transporté au fil des premiers émois de cette belle relation.
C'est un premier roman très réussi qui aborde l'amour sans tomber dans la mièvrerie.
Pas besoin d'en faire des tonnes pour narrer une histoire d'amour, et l'autrice a parfaitement saisi cette subtilité.
Je me plongerai avec grand plaisir dans la lecture de son prochain livre.
ttps://www.instagram.com/claudia.passionlivres/
Après de nombreux échanges par mail, et une rencontre physique lors d'une soirée, la narratrice se rend chez Sara. Les deux femmes vont vite devenir amantes et se déclarer leur amour mutuel.
Si la sensualité, la passion, la sensibilité sont au rendez vous dans ce roman d'amour, cela n'a pas suffit à m'emporter. J'ai trouvé la relation de ces deux femmes fade, banale et qui n'a de merveilleux que pour celles qui la vivent. La position de voyeur du lecteur n'est pas la plus agréable.
L'auteur a pourtant essayé de nous proposer une palette de registre d'écriture pour nous faire ressentir la vibration entre ces deux femmes qui s'aiment énormément mais cela n'a touché aucune corde sensible chez moi.
Ce roman a été lu dans le cadre des 68 premières fois 2022
https://quandsylit.over-blog.com/2023/04/les-nuits-bleues-anne-fleur-multon.html
Le confinement et le covid ont inspiré bien des romans. Les relations amoureuses aussi.
Lorsqu'elle rencontre Sara à sa soirée de fin d'année, la narratrice ne sait pas encore qu'elle va comme tant d'autres devoir rester confinée chez elle sans espoir de sortir. Comment imaginer alors vivre une aventure amoureuse et rencontrer l’âme sœur, celle qui apparaît sur les écrans de ses nuits bleues, par internet interposé.
C'est pourtant ce qu'elles vont réussir à faire, se rencontrer, vivre ensemble cet amour neuf et un peu fou dans ce contexte. L'autrice nous fait vivre les gestes, les caresses, les sentiments amoureux, avec douceur et sensibilité. Mais on tourne vite en rond dans une petit appartement et sans espoir de sortie. Même si parfois l'imagination supplée au manque du monde extérieur.
Un roman sur l'amour et la rencontre, mais un peu fade à mon goût. Je retiens cependant l'originalité de l'écriture, qui se veut singulière parfois à l’excès, la poésie des mots pour dire les sentiments naissants, mais aussi la banalité des émoticônes lorsqu'ils sont décrits et surabondants. Un roman que j'ai cependant lu en une soirée, une histoire d'amour comme tant d'autres, entre deux jeunes femmes qui se cherchent, se trouvent, et partent vivre leurs rêves d'ailleurs, ailleurs.
https://domiclire.wordpress.com/2022/11/02/les-nuits-bleues-anne-fleur-multon/
Des nuits bleues.
Et puis blanches.
A découvrir sa peau, la sienne, et puis la tienne en écho.
Compter les moutons, ceux qui vous voudront du mal chaque fois qu'ils verront vos mains nouées. Vos bouches cousues. L'une à l'autre.
Le début de l'histoire, c'est déjà de l'amour. de l'amour par hasard. Une rencontre juste avant le confinement. Ça tombe mal. Ou bien. Ça permet un échange peut-être plus intime, qui passera par les mots, un amour comme un roman. Lui donner une dimension poétique. le temps que.
Le temps que les nuits soient bleues. Blanches. Tendres.
Parce que, bien sûr, elle finit par les braver, les couvres-feu, les flics, le confinement. Pour Sara. Sara sans H. Confiner, oui, mais l'une en l'autre.
Il faut des mots, des mots bateaux, quand le coeur tangue et que tout chavire, quand la marée monte et que les vagues balaient les dernières pudeurs. Il faut ces mots-là pour dire l'amour, et le faire.
C'est une écriture tantôt poétique, dans son vocabulaire et dans sa construction aussi, tantôt plus tranchante. le désir donne un langage plus incisif, comme s'il fallait aller plus loin, toujours plus loin, au creux de l'autre. Traverser la peau.
On les suit dans ce quotidien.
On pourrait craindre l'ennui. Parce que l'amour, bon... on a écrit ça mille fois. Mais jamais par nuits bleues. Non, jamais.
Je l'ai posé une fois, ce livre. Une seule. Après la dernière page tournée !
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