Une belle couverture, un titre interpellant et me voilà à lire un livre sur cette fameuse Sainte Rita, la sainte des causes perdues.
Et me voila embarquée avec l'autrice qui nous parle de sa vie, de sa maladie, des solutions et des non solutions pour y remédier. Et pourquoi pas alors faire appel à Sainte Rita la sainte des causes perdues, jusqu'à aller en pèlerinage à Cascia et Roccaporena.
Athée, je m'intéresse tout de même aux religions, que ce soit à travers l'histoire de l'art ou de la littérature.
Ce que j'ai apprécié dans ce texte, c'est l'humour et le côté décalé de raconter les questionnements, les croyances. L'auteure nous raconte la vie De Saine Rita, les différents lieux de croyance. Il y a des moments cocasses mais toujours délicat sur les personnes qui croient en Sainte Rita, que ce soit dans une église parisienne (la fameuse église aux animaux, où l'on pouvait croiser Michou), ou dans l'église Sainte Rita de Nice, dans un avion (l'autrice se retrouve à côté d'une star) ou dans le bus des pèlerins vers le sanctuaire de Sainte Rita. J'ai appris sur cette sainte et les persistances dans sa croyance : Yves Klein a toujours confié son succès à Sainte Rita et après un pèlerinage à Cascai lui a dédié un ex voto. Benjamin Biolay lui a dédié une chanson.
Que vous croyiez ou pas, ce livre permet d'en savoir plus sur les croyances, la foi, les pèlerinages.
Une lecture caustique sur une plume légère. Un très bon moment de lecture L'auteur jette - un peu - d'acide chlrodydrique sur le milieu de l'édition et ça décape - Une heroine atypique mais attachante qui se met sous la couette et pas seulement quand elle a froid - un regard sans concession sur les grands écrivains - Une lecture qui ouvre les yeux meme si peut etre un grossi mais peut etre pas finalement - avis plus developpé sur mon blog avec vidéo intervieuw de l'auteur https://happymandapassions.blogspot.com/2019/01/des-plumes-sous-ma-couette-amandine.html !
Sous des apparences de bluette, ce court roman qui met en scène les questions existentielles de ceux qui sont bien nés offre une profondeur inattendue. Le ton léger et drôle, le rythme enlevé, les dialogues percutants et les personnages hauts en couleurs (notamment quelques figures connues croisées au détour d’une page, et une narratrice qui n’est pas avare d’autodérision) servent des réflexions sur la filiation, le mariage, la dépendance affective et l’héritage transgénérationnel – amenées avec un air de ne pas y toucher.
http://actualitte.com/blog/sophielit/2012/04/18/les-dents-de-ma-mere-amandine-cornette-de-saint-cyr/
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