«Celle qu'on aime, on la voit s'avancer toute nue. Elle est dans une robe claire, semblable à celles qui fleurissaient autrefois le dimanche sous le porche des églises, sur le parquet des bals. Et pourtant elle est nue - comme une étoile au point du jour. À vous voir, une clairière s'ouvrait dans mes yeux. À voir cette robe blanche, toute blanche comme du ciel bleu. Avec le regard simple, revient la force pure.»
Si j’ai bien compris que ces nouvelles parlaient toutes de lecture, d’écriture et d’amour, je ne suis pas sûre d’avoir compris le sens de chacune.
Peut-être lu trop vite, mais cependant pas envie d’approfondir plus que cela.
Et puis, cet emploi du « vous » m’a dérangée.
Autant j’avais aimé se roman « La folle allure », autant je n’ai pas été sensible à ces nouvelles.
Le titre est deja une invitation a la lecture, a enfiler ce bel habit de mots (pour ceux que le style de Bobin touche !).
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