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Lors de cette enquête, nous suivons plusieurs personnes en fonction de l’avancée de celle-ci. Nous nous rendons aussi sur le continent américain pour enquêter chez les Amishs qui semblent les principaux suspects pour une des enquêtrices.
L’histoire commence à Marseille lorsque un calculateur astronomique, la Machine d’Anticystère, est volé alors qu’il faisait route dans les cales d’un bateau des Garde-Côtes grecs pour être prêté à un musée marseillais. Il est arraisonné par une pseudo-vedette de la Gendarmerie maritime française. L’équipage est tué et le calculateur a disparu. L’enquête est donc confiée au Capitaine Florian Rivière de la brigade maritime française, qui pense tout de suite qu’un collectionneur est à l’origine de ce vol. Après quelques jours de recherches, le Capitaine pense avoir trouvé le coupable en la personne de Théolydès, un grec richissime, mais dont la magnifique collection d’objets anciens ainsi que la richesse est d’origine plus que douteuse.
Mais une autre piste se profile aussi, celle des Créationnistes. En effet, un témoin dit avoir entendu les « faux gendarmes » parler anglais en amarrant la fausse navette de la Gendarmerie et le conservateur du musée de Marseille pense aussi que cela pourrait être un vol des Créationnistes. Une détective privée, Madeleine Bollenger, payée par le principal suspect Théolydès pour prouver son innocence, part sur la piste de ceux-ci et se retrouve à devoir aller chez les Amishs dans le Comté de Lancaster en Pennsylvanie. Elle a été proche du Capitaine Rivière, il l’aide donc en la recommandant à un de ses amis du FBI, Tom Evans. Pour pouvoir faire son enquête sans problème, elle décide de se faire parrainer et d’adopter la cause des Amishs. Mais tout s’emballe, son principal suspect se fait assassiner, elle-même se fait violemment agresser. Elle fait alors appel à Tom Evans.
Je ne peux vous en dire plus sans dévoiler des informations qui nuiraient à votre plaisir de lecture.
Mon avis sur cette lecture est partagé.
Le livre est bien construit, la lecture est aisée. Les références par rapport à la Machine d’Anticystère de même que sur les Amishs et leurs convictions ne sont pas lourdes ni trop détaillées. Il y a un glossaire pour les acronymes ou autres références à des institutions, ce qui est un plus, je trouve. Il y a pas mal de rebondissements, on ne s’ennuie pas pendant cette lecture. Les personnages sont assez accrocheurs et sympathiques et on les suit avec plaisir. Il est bien construit. Les chapitres sont bien découpés.
Et c’est dommage, car je n’ai pas compris le rebondissement de la fin ni même cette fin. Pourquoi finir le livre de cette façon ? C’est un mystère pour moi. Elle est incompréhensible pour moi quand on connait et approfondit les personnages. Je ne la trouve pas crédible. Je suis extrêmement déçue par celle-ci.
Une autre source d’interrogation est le titre « un chien de ma chienne ». Je ne vois absolument pas le rapport avec cette histoire alors, si d’autres personnes ou même l’auteur peuvent m’expliquer ce choix, cela me ferait plaisir.
En résumé, j’ai quand même passé un bon moment avec ce livre même si j’aurais préféré une autre fin.
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