Il n'est pas trop tard pour les découvrir... ou les offrir !
En principe, Myron Bolitar ne fait pas dans le baby-sitting.
Pas même pour une basketteuse aussi talentueuse que sexy, et menacée de mort. Mais là, il s'agit de la fille de l'un de ses vieux amis. Lequel s'est évanoui dans la nature. Que cachait le père ? Quels liens entretenait-il avec les frères Ache, chefs de la pègre new-yorkaise ? Et avec la puissante famille Bradford, dont l'un des fils se présente au poste de gouverneur ? Pour Myron, une enquête à hauts risques...
Une enquête prenante, on s'accroche à l'histoire qui nous transporte au delà du monde sportif. On découvre un milieu où intérêt politique, économiques, sont parfois plus important qu'une vie humaine...
Mon premier roman de Harlan Cohen mais sûrement pas le dernier.
Un roman policier très bien ficelé.
Aujourd'hui encore Harlan Coben fait partie de mon panthéon d'auteur au même titre que Maxime Chattam qui l'a rejoint récemment. Il est l'auteur dont je suis fan au point de ne jamais cesser de le suivre. Pourtant, je dois admettre, qu'en raison d'une pile à lire monstrueuse et surtout d'un besoin perpétuel de découvrir des écrivains différents, je le lis moins qu'auparavant.
Vous pouvez donc comprendre à quel point j'étais ravie quand mon amie nathalou93, autre adepte de cette littérature, m'a proposée de découvrir « Temps mort », quatre mois après avoir lu, ensemble, « Double piège ». Que voulez-vous, nous avons craqué. Il nous manquait trop.
Après avoir été légèrement insatisfaite par ma lecture de janvier 2018, j'étais impatience, voire curieuse de m'immerger dans un autre de ses romans. Allait-il réussir, par cette intrigue, à effacer ma récente déception et à m'hypnotiser à nouveau ? J'avais bon espoir.
Ma lecture achevée, je dois admettre que la mission est atteinte puisque je suis rentrée facilement dans l'histoire. J'ai été emportée rapidement au point de n'avoir qu'une envie : connaître la vérité. En clair, j'ai bel et bien été envoûtée.
Dans ce cinquième volet de la série de onze romans qui a donné vie à Myron Bolitar, nous retrouvons notre agent sportif, ancien basketteur universitaire puis agent spécial du FBI, dans la peau d'un enquêteur qui s'empresse, une nouvelle fois, de prêter assistance à un de ses protégés. En l'occurrence, ici, une femme.
Après avoir tergiversé, le propriétaire de MB Sports toujours installé dans le New Jersey accepte suite, à une brève entrevue, de devenir le bodyguard de Brenda Slaughter, jeune espoir du basket féminin menacée par des coups de fils anonymes. Pourquoi ce revirement ? Tout simplement parce que cette jeune championne n'est autre que la fille de Horace, ancien mentor de notre héros lors de sa carrière sportive, qui a subitement disparu une semaine auparavant.
Vous pensez que c'est l'unique énigme de ce bouquin ? Détrompez-vous.
A vingt ans d'intervalles, alors âgée de cinq ans, Brenda a vu Anita, sa mère, se volatiliser inexplicablement. A l'époque, cette dernière travaillait pour la puissante mais non moins célèbre dynastie Bradford. Un lien ? Personne ne s'en préoccupe. A l'exception de Myron qui, indifférent à la future élection au poste de gouverneur d'Arthur Bradford, le fils ainé, commence à investiguer…
Epaulé par son acolyte Win que va-t-il déterrer ? Existe-il une corrélation entre tous ces évènements ? le chemin sera-t-il semé d'embûches ? Brenda sera-t-elle en sécurité ? Va-t-il finalement aboutir ?
Mystère…
Les éléments qui portent la marque de fabrique du romancier sont toujours d'actualité :
- Des disparitions mystérieuses
- Des événements improbables
- Des protagonistes attachants
- Un épilogue imprévisible
Je ne m'attarde pas davantage sur l'essence même de ce récit au risque de trop en dire. Je vous laisse le loisir d'en découvrir les tenants et aboutissants.
Sachez que c'est un thriller comme je les aime. Basé sur un questionnement perpétuel, une intense réflexion et une recherche incessante de solutions. En ne dévoilant des informations que par parcimonie au fil des chapitres, le romancier américain nous oblige à réétudier les faits, à réexaminer la situation dans son ensemble afin d'établir des théories qui seront immanquablement détruites par l'annonce d'autres données capitales. Il possède une manière, bien à lui, de brouiller les pistes pour nous tenir en haleine.
C'est avec délectation que je me suis encore promenée dans l'univers du sport et du basket féminin américain. Je dois admettre mon ignorance des us et coutumes pratiqués sur les parquets américains. Je remercie donc Harlan Coben de m'avoir initiée. Je déplore un plongeon peu profond. le sport est moins présent que lors des investigations antérieures.
Scénario habillement construit. Les rebondissements sont nombreux et amenés avec précision. Rythme enlevé, qui prend, selon moi, le titre du livre à contre-pied.
J'ai deviné quelques événements mais cela ne pas gênée.
Monsieur Coben s'est surpassé niveau dialogues. C'est hilarant, humoristique, sarcastique et cynique au possible. Un modèle du genre. Si vous avez besoin de rire, n'hésitez-pas !
Plume agréable, facile à lire.
C'est un tome plus sombre, plus triste que les précédents. Notre détective de choc ne ressortant pas indemne de cette aventure, Je me demande s'il ne marque pas un tournant dans cette série. Est-ce un nouveau Bolitar qui se dessine pour le futur ? A voir…
Comme de coutume, j'ai supposé, j'ai supputé des hypothèses de fin. Je croyais avoir élucidé ou du moins dégrossi l'affaire. Et bien pas du tout, je me suis fait piéger. le final sort de nulle part. C'est magique !
C'est avec une joie non feinte que j'ai réaccompagné nos personnages récurrents.
Notre homme de lettres les dépeint comme des individus sympathiques, pittoresques, charismatiques.
Myron est une fois de plus intègre, consciencieux, perspicace, drôle, attaché aux siens et à ceux qu'il aime. Je l'apprécie tel quel mais, cette fois-ci, son côté inquiet, tourmenté, triste m'a incontestablement conquise. Gros point fort du roman.
Windsor Horne Lockwood, troisième du nom, alias « Win » reste fidèle à lui-même, Sous son air inoffensif, « premier de la classe », indiffèrent aux autres, se cache en réalité une personne fidèle en amitié, intuitive, intelligente qui accourt à tout moment pour aider son comparse. J'ai un faible pour ce bonhomme uniquement violent pour les besoins de l'enquête et la protection de son ami.
Ce duo est indubitablement attachant. Un des meilleurs de la littérature ?
Esperanza Diaz est la copie conforme de la femme volontaire, persévérante, sûre de son amitié. J'ai aimé son fort caractère, son abnégation au travail, son inflexibilité.
Je n'ai pas éprouvé une grande empathie pour Jessica. Elle est terne, distante, peu attrayante.
J'ai été agréablement surprise par les relations entre les différents intervenants. C'est juste, cohérent, fin, touchant.
En conclusion, j'ai eu dans les mains un épisode de très bonne facture, empli de suspens, de complexité, de drames et d'une fin à la « Coben ».
Ayant déjà lu sept de ses oeuvres (dont une de cette saga), je considère celui-là comme étant le meilleur des « Bolitar ». Ne conservera-t-il pas la tête définitivement ? le désarroi, le trouble, l'émotion qui se dégage de cette aventure est inattendue, déconcertante mais c'est une belle surprise qui participe pleinement au succès de ce volume. J'ai apprécié cette nouvelle facette que j'espère retrouver par la suite. Myron est encore plus craquant tout en émotivité ! Pur moment de plaisir.
Je cours l'acheter ? Ma réponse est oui. Nullement besoin de réfléchir. Selon moi, H.C. a encore fait ce qu'il sait faire au mieux. A savoir écrire un polar qui vous ensorcelle, que vous ne pouvez plus lâcher jusqu'à la dernière page, pardon jusqu'au dernier mot. Il a le don, a chaque fois, d'élaborer une histoire qui n'a de véritable sens que dans son intégralité. A mi-parcours, vous ne savez toujours pas quelle sera la chute. Vous cherchez, vous imaginez pour vous tromper finalement. Cet opus ne dérogeant pas, bien entendu, à la règle.
Merci pour cette belle réussite agrémentée d'échanges désopilants. Assurément, j'adore ce romancier à l'imagination débordante.
Ce roman date un peu, 1998 mais je n'avais pas encore eu l'occasion de le lire
Ce tome fait la part belle à Myron Bolitar , personnage de la série commencé en 1995 .
Je m'aperçois de fait qu'il est préférable de suivre les aventures de ce personnage dans l'ordre chronologique, car l'auteur dans chaque volet développe la personnalité de ce personnage récurent , agent sportif, ancien agent du FBI.
Comme dans tous les autres romans mettant en scène ce personnage, nous retrouvons bien sur d'autres protagonistes récurrents, Win, Esperenza Diaz, Big Cindy, tout comme l'on retrouve les même thèmes, la même toile de fond.
En effet une fois de plus l'action se situe à New York et dans le New Jersey et tout se déroule autour du sport , encore une fois magouilles et compagnie, avec implication de la mafia également
De ce fait cette intrigue est construite comme toutes les autres, çà ne varie guère, juste certains acteurs changent, mais on retrouve encore ici un sportif impliqué d'un coté qu'il faut protéger et Myron et ses problèmes personnels de l'autre.
Le style de l'auteur nous fait passer un bon moment grâce à l' humour de son personnage principal, oui parfois un peu too much, j'admets.
L'auteur met en avant les coulisses du monde sportif avec des pratiques plutôt douteuses avec ses enjeux financiers et tout ce que çà implique bien sur, ce n'est pas très très propre ni fair -play
Il aime aussi mettre énormément en avant les valeurs familiales, la relation de Myron et de ses parents est encore une fois très présente ici, l'attachement des uns avec les autres, l'esprit de famille, est très prégnante
Bien sur Myron fait très cliché , tout comme sa petite bande.
Pour conclure je dirais que ce n'est pas une lecture transcendante, juste de quoi passer un agréable moment, distrayant , facile à lire sans prise de tête.
Honnêtement , j'y vois beaucoup trop d' invraisemblances , de défauts ,de prévisible, je ne rentrerais pas dans les détails, pour ne pas spoiler , je conclurais juste en disant que c'était bof
Pour autant, les fans de Myron Bolitar devraient beaucoup apprécier .
Je dirais également que j'ai lu des meilleurs Harlan Coben coté intrigue, ici dans cette série j'ai l'impression que tout tourne davantage autour du héros
Un roman riche, complexe avec moult détails qui m'ont plus noyée qu'intéressée. Beaucoup de personnages (au moins 2 nouveaux à chaque chapitre) et à chaque fois des descriptions à n'en plus finir qui n'apportent pas grand choses à l'histoire si ce n'est une image tellement précise qu'il ne reste aucune place à l'imagination personnelle.
J'avoue ne pas m'être non plus attachée aux personnages qui sont vus et revus. J'avoue plus l'impression de lire un livre sur la mafia qu'un polar.
Le style répétitif m'a également gênée. Je voulais découvrir cet auteur qui est un quasi Dieu de l'édition prolifique et beaucoup traduit, je suis restée sur ma faim.
Excellent !!!!!!!!!!!!!! jusqu'à la fin, impossible de deviner qui est le coupable !!
Pas le meilleur Bolitar. C'est vrai que les romans de ce cher Myron commence à se ressembler un peu tous !
Magnifique comme toujours avec Myron Bolitar
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