"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« Le portail du jardin à peine claqué, je me précipite clopin-clopant vers la cuisine où déjà m?attend mon complice vêtu de noir. Les premières heures des retrouvailles sont toujours aussi apaisantes.
Le manque de la présence aimée, la rage où me met sa disparition, le silence qui toujours répond à mes suppliques, l?épouvante devant une insupportable solitude s?enrobent gorgée après gorgée d?un miel visqueux. Et voici que se faufilent, l?une après l?autre, toutes les douleurs un temps évanouies. Comme autant de tentacules, grouillent autour de vous regrets et remords, manques, absences, désirs d?un son de voix, d?une caresse, questions auxquelles il ne sera jamais plus donné de réponse. »
Le début est assez confus.
Mais qui est cet homme en noir ?
Marina Vlady raconte les derniers moments de sa vie avec l’homme qui partagea sa vie pendant 23 ans, le professeur Léon Schwartzenberg.
Et puis, après la mort de ce dernier, le lent naufrage de sa vie solitaire et désemparée.
Un beau témoignage d’amour.
Et on referme le livre, un peu triste de la laisser seule avec l’homme en noir.
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