Il suffit parfois de se trouver au mauvais endroit au mauvais moment pour voir basculer le cours de sa vie... Si Danny Cartwright avait demandé Beth Wilson en mariage un jour plus tôt, ou un jour plus tard, il n'aurait jamais pu être accusé du meurtre de son meilleur ami. Mais quand les quatre témoins de l'accusation sont un avocat, un acteur à succès, un aristocrate et le plus jeune associé d'une prestigieuse agence immobilière, qui pourrait bien croire à la version des faits d'un garagiste de l'East End ? Danny est donc condamné à vingt-deux années d'emprisonnement dans le quartier de haute sécurité de la prison de Belmarsh, duquel personne ne s'est jamais échappé. Seulement, ses adversaires ont sous-estimé le désir de revanche du jeune homme et la farouche détermination de sa fiancée à faire entendre justice...Prix Polar international 2009.
Quand on se trouve au mauvais endroit, au mauvais moment, la vie peut basculer... C'est ce que Danny Cartwright, garagiste de l'East End va apprendre le jour où sa route va croiser quatre hommes bien sous tous rapports. Ces hommes, avocat, acteur à succès, aristocrate et associé d'une grande agence immobilière, sont les témoins directs du meurtre de son meilleur ami. Meurtre dont ils l'accusent. Il va donc être condamné à 22 ans d'emprisonnement. Mais ces accusateurs ont ils eu raison ? Danny Cartwright va tout tenter pour retrouver son intégrité.
Jeffrey Archer ne se perd pas dans l'imbrication de plusieurs histoires. Ici une seule mais tellement bien ficelée qu'elle se suffit à elle même d'autant que l'auteur explore chaque personnage avec une très grande minutie. Nous livrant ainsi tout de la personnalité de chacun et de son évolution au film du roman. Le rythme est maintenu jusqu'au bout et l'intrigue nous tient en haleine car parfois on doute de la capacité de Danny à aller au bout.
L'accent mis sur la psychologie en fait un bon thriller même si on peut se demander s'il méritait le prix international du polar 2009. Serait-ce le meilleur du millésime ?
Le seul point négatif est le côté caricatural de l'histoire : la police bâcle son travail et prend faits et causes pour celui qu'elle juge le plus crédible.
https://quandsylit.over-blog.com/2023/06/seul-contre-tous-jeffrey-archer.html
Sir Jeffrey Archer, va s’inspirer du thème d’un roman d’Alexandre Dumas : Le comte de Monte-Cristo dont les intrigues s’articulent de la façon suivante : un crime, un procès, une évasion et bien sûr une vengeance.
Quartier de l’Est End, Londres, Danny Cartwright jeune ouvrier dans un garage - nôtre Edmond Dantès - ; et à l’opposé Spencer Craig, avocat issu de l’université d’Oxford. L’adversité pointe le bout de son nez, car Danny a décidé de demander en mariage Beth Wilson, au Dunlop Arms, avec le meilleur ami de Danny, en l’occurrence Bernie Wilson.
Rien de bien exceptionnel, si ce n’est, qu’un groupe d’amis avinés au comptoir, s’avise de remarques désobligeantes envers Beth. Danny se retient de répondre aux insanités de ces hommes et préfère partir avec ses amis. Las, le groupe les rejoint et le drame éclate ! L’ami de Danny, est poignardé...
Qui se trouve l’auteur de cet homicide ? Danny ou le groupe d’amis avec leur leader Spencer ?
La trame est en place, cruelle et sans issue pour Danny, qui est donc condamné à vingt-deux années d’emprisonnement dans le quartier de haute sécurité de la prison de Belmarsh, duquel personne ne s’est jamais échappée.
Accrolivre, « Seul contre tous », nous entraîne nous pas dans la recherche du meurtrier, mais dans la façon d’amener celui-ci dans une geôle. Et à ce titre, l’auteur de ce polar ne peut entraîner que l’adhésion des lecteurs, malgré quelques invraisemblances.
Prix des lecteurs 2010 et Prix Polar international 2009.
Imaginez un peu que votre petit ami vous demande en mariage – en plein restaurant – et que vous finissiez la soirée dans un pub, avec lui et votre frère, mais que ce bonheur vire à la tragédie avant la nuit …
Imaginez que ledit fiancé se retrouve en prison pour vingt-deux ans, accusé d’être le meurtrier de la victime alors que vos quatre agresseurs deviennent les quatre témoins de ce cauchemar !
C’est très exactement ce qui va arriver à Beth Wilson et à son fiancé Danny Cartwright, le 18 septembre 1999 ! Et long sera le chemin vers la vérité ! Long également celui de la justice et de la rédemption !
Jeffrey Archer n’a pas son pareil pour faire durer le suspens (638 pages) au cours de ses intrigues … Le lecteur va en piaffer d’impatience, de dépit et de colère quand l’auteur poussera le supplice au maximum ! En tout cas, c’est bien construit et plutôt passionnant ! (Même si éventuellement un tout petit peu trop long …) Un grand plaisir de lecture que ce pavé noir !
Seul contre tous c'est l'histoire de Danny qui demande ne mariage Beth , une bagarre , un mort et voila Danny accusé d'un meurtre qu'il n'a pas commis. Il se retrouve en prison pour 22 ans va reussir a sortir pour mijoter sa vengeance ...
Je ne sais pas si J.Archer a manqué d'imagination mais cela ressemble a l'histoire de vengeance du compte de Monte Cristo enfin de très très loin ... a part le début qui nous mets très vite dans l'histoire le reste s’essouffle assez vite et il faut dire la façon donc Danny sort de prison est assez rocambolesque . Ce livre à reçu le prix du polar international en 2009 bon bah les polars il faut que j’arrête d'en lire !
Une réécriture façon thriller du comte de Monte-Christo. Malgré des incohérences et beaucoup de clichés, c'est assez prenant.
Danny Cartwright, quelques heures après avoir demandé en mariage son amie d’enfance Beth Wilson, se trouve accusé d’un meurtre dont il est innocent ; procès et face à quatre témoins, dont le meurtrier, qui l’accusent il est condamné à 22 ans de prison. En cellule, dans la prison de Belmarsh, il fait la connaissance de deux hommes qui vont lui permettre de prendre sa revanche.
Version thriller du personnage du Comte de Monte-Christo, Dantès, Jeffrey Archer écrit un roman où l’on a plaisir à suivre le combat de Danny Cartwright pour prouver son innocence. Un thriller que l’on ne lâche pas jusqu’à la dernière page mais qui souffre tout de même d’une invraisemblance énorme au moment où le héros réussit à s’évader. Conclusion : pas mal mais de là à attribuer un « prix polar international 2009″ !
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