"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Dans Les Fausses confidences, il y a Dorante, un garçon ruiné en quête de devenir, Araminte, une belle veuve fortunée et Dubois, le valet culotté, habile artisan du bonheur de ces deux jeunes gens... Comme chez Marivaux, dans Presque une histoire d'amour, il y a Nino, une petite vingtaine, qui revient de Londres et vivote à Rome, s'apprêtant à donner des cours de théâtre à un groupe de retraité. Il y a Teresa, belle et douce, la trentaine, fraîchement romaine, encore sous le choc du drame amoureux qu'elle vient de traverser. Et Grazia, une actrice dont la carrière a échoué, qui enseigne l'art dramatique. Grazia, la tante de Teresa et l'ancienne professeure de Nino. Grazia, la bonne étoile, grâce à qui se rencontreront les deux apprentis amoureux. Il y a les premiers instants, les frissons, et puis les débats enflammés sur la vie en général, la foi, la religion, et le théâtre en particulier. Comme dans une pièce, chacune de leur rencontre est scénarisée et, à l'avance, ils pensent leurs souffles, leurs regards et leurs gestes...
Et puis le rideau se referme et la réalité les rattrape, spontanée et vive, ne leur laissant plus d'autres choix que d'assumer leur sentiment, ou de partir pour un autre jeu de rôle...
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