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Pour la littérature du réel

Couverture du livre « Pour la littérature du réel » de  aux éditions Editions Du Sous Sol
Résumé:

Depuis cinq ans, la revue Feuilleton publie le meilleur du reportage étranger et les éditions du sous-sol, pionnières d'un genre littéraire singulier à la frontière entre fiction et réalité - la narrative nonfiction - offrent un écrin au «journalisme narratif» et une maison à ses auteurs. Plumes... Voir plus

Depuis cinq ans, la revue Feuilleton publie le meilleur du reportage étranger et les éditions du sous-sol, pionnières d'un genre littéraire singulier à la frontière entre fiction et réalité - la narrative nonfiction - offrent un écrin au «journalisme narratif» et une maison à ses auteurs. Plumes historiques et nouvelles voix de la littérature du réel racontent ensemble le roman de la réalité, effrayant, passionnant, nécessaire.À l'occasion des 5 ans de la revue, Feuilleton demande aux grandes voix de la littérature du réel de définir ce genre hybride à la définition fluctuante et qui constitue la littérature de notre temps, la seule à même de saisir peut-être toute la complexité de nos sociétés.À l'instar de Tom Wolfe et de son ouvrage mythique Le Nouveau Journalisme, anthologie et tentative de définition du genre dans les années 1970, ce numéro- manifeste rassemblera textes historiques et réflexions d'auteurs emblématiques de la narrative nonfiction, à travers des essais ou des entretiens. Au sommaire: Tom Wolfe, William Langewiesche, Emmanuel Carrère, David Grann, Florence Aubenas, Hunter S. Thompson, Javier Cercas, David Samuels, Gabriel García Márquez, Maria Sonia Christoff, Roberto Saviano, Ted Conover, Svetlana Aleksievitch, Ryszard Kapuscinski, Philippe Vasset, Bill Buford, Joan Didion, Jean Hatzfeld, Gay Talese, David Dufresne, Jon Lee Anderson, John Jeremiah Sullivan, Ivan Jablonka. Une narration collective à la hauteur de l'enjeu littéraire, car comme l'affirme David Samuels: «Pour créer une narration collective, il faut aller voir, s'entendre raconter les histoires, parler aux gens, à leurs frères et leurs voisins, enregistrer ce qu'on ressent chez eux, comment on se sent en leur présence. Ce sont des problèmes littéraires, de position du narrateur et de caractérisation. Cela demande du travail, du temps, de l'argent, de l'empathie. Cela ne se fait pas en un reportage de dix jours. Et tant que la conversation ne s'adosse pas au texte de quelqu'un qui a fait cet effort physique, on ne peut qu'avoir des opinions à la con.»

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