80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
En l'an 2000, plus de dix millions de personnes ont été victimes de maladies infectieuses ou parasitaires dans le monde : trois millions sont morts du Sida, mais aussi plus d'un million du paludisme et un million et demi de tuberculose. Pour l'essentiel, l'hécatombe concerne les pays du Sud. Parce que les traitements, pourtant disponibles au Nord, y sont trop chers. Et que les médicaments contre les maladies tropicales, sans perspectives de profits, n'intéressent plus la recherche pharmaceutique.Contre cette injustice face à la santé, plusieurs ONG ont lancé une bataille mondiale pour l'accès aux médicaments. Elles se heurtent au puissant lobby de l'industrie pharmaceutique et doivent aussi passer outre la bureaucratie des grandes institutions mondiales comme l'Organisation mondiale de la santé (OMS).De Washington à Pretoria, en passant par Rio de Janeiro et Genève, voici le récit de cette bataille dont l'issue est encore incertaine parce qu'elle met en jeu la logique de la mondialisation économique appliquée aux grandes multinationales de la pharmacie. Les profits ou la vie ? Telle est la question posée.Docteur en médecine, Paul Benkimoun est journaliste au Monde. Il a notamment publié La peur au ventre. Démocratie et sécurité alimentaire chez Textuel en 2000.
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