Événement "Millénium : Ce qui ne me tue pas" : gagnez des places de cinéma et des livres !
Quand Mikael Blomkvist reçoit un appel d'un chercheur de pointe dans le domaine de l'intelligence artificielle qui affirme détenir des informations sensibles sur les services de renseignement américains, il se dit qu'il tient le scoop qu'il attendait pour relancer la revue Millénium et sa carrière. Au même moment, une hackeuse de génie tente de pénétrer les serveurs de la NSA... Dix ans après la publication en Suède du premier volume, la saga Millénium continue.
Événement "Millénium : Ce qui ne me tue pas" : gagnez des places de cinéma et des livres !
L’écrivain suédois David Lagercrantz en visite à Paris échange avec ses lecteurs
Vous aimez Millenium? Lisez le dernier tome et rencontrez David Lagercrantz à Paris.
Du roman au polar, une liste à déguster sans modération
Autant le dire tout de suite, je ne fais pas partie des fans de la trilogie initiale du regretté Stieg Larsson ; si j'avais bien aimé le premier tome, je m'étais vite ennuyée dans les deux suivants, parce que l'intrigue ne me plaisait que moyennement et, surtout, parce que je n'étais pas entrée en sympathie avec Lisbeth et Mikael. Pour être honnête, j'avais passé un moment divertissant, sans plus. Pourquoi poursuivre alors ? Tout simplement parce que le tome 4 était dans ma PAL avant même que je ne débute la lecture du premier roman, persuadée, mais alors persuadée de chez persuadée, que j'allais adorer ces lectures.
J'ai donc abordé ce roman sans en attendre grand chose. Contrairement à beaucoup qui craignaient de ne pas aimer la plume de David Lagercrantz dans la mesure où ils avaient adoré celle – très précise et documentée – de Stieg Larsson, je n'avais pour ma part aucun avis sur la question, n'ayant pour le coup aucune attente sur ce roman. J'avoue quand même avoir eu des suées en découvrant dans la bibliographie de David Lagercrantz qu'il avait écrit « Moi, Zlatan Ibrahimovic », n'étant ni fan de foot ni du bonhomme, et ayant toujours trouvé ça étrange d'écrire une biographie de quelqu'un de trente ans à peine. Et même si les premières pages du roman m'ont en quelque sorte donné raison – perso je m'en fous de savoir que Mikael Blomkvist boit son café noir dans une machine espresso de telle marque -, mes doutes se sont vite envolés, la plume étant aussi très précise et très documentée. Je pense pour le coup qu'il est un digne successeur de Stieg Larsson.
Quant à l'histoire, ben c'est là que ça coince quand même. Ce n'est pas mauvais, c'est simplement que ce n'est pas ma came, et qu'en prime, je me répète, je ne suis pas dingue des personnages principaux. La première moitié du roman fut longue à lire, entre la SAPO, la NSA, le hacking et j'en passe, j'ai mis au moins cinq jours à entrer dans le roman. Puis, le reste fut avalé en deux petites soirées car enfin l'histoire s'accélérait et devenait intéressante, de mon point de vue bien entendu. Et je serais curieuse de lire la suite, de toute façon le tome 5 est déjà dans ma PAL...
En bref, un roman qui ravira certainement les fans du genre et ceux qui ont aimé la première trilogie, s'ils arrivent bien entendu à faire abstraction du changement d'auteur.
Pour moi, une lecture que je poursuivrai certainement par curiosité, mais je ne suis pas pressée non plus
"Ce qui ne me tue pas" est bien dans la continuité stylistique des trois premiers tomes et j'avoue que j'avais un peu peur de découvrir ce 4ème tome écrit par David Lagercrantz et non par Stieg Larsson.
L'histoire est un peu longue à se mettre en place et nous place au sein de l'espionnage industriel.
L'écriture est fluide et se lit bien, même si de nombreux personnages secondaires sont un peu longs à se préciser.
J'ai juste regretté que Lisbeth et Mikael ne se croisent quasi pas dans ce tome (hormis via leurs correspondances informatiques et à la fin du livre). En effet, au vu de leur "rapprochement" dans le tome précédent, j'attendais une suite en quelque sorte. Ce sera peut être pour le prochain opus de cette série à laquelle j'avais accroché dès le début.
J'ai longtemps hésité à lire "Ce qui ne me tue pas" car, ayant adoré "Les hommes qui n'aimaient pas les femmes", j'avais peur que David Lagercrantz ne soit pas à la hauteur de Stieg Larsson. Ce tome 4 me semble bien être dans la continuité stylistique des trois premiers, mais sans en être le meilleur, aussi n'ai-je pas été déçue mais pas non plus emballée.
Concernant l'histoire, il s'agit a priori d'un banal crime scrupuleux, avec des savants assassinés. Néanmoins, l'intrigue se complexifie rapidement avec des collusions entre mafia russe, hackers de crime organisé et espionnage industriel, dans un monde globalisé de recherches de profits et de surveillance informatique des individus au niveau des Etats. On retrouve avec plaisir Mikael et Lisbeth en héroïne vengeuse des femmes opprimées.
Si l'ensemble se lit plutôt bien, l'histoire connaît cependant des longueurs à cause de la multitude de personnages et on ne retrouve pas vraiment la violence glaciale de la première histoire de Millenium. A noter que l'on apprend des éléments de la vie des deux héros assez intéressants.
Pour conclure, "Ce qui ne me tue pas" est bien dans la continuité stylistique des trois premiers tomes, mais sans en être le meilleur. Je remercie les lecteurs.com pour les places de cinéma qui m'ont permis de voir le film.
J'ai mis du temps à le lire par peur d'être déçue suite au changement d'auteur. Et l'avoir reçu par lecteurs.com m'a permis de me faire ma propre opinion.
On retrouve donc Lisbeth salander et Mickaël Blomkvist dans une nouvelle aventure qui aborderont des thèmes tels que l'autisme, l'espionnage industriel.... tout va tourner autour de ce jeune garçon Auguste qu'il faudra à tout prix protéger mais de qui? Des assassins de son père le célèbre Frans Balder qui a été tué sous les yeux de son fils avant de pouvoir devoiler sa decouverte en matière d'intelligence artificielle.
Cette histoire de famille ne concernera pas uniquement celle du jeune autiste qui va se révéler d'une grande aide dans l'avancée de la recherche du meurtrier, non sans quelques embûches bien évidemment. L'histoire de la famille de Lisbeth va également s'imbriquer dans celle de l'assassinat du père d'auguste et nous apprendrons un peu plus soir son histoire personnelle et familiale plus particulièrement sur sa relation avec sa soeur Camilla.
Finalement je ne regrette pas ma lecture et j'ai été convaincue par l'auteur qui a repris la suite de stieg Larsson. Et j'ai hâte de lire le suivant
Je viens juste de terminer le quatrième. Vraiment pas mal du tout. On ne peut qu’apprécier le travail de l'auteur dans l’appropriation du chef d’œuvre du regretté Stieg Larsson. Malgré une première moitié un peu lente, le rythme est ensuite de plus en plus rapide et la lecture plus facile que la trilogie. J'ai adoré Lisbeth dans ce tome plus que dans les trois premiers même si certaines critiques laissent entendre qu'elle a été caricaturée, tandis que Mikael fut plus effacé et n'est malheureusement selon moi plus que l'ombre de lui-même. Ceci-dit, ce quatrième tome a manqué d'une certaine magie que la trilogie avait réussi à nous procurer.
Un sacré challenge pour David Lagercrantz qui à relever ici un défi de taille. J'ai été agréablement surprise par ce roman. Le ton est donné, l'histoire est bien ficelée et quasi à l'identique des 3 premiers tomes. Il a su s'imprégner des personnages et coller au plus près à l'univers de Stieg Larson. L'univers des personnages est respecté et nous sommes plongé dans une histoire très bien ficelée de hacking de la NSA, d'intelligence artificielle, et d'espionnage industriel. Mais il manque néanmoins un petit quelque chose !
S'il devait y avoir un petit moins, il serait sur les personnages en eux-même qui sont un peu moins "vivants" que dans les 3 premiers tomes. Je les trouve plus superficiels et nous entrons moins dans la psychologie de chaque personnes. Les bases étant posées, l'auteur s'est moins attardé à y approfondir Mikael Blomkvist ou Lisbeth Salander, pour travailler plus en fond sur l'histoire.
On y retrouve du coup moins le personnage de Lisbeth, qui avait un rôle principal dans le dernier volume. Même si elle a une rôle très présent et indispensable à l'histoire, je trouve que le personnage survole un peu l'histoire. Moins sombre, moins elle. Il manque le côté Salander qui colle au personnage. Blomkvist n'est pas en reste, il lui manque une part de lui-même, le côté présent pour Lisbeth, le coté amoureux d'Erika, le côté profond du journaliste amoureux de son métier.
Sinon tout est bien ficelé, l'histoire est prenante, sans être non plus dans le suspens total. L'écriture est fluide, le livre se lit d'un trait même si fait plus de 530 pages ;)
http://www.bejiines.fr/2018/12/livre-millenium-4-david-lagercrantz.html
J'ai eu la chance de gagner le livre de poche par le site lecteurs. Merci.
C'est un sacré challenge d'écrire le 4eme tome de millenium. J'avais adoré la trilogie.
Je ne connaissais pas David Laferfrantz. J'ai trouvé le roman dans la même veine (et heureusement ;0)
Les personnages, l'intrigue, l'écriture ne m'ont pas déçue. Je n'ai pas été aussi happée par le roman que lors de la trilogie. Mais j'ai apprécié le scénario. J'ai lu le livre en plusieurs fois, j'étais contente d'y retourner.
Une dimension de mystère est bien gardée dans toutes les actions des protagonistes. Cela ajoute un suspense pour lequel les clés arrivent de façon fragmentée. C'est toujours appréciable pour un roman policier.
Dans l'édition du livre de poche, il n'y a pas nécessairement de transition lors des changements de scène dans un même chapitre. Les séquences sont parfois courtes, la mémoire est en pleine action tout au long du roman.
En résumé, si vous avez envie d'un bon roman policier, avec une intirigue à suspense, et que vous avez aime les personnages de millenium, n'hésitez pas
J'avais décidé de lire cet ouvrage en partant du principe que je partais de zéro, certes en connaissant les personnages principaux, mais en me disant qu'il s'agissait d'une nouvelle aventure, en faisnat abstraction du changement d'auteur.
J'avoue, j'ai eu du mal à entrer dedans, bien que j'ai été heureuse de retrouver Lisbeth..
J'ai trouvé l'histoire poussive.
J'ai même posé cet ouvrage quelques jours, avant d'y revenir pour le finir.
Je ne peux pas dire que cette lecture soit déplaisante, puisque ce n'est pas le cas ; mais il me manque quelque chose.
Bref, vous l'aurez compris, je suis mitigée.
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