"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Un des plus grands partis politiques de notre pays, c'est celui des anciens membres et des anciens sympathisants du parti communiste français. Quelle que soit la raison pour laquelle ils se qualifient d'«anciens» : nostalgie, séparation amiable ou non, hostilité, les souvenirs d'André Carrel seront pour eux comme une carte jalonnant leur parcours, ou comme une collection de photographies illustrant des périodes mémorables. Et ces souvenirs peuvent aussi faire revivre [.] des polémiques d'antan. Il est vrai que ce guide [.] n'est pas n'importe qui. C'est un journaliste d'investigation et de responsabilité, qui a parcouru le monde et le siècle pour les principaux journaux de son parti : La Marseillaise, L'Humanité, L'Humanité Dimanche ainsi que pour Le Peuple, organe de la CGT. » C'est par ces mots de Raymond Aubrac que s'ouvre l'autobiographie d'André Carrel.
Ce résistant de la première heure, qui vécut les joies du Front populaire, évoque aussi la place éminente de femmes, d'intellectuels et d'étrangers dans la Résistance. La paix rétablie, il est de tous les grands combats émancipateurs du XXe siècle : André Carrel nous conte ainsi les histoires complexes des résistants, de la presse française, du pouvoir et du parti communiste.
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