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« Je vais essayer de me souvenir de tous les animaux qui m'ont aidé à vivre, à qui j'ai envie de dire merci. » Voilà comment démarre cette déclaration d'amour au genre animal.
Puis les interrogations se succèdent : comment leur dire bonjour ? Doit-on les tutoyer ? Comment écrit-on à un chien ou un lapin pour leur dire notre reconnaissance du coeur ou du ventre ? D'ailleurs peut-on manger ceux qu'on aime ? Pourquoi les animaux ont-ils la politesse de ne jamais se plaindre ? Que cachent leur silence et leur beauté ? Quels sont leurs défauts ?
Pourquoi les enfants les adorent ils ? Et finalement que pensentils des humains ?
Un éloge tendre et subtil qui nous fait comprendre combien l'homme serait malheureux s'il ne les avait pas à ses côtés.
Jean-Louis Fournier nous donne son avis sur la société et son rapport aux animaux. Il dénonce certains comportements des hommes qui se prennent pour des Dieux alors qu'ils ne sont que des crétins ne sachant pas reconnaître l'intelligence et la bonté de nos animaux, moins bêtes que certains de ces hommes. Je le rejoins totalement sur un tas de sujets qu'il évoque, l'âme des animaux ou quand il parle des vaches, moi qui n'hésite pas à leur parler et les admirer. Il m'a fait rire une fois de plus, j'adore son cynisme, même si certains passages manquent d'humour par rapport à d'habitude. C'est le cas par exemple des lettres que j'ai trouvées un peu naïves.
Jean-Louis Fournier nous donne son avis sur la société et son rapport aux animaux. Il dénonce certains comportements des hommes qui se prennent pour des Dieux alors qu'ils ne sont que des crétins ne sachant pas reconnaître l'intelligence et la bonté de nos animaux, moins bêtes que certains de ces hommes. Je le rejoins totalement sur un tas de sujets qu'il évoque, l'âme des animaux ou quand il parle des vaches, moi qui n'hésite pas à leur parler et les admirer. Il m'a fait rire une fois de plus, j'adore son cynisme, même si certains passages manquent d'humour par rapport à d'habitude. C'est le cas par exemple des lettres que j'ai trouvées un peu naïves.
dominica 18 juin 2021
Un livre comme un hommage aux animaux, leur dire merci, les remercier de nous accompagné dans nos vies , de nous aider a vivre, a nous nourrir.
Jean louis FOURNIER dresse ici des textes courts concernant les animaux.
Que ce soit dans les expressions ou dans ce qu’il nous en raconte on retrouve sans aucun doute l'humour de Mr Fournier.
Malgré tout j'ai pris plaisir a le découvrir mais sans en ressentir une grande satisfaction comme ses autres ouvrages, un peu long sur la fin....
Alléchée par le titre, j’ai plongé dans l’histoire animalière de Jean-Louis Fournier, auteur que j’apprécie. Hélas, je n’ai pas retrouvé le même plaisir de lecture que pour ses plus anciens ouvrages comme Où on va papa ? ou Poète et paysan. Ça ne casse pas trois pattes à un canard et si j’ai été déçue, c’est sans rancune et je ne lui garderai pas un chien de ma chienne !
Sans vouloir chercher la petite bête, ça reste tout de même très léger, ça papillonne avec des déliés et beaucoup de creux.
Certains écrivains viennent à la rescousse de Jean-Louis Fournier, et, à côté de Descartes qui affirmait que les animaux n’avaient ni conscience ni pensée, on trouve des citations de Théodore Monod, Erri De Luca ou encore Sylvain Tesson pour la cause animale.
Les chapitres sont courts, et très disparates, on passe du coq à l’âne, normal me direz-vous pour un recueil qui parle de bêtes. Ah non, pardon, il vaut mieux dire animal plutôt que bête qui a une connotation péjorative.
Ça se termine en queue de poisson sur la mort du petit chat et la sentence d’Artdéco.
C’est un roman vite lu, plaisant à lire, mais pas de quoi fouetter un chat, n’en déplaise à Artdéco, la petite chatte de l’auteur qui, tout au long des pages, approuve ou se moque des propos de son maître.
J'ai presque tout aimé de Fournier (sauf histoires pour distraire ma psy) et ça change de le voir aborder les animaux autrement que par l'hypocondriaque Noiraude. C'est moins grinçant que parfois mais toujours autant d'humour; moins émouvant que "Je ne suis pas tout seul à être seul".
Un bonheur de lecture, à mettre entre les mains de ceux qui souffrent de la situation actuelle en commandant chez un libraire indépendant!
Je le prête volontiers à ceux qui sont dans mon kilomètre!
J'étais très curieuse de retrouver Jean-Louis Fournier sur le sujet des animaux.
Dans cet ouvrage, on alterne entre réflexions sérieuses, ironie, humour noir...
Mais, pas facile parfois de savoir réellement le degré d'implication de l'auteur dans la cause animale. Pas facile de savoir parfois si c'est du lard ou du cochon (mais peut-être est-ce aussi à chacun de nous de réfléchir au sujet et de se positionner ?).
Et pourtant, il dénonce ! La chasse, les abattoirs, les abandons d'animaux de compagnie...
Il défend les animaux, leur écrit des lettres, les fait parler, penser, les rend humains... plus humains que certains humains finalement, non ?
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